Syrup Chocolate.

C'est avec une impassibilité des plus totales que je m'avançais allégrement à travers la douce odeur des olives de toutes sortes. Je repoussais certaines branches qui venaient effleurer mon visage dénuer de sentiments et d'expression. J'avais pour but d'attendre cette marre limpide et profondément attirante à mes yeux. Mon pas s'accelera mais en restant quand me^me relativement lent face à la normale. Une fois face à cette marre si banale une fois proche, je soupirai, comme dessus du résultat que donnait cette marre une fois proche. Ma tête se releva vivement en entendant des bruits de pas se rapprocher eux aussi de la marre. Sûrement encore un individu de déçu.

Moi je me contentais toujours de me déplacer où mes jambes me portaient. Peu importe l'endroit et le danger encouru. Tout cela m'était devenu bien égal maintenant. En fait je n'avait pas trop le choix, une seule contradiction me conduisait à mettre ma vie et celle des autres en danger donc je ne préférais vraiment pas. Une odeur vint chatouiller mes naseaux duveteux, prenant une profonde inspiration, mon regard se figea sur la forme fine et délicate de la jument pourtant non loin. Elle était si fine. On avait l'impression qu'un seul coup de tête aurait pu la briser. Je secoua la tête en renâclant. N'importe quoi moi. En un silencieux soupir qui s'évanouit bien vite dans cet atmosphère plutôt paisible, je m'avanceait gracieusement vers la jument en défilant autour de chacun des oliviers présent. M'arrêtant à seulement deux ou trois mètres de la jument, je renacla à nouveau. Il fallait que ma méfiance prenne toujours le dessus. Bon. Ma voix grave mais étrangement doucement coupa le silence encombrant.

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