Pv Antartica <3

Musique

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De revoir tes yeux ... ?

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L'ombre c'était abbattue sur les terres de Life Horse aussi rapidement que l'Astre d'Or répend ses rayos dorés sur la plaine. La Grande Lune garde néanmoins quelques endroits de ce monde d'une lumière argentée, donnant au paysage un aspect aussi féerique qu'au lever du jour. Une légère brise c'était levée depuis la tombée de la nuit. Les étoiles étaient éparpillée dans le ciel, brillant chacune d'une lueur presque clignotante, comme si elle dansaient dans le ciel. L'herbe était humide, la pluie qui était tombée plus tôt dans la journée ne c'était pas totalement évaporée. Tout était calme, silencieux, paisible. Les habitants de LH c'étaient tous endormis. Enfin, presque tous ...

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De revoir ton sourire ... ?

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L'étalon couleur de charbon faisait partit des habitants ne trouvant pas le sommeil en cette douce nuit. Son coeur la lui réclamait. Il battait à la chamade, comme si il avait courrut à en perdre alleine. Cela faisait plusieurs mois qu'il était resté dans l'oubli, ne voyant personne. Mais il n'avait pas réussit à trouver d'équilibre sans Elle .. Son Etoiles, sa Princesse, son rayon de Soleil. Il ne pourrait trouver meilleur remède à son mal que de la revoir, ses yeux, son sourire, sentir son odeur, sa chaleur, son souffle chaud sur sa peau. Il la voulait, il la désirait, il ne vivait que pour elle. Seulement il ne savait pas où elle se trouvait à l'instant, peut-être était-elle partie au pays es rêves .. ? Ou peut-être est-elle déjà partie au Paradis .. ?

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De t'avoir rien que pour moi ... ?

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Le noir marchait dans la pénombre, l'encolure basse, le pas souple et lourd. Il avait une nouvelle fois changé. D'autres cicarices sont venues marqué son corps d'étalons ayant combattut mainte adversaires. Ses sentiments avaient grandis en force, le menant parfois jusqu'à la folie elle-même. Il avait besoin de Son remède à lui. Remède qu'une seule jument pouvait lui donner. Sa queue fouettait l'air, son souffle était lent, silencieux, formant un petit nuage de buée dans la fraîcheur du soir. L'herbe humide avait mouillé ses membres jusqu'à mis tendons. Il revenait sur un endroit qui lui était étrangement familier. Il s'immobilisa, regardant autour de lui. A une centaine de mètres, se tenait dans les rochers l'entrée d'une grotte. Mais pas n'importe quelle grotte, la Grotte aux Stalactites. Endroit où, dans le passé, il avait avouer son amour à la belle grise Avait-elle changé ? L'aimait-elle toujours, où c'était-elle soignée avec un autre ?

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Rien qu'une dernière fois ... ?

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Alors que pour lui c'était le plus beau rêve. Elle ne l'avait donc pas reconnu ? Pourquoi reculait-elle ? Avait-il fait quelque chose de mal ? Son toupet retomba sur ses yeux noirs comme l'encre. l avanca à pas feutrés vers elle, en silence. Son souffle chaud sortant de petits nuage de buée dans l'air froid de cette soirée.

< Antartica .. >

Ceci était plus une constatation qu'une questin. Un mot qui l'avait bercé et fait souffrir en même temps depuis déjà un peu plus d'une année. Se rapellait-elle de lui ?

L'étalon la vit s'approcher, ses muscles se tendirent, il aurait tant coulut, oui tant voulut pouvoir la serrer contre mais c'était comme si une force invisible l'en empêchait, le torturant horriblement de l'intérieur. Antartica semblait embarquée dans une rage folle, Tornado arrivait à le voir dans son regard, ce qui le destabilisait quelques peu de la part de la grise, cela lui faisaitmal aussi. Il se sentait être comme un étranger. C'est alors qu'elle posa une question. Que voulait-il d'elle ? Cela semblait plutôt évident. Il baissa le regard, fixant le sol.

< Je voudrais savoir ... Si tu voulais encore de moi ... >

Il s'attendait à une réponse négative de la part de l'arabe. Maintennt, tout était fichu, tout allait s'évrouler et il vivrait dans l'ombre jusqu'à la fin de sa vie, emprisonner par son amour pour elle, il ne vivrait plus.

< Je ne te forcerais pas. >

Dit-il d'un ton neutre. En temps normale il aurait tourner les talons et aurait commencer à partir mais pas cette fois. Non. Il ne fuyera plus, plus jamais il ne voudra la quitter. Il l'avait tant désirée qu'il ne pouvait plus partir avec le doute de la revoir. Il ne veut plus revivre ça, tant de douleurs qui ne se sont jamais atténuées. Il baissa juse le regard, voyant Antartica faire unpas sur le côté. Qu'elle parte si elle le désira. Ses muscles étaient bandés, il s'en voulait tellement qu'il s'inhurait en lui, s'en voulant à lui-même.

[ C'est court dsl. ]

Regardant la jument s'énerver avec une pointe au coeur l'étalon regardait ses belles formes se mouver dans un petit espace. Ses yeux lui lançer de bref regard qui étaient froid, sans lumière. Il n'avait plus l'impression que la jument en face de lui était la jument qu'il avait connu autrefois, la belle et fragile Antartica pour laquelle son coeur avait fondu littéralement rien qu'à la regarder. Il soupira et se força à prendre une voix calme malgré la situation.

< Ce n'est pas toi ... >

Il ne servirait à rien de s'énerver, de plus que ce n'était pas elle la coupable, c'était l'étalon. Il n'avait jamais été là pour elle, peut-être avait-elle eut besoin de lui ? Certainement. Il baissa l'encolure, regardant le sol, son toupet pendant dans le vide, son encolure musclée, arquée, certaines veines ressortaient car ses muscles étaient contractés.

< Je m'en veux .. De ne pas avoir été là quand tu en avais besoin ... >

Il savait que même en disant cela, ça ne changerait rien au comportement de la grise. Il retenait lui aussi ses larmes, faire souffrir les autres et surtout Antartica n'était pas ce qu'il voulait. Mais maintenant tout était perdu ...

L'étalon couleur de charbon crut aux premières phrases de la belle grise qu'elle le rejetterait. Il avait le coeur serré, près à céder à un grand déséspoir il se rendit compte qu'il restait encore une lueur d'espoir. Un mince espoir dans le coeur du mâle, qui grandissait au fil des secondes. Son regard glissa sur les membres de la grise jusqu'à ses yeux qui avait retrouvés leur éclat d'antant. Un fin sourire qu'il n'avait pas vu depuis longtemps se dessina sur les lèvres de l'arabe. Sur le coup de l'émotion, il ne parvint qu'à glisser ce mot, ce nom si précieux qui l'avait bercé toutes ses nuits.

< Antartica ... >

D'un geste souple et grâcieux il passa son encolure au-dessus de celle de la grise, entendant son coeur battre dans ses tempes. Il profita de ce moment là où sa peau toucha la sienne, si douce, dégageant une délicate odeur. Le Paradis existe ...