Je marchait tranquillement puis entendait un cheval. Le regardait, puis dit :

-Bonjour.
Je suis Grisette, j'ai 4 ans. Et vous ?-

J'attendis la réponse du cheval.


[b]Correction:

Je marchait tranquillement au pas, un vent léger soufflait et faisait voleter mes crins de droite a gauche et de haut en bas. Je me sentais légère en cette journée d'hiver.
Quelques flocons venaient se poser sur mes naseaux. J'étais un peu surprise au début mais je comprenait vite que ces flocons blancs et humides n'étaient pas dangereux pour moi, ils allaient juste me mouiller un peu, cela s'arrêterait la.
Je vit un cheval peu loin de moi, doucement prenant le trot je m'approchait d'elle, ou bien de lui, je ne sentais pas son odeur a cause du froid.

-Bonjour,
Je suis Grisette, j'ai 4 ans, et vous ?-

Tranquillement, bien que cette présence aurait pus m'effrayer car je voyais rarement des chevaux ces derniers temps je l'observais, elle semblait gentille, je décelait maintenant grâce a sa proximité l'odeur de jument qu'elle dégageait, étant une jument aussi cette odeur m'était naturelle et j'y était moins sensible.
Je lançait un regard vers le ciel regardant les flocons doux tomber sur moi et la jument qui me faisait face.[/b]

Elle regardait la jument puis baissa la tête, repensant à son passé.
-Mon passé n'a été qu'une succession de malheur, je ne préfère pas le raconter ...
Et ce passage là de mon passée fait partie de mon malheur...
Je te dit juste cette phrase :
J'ai galoper et galoper pendant des semaines et des semaines pour arriver ici ...-
Elle regardait la jument, puis regarda le sol.
-Ce sol me fait penser au sol de l'horrible histoire qui s'est passer quand je suis née ...-
Elle commença alors à pleurer un peu ...

Un tout petit noir arriva au galop. Il souriait, tout joyeux. Il sautillait partout autour de sa maman. Puis il s'arrêta net et regardait en souriant la jument blanche. Il lui sourit amicalement.

- Bonjour, moi c'est Reckless !

Le petit alla déposa un câlin contre le flanc de la jument triste. Le noir releva la tête pour la regarder dans les yeux et lui sourit, tentant de la réconforter, au moin un peu. Il y déposa une petite lichouille. Puis il retourna voir sa maman.

- T'a une nouvelle amie maman ?!

Il se remit à sautiller, heureux de sa nouvelle vie. Puis il s'arrêta et pencha la tête vers le sol, arrachant quelques brins d'herbe sur le sol moelleux. Il les dégusta lentement avant de retourner tout contre le flanc chaud de sa maman.

reckless venais d'arriver ....
''heuuuu une amie ? heuuu non nous venons tout juste de se rencontré!''
j'étais triste pour cette jument après tout elle avais sûrement vécus quelle que chose de très bizarre et d'affreux ... peux être comme moi ...? les humains si méchant toujours a nous envoiler a la boucherie !! quand ont ne serre plus a rien !....
reckless arrachas un morceaux d'herbe parterre,je fit de même.

Correction

Reckless arrivas a ce moment posant une question

"Amies ? heu je ne sais pas, je pense qu'il est trop tôt pour le dire, nous venons tout juste de nous rencontrer !"

Je sentis de la tristesse monter en moi envers cette jument Grisette; elle a surement vécue des choses horribles, peut-être as-t-elle un passé semblable au mien ? Un passé entremêlé avec celui des hommes si cruels, qui semblent ne penser qu'a nous manger et nous tuer sauvagement dans des infâmes boucheries ... Ils pensent qu'au bout d'un moment nous devenons inutiles, alors que c'est faux ! nous avons toujours une utilité, et a quoi bon les servir si bien si c'est pour finir en rôti ?
Reckless arracha un morceau d'herbe, je le regardas le mâchonner tranquillement et en fit de même, chassant mes sombres pensées de mon esprit ...

( Il est devenu étalon maintenant ! ^^ On va continuer le sujet avec Reckless en étalon. )

L'étalon se déplaça avec souplesse vers la jument. Il lui souris tendrement. Et de sa nouvelle voie de jeune homme il lui lança :

- Être amie avec ma douce mère n'est pas bien difficile.

L'étalon continua de regarder la jument blanche comme neige.

- J'ai à peine 4 ans.

L'étalon avait été absent un petit moment, sa mère le voyait pour la première fois de sa vie en tel étalon. Le grand noir releva la tête bien haute, fière de ce qu'il était devenue avec le temps. Il regarda sa mère, était-elle fière ? Il ressemblais exactement à son père. De ce qui lui resta en mémoire bien sûr. Il avait maintenant une grande crinière noire et lisse et une longue queue touchant presque le sol. C'était là, un beau Quarter-horse noir.

Récapitulatif :

J'ai corrigées vos topics, les débarrassant de leurs fautes d'orthographes

Je vous ais tapés en dessous de certains de vos post une correction plus longue, que vous pouvez prendre ou non, mais cela vous montre ce que vous pouvez faire pour compléter vos messages ;)

Et j'ai supprimé le petit flood ou vous débattiez de qui doit répondre, cela vous feras gagner de la place ;)

Voila, pour toute réclamations concernant mon travail sur ce topic se seras par mp SVP

(nia ah! merci beaucoup ?°pandor XD!)
''reck reckk reckless ?! ces bien toi mon chérie oh mon dieux comme tu a grandit...!''
je le contempla longtems noir plus noir que la nuits....
j'était fière d'être la mère d'Un aussi grand étalon et aussi élégans !
''tu a trop grandit mon chérie regrade toi tu est si beau si grand si élégant ! ''
il n'était plus le petit poulain que je suivais a la trasse ,petit poulain qui gaffais prèsque toujour.... Et maintenent je n'arrivais peine a y croire !je repris mes esprit quand mon poulain heuuu veux dire mon grand fils parla...

L'étalon noir fit quelques pas dans le sol recouvert d'à peine 2 cm de neige. Le vert voulais recouvrire toutes cette neige blanches. L'étalon s'arêta et tendit le coup vers l'oreille de sa tendre mère. Avec un sourire si élégant, il lui chuchota quelques mots à l'oreilles :

- Maman, désoler de cet petit absence. Seulement, j'aimerais que tu m'apelle encore ton petit poulain. Ne change pas, et donc moi, je ne changerais jamais. Mon coeur est encore poulain.

Il recula la tête, après ces phrases, bien droite, au dessus des épaules. Son encolure avait beaucoup grossis et était devenu musculeuse, comme ses grosse pattes de Quarter Horse et son corp massif d'étalon sauvage. Le noir au coeur d'or se dirigea une nouvelle fois vers Grisette. Il lui souris, le plus élégant possible. L'allure de cet étalon était définitivement différente du temps jadis où il était un tout petit noir. Bien qu'il fût poli, élégant et tous ce dont un étalon possède lorsqu'il était poulain, ces qualiters avait pris bien plus de beauter.

L'étalon noir fit quelques pas rapide vers Grisette pour l'aider à ce relever, mais elle fût plus rapide que lui. Il regarda d'un cout d'oeil futif si la jument blanche était blesser. Non, heureusement. Puis il se recula, conscient que d'un cout, il était trop près de la jument. Mais évidamenet, l'étalon était plus grand que la jument.

- Désoler, rapide tout de même !

Il lui sourit. Il était seul avec des juments. Quoid dire alors ? Il n'avait jamais connu de jument, seul sa maman. Il regarda la blanche, il voulais dire quelque chose, mais il ignorait. Il réfléchit quelques secondes pour enfin briser le silence qui le torturait et l'agacait.

- Comment vous êtes vous rencontrer ?

Il s'adressa à la jument blanche. Ignorant pourquoid, c'était elle qui était devant lui. Puis attendant la réponde de cette question un peu débile, il gratta le sol du sabot, cherchant veinement à trouver quelques brins d'herbes.

Le grand sourit, il gratta encore. C'était bien pauvre, ce sol. Il tomba sur les genoux de devant, c'était voulu. Puis il tomba sur le côter, brusquement mais sans mal. Il se mit à rouler sur le sol froid, recouvert de neige. Il se releva un peu plus tard. L'herbe était écraser mais au moin il y en avait ! Il regarda la jument, et hennis, lui disant la précense de brins. Il se releva, bient fière d'avoir trouver à manger pour un autre cheval que lui-même. Il pencha la tête, courba sa puissante encolure, gratta le sol avec son sabot avant droit et hennis. Il était content !

- Aller, maman, Grisette, venez manger !

Puis, il se retourna vers sa mère en souriant.

- Pour une fois que ce n'est pas toi qui me nourris ! C'est bel et bien mon tour ! Tu ne peux refuser de la nouriture !

Puis, attendant les juments, il regarda la blanche.

L'étalon releva brusquemenet la tête. Ami ? Il mâcha lentement la touffe d'herbes qu'il avait dans la bouche. Il émit un bruit de gorge, avalant sa nouriture. Puis il se retira du coin vert et dirigea chacun de ses sabots, plaquer contre le sol, allant vers la jument blanche. Il ne sourait pas, ses yeux se contentèrent de fixer ceux, noirs, de la blanche. Il s'arêta net, devant elle. Ses traits ne dissait rien. Il se au petit trot, contourna gracieusement la jument. Puis, il s'arêta une nouvelle fois, face à elle. Ami, elle a dit vraiment dit de mot ? Ami ! Il la regarda, sincèrement.

- He bien franchement...

Puis il balança la tête vers sa mère. Elle releva la tête, laissant échaper un petit hennisement et lui sourit. L'étalon retendit l'encolure vers la blanche. Puis, ses traits, sans émotion et net, se changea vite en sourire. Les yeux brillants. Il releva hautement la tête, comme il le fessait à l'habitude. Il paraissait encore plus grand et plus puissant. Il s'aprocha près d'elle. D'un chuchota, il lui dit :

- Jadis je n'est eu de véritables amis. Je ne sais pas bien comment m'occuper d'ami alors si je fait quelque chose de mal, chère, vous me le ferez savoir.

Il lui sourit. Le mot ami ne lui avait aucunement échaper. Il n'avait pas beaucoup eu d'expérience de vie. Jamais il n'avait éprouver d'amour, non plus. Le grand noir fixa attentivement la réaction que la jument laisserais échaper vainement.

regardant les jeunes chevaux manger je méforcais de manger moi aussi quoi que je n'avais pas trop faim...je le vais les yeux au ciel...je rie dans ma tête en entendant reckless dire a la petit blanche que sil fesait des erreure de l'avertire...comme je luis avais dit quand il était encors poulain dans notre première rencontre...Ce si merveilleux souvenir ,la première journée de mon arriver sur ces terre ou j'avais rencontré cette adorable petit poulain noir drolement gentil et rigollo...qui c'était avéré mon fils au bout du compte une chose que je ne regrettais pas du tout ! au contraire c'était ce qui mavais permis de mieux me sentir ! Il était un nouveaux départ pour moi ...!je les comtemplaire un instant... puis releva la tête prusquement car une douleur vive me transperca le jarret ... je donna un coup de sabot derrière moi alors qu,il n'avais rien je me retourna et contemplat le paysage sombre et blanchi par la neige....en éffect il n'y avais rien ... Ces douleur crée par l'éttirement commencais a sérieusement m'énervé!
-merci mon chérie pour avoirs trouver cette herbe je suis rassasier m'intenent !-
je n'avais jamais eu faim mais je le fesais pour mon chéri ...pour ne pas le blesser...
-voilon reckless ! tu ne peux pas être si mauvais que ca ! tu a toujours été le plus gentil et le plus adorable comment pourais tu ne pas être a la hauteur !-
sur ce je secoua ma crinière quelle que peu irité par les paroles de reckless ! après tout il ne pouvais pas être mauvais ! si j'aivais pus m'occuper de lui il pouvais sans doute être capable d'entretenire une amitié !

L'étalon, yeux fixé tendrement dans ceux de sa mère, l'écoutait bien attentivement. C'était un nouvel étalon bien élever pas sa propre mère adoptive. Il en était absolument reconnaissant envers Soya ! Mais sa vie improvisé ne l'avais jamais permise, auparavant, de faire quelques rencontre. Bien sûr, il se serais bien passé de la rencontre avec les loups, lorsqu'il était poulain, avec sa mère, il y a à peine trois ans et demi tout juste ! Le grand étalon remercia sa douce mère. Il bougea discètement les comisures de ses lèvres noires, laissant un petit sourire en coin. Le noir avait évidament remarquer la gentillesse de sa propre mère qui s'efforçais de manger pour ne pas le blesser en refuser sa trouvaille verte. il en fût, étrangement, heureux. Avec tant d'empleur, le grand noir se retourna vers la jument, aussi près d'elle de la minute qui précédais ce petit moment amusant. Il lui souria une nouvelle fois.

- Ma vie manque bien d'expérience, cependant. Lorsque j'étais un jeune poulain, ma mère restais toujours avec moi, alors jamais je n'es pu faire de rencontre comme les jeunes poulains le font normalement. Évidamenet, je n'en veux aucunement à ma mère, car j'avais si besoin d'elle durant toute ma jeunesse...

Il torda son immense encolure en souriant vers celle-ci.

- Et encore aujourd'huit, j'ai besoin de sa précense de mère ou d'amie.

En retournant sa tête noire, il replaca ses yeux dans les yeux de la blanche.

- Il n'y à jamais eu d'amour dans mon coeur, ni de puissante amitier. Mais toutefois, je n'accuse pas ma mère, car se serais totalement impossible de ma part de lui faire une telle chose incrédule et cruelle. Je ne saurais dire si c'est de ma propre faute, même. Mais j'ai vite compris, en devenant étalon, que la vie me réservais tout autre chose que ce que je vivais jadis. Alors je me dis que, évidamenet, je vais faire autres rencontres, dont celle-ci, ma foi. J'ai appris par moi-même de regarder les chose en temps et lieux.

Après ce long discours improvisé, et inutile qu'il venait de rédiger de sa mémoire aux deux juments, il se sentis extrêmement ouvert de lui-même et tout aussi stupide ! Le manque d'expérience le rendais trop ouvert aux autres, aux inconnues.

Incapable de dire un mot de plus, il laissa péniblement la tête vers le sol. Quelque chose le rongeais depuis lomgtemps. Il avait très envie ! Il releva la tête d'un coup brusque avec sur les lèvres un immense extrêmement contagieux, qualiter que l'étalon noir possédait. Puis, tous aussi rapidement, il s'adressa aux deux juments.

- Et si vous me suiviez !?

Sur ce, il se mit a galoper comme un fou, toujours sur les mêmes terres de la Toudra, il zig zagais partout, sautait par dessus de nombreux obstacles qui trainait sur son passage. Il regarda derrière lui, tentant de regarder si les juments l'imitait. Il esquissa un fin sourire en voyant la belle blanches, mais seul lui avait la chance d'être en connaissance de ce sourire subtil.

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