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| Sujet: Et l’ombre des oliviers se mêlent à l’ombre de la nuit. [L] Dim 11 Avr - 21:11 | |
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Comme si de rien était. Comme effacer dans l’ombre de la nuit.
De loin comme de près, se bosquet avait un air effrayant dans le noir. Les arbres aux branches squelettiques dansaient dans la nuit, portée par la petite brise froide régnante. Les feuilles s’entrechoquaient dans un tonnerre d’applaudissement plutôt sinistre. Quelque fois, on pouvait entendre des grincements comme si les oliviers ricanaient entre eux. Quelque fois le vent nous jouait des tours, soufflant d’un coup sec et faisait pencher tous les arbres sur nous, comme si ils nous épiaient… La plupart des animaux auraient eu peur de cette endroit, la plupart auraient fuit, mais il y avait toujours une exception à la règle, aujourd'hui cette exception était une jument. Une jument noir, comme la nuit environnante, à y réfléchir elle se fondait parfaitement dans le décore. Le croissant de lune faisait refléter la robe sombre du cheval, projetant aussi sa lumière sur les branches, éclairant le chemin. L’animal avait pénétré dans se petit champ et marchait d’un pat régulier, tête baissée, analysant attentivement les quelques obstacles sur le sol. Quelques fois elle relevait la tête et alors là vous pouvez voir deux yeux sombres, reflétant les étoiles, vous fixés froidement. Jusqu’à qu’elle rebaisse la tête et continue son chemin comme si de rien était… Comme rejeter par la société, cette jument voyageait de nuit, évitait tout contacte équin, et s’effaçait dans le noir. Cette jument, Fallen Angel, s’arrêta au milieu de son chemin, leva la tête et examina attentivement les alentours, venait-elle d’entendre un bruit ? Ou était-ce la fatigue dut à se long voyage ; le retour vers les Terres Natales… ?
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Midnight Les mots ne vivaient que par eux.
Nombre de messages : 29 Age : 31 PUF : Emy Date d'inscription : 31/05/2010
| Sujet: Re: Et l’ombre des oliviers se mêlent à l’ombre de la nuit. [L] Mar 1 Juin - 11:40 | |
| Prue ♦, la nuit a tout risque La nuit. Une lune flottante dans un ciel noire. Cette nuit la, j'airais du rester couchez. Mais mon sens de l'aventure l'avais encore emporté. De plus, la fatigue ne venait pas. Je n'était pas du tout fatiguer. Je décidais de me lever pour contempler cette belle lune auquel le calme régnait. je décidais de marcher ver elle. je sais, c'est si stupide. Mais pour moi sa avait une grande importance. je marchais dans la nuit, mais pattes ne faisait aucun bruit. J'étais comme un diable silencieux qui allait volé les âme des autres. Je n'avais pas peur des chevaux. Car je savais que j'allais tomber sur un des leurs.
La lune me conduisais vers une forêt. J'en déduit que c'était une forêt d'olive. Sa sentais l'odeur désagréable d'un équidé. Pas de doute yen avait un le coin pour y mettre une telle odeur sa ne pouvais être que eux. Mais il y'en avais un seul. Si je croise sa route, il va se mettre a ruer et sois a partir, sois a m'attaquer. Il sont tous comme sa. Il y'en a jamais un pour rattraper l'autre ! Le olivier avais une couleur noire, ici ce n'était pas un paradis. Je finis par arriver sur un chemin ou se trouvais un cheval. Il était la, juste en face de moi. Il avait la couleur noire, on pouvais le confondre au paysage.
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