Je vit une jument blanche, plutôt belle. Je coucha les oreille, effrayer, je ne puis bouger alors qu'elle me parler. Un simple bonjour aurait suffit, mais là, je ne sais pas pourquoi, rien ne put sortir de ma bouche. J'était effrayer, en en plus je ne savais même pas pourquoi, elle n'avais pas l'aire méchante pourtant. J'essaya de dire quelque chose. J'ouvrit la bouche. Sans succès. Je juste sortit un :

-Beuh..Bon...

Puis je me mis à la fixer, j’espère quelle ne trouvera pas ça méchant, car quand je dévisage un cheval je m'y prend assez bizarrement ! Je commença regarder sa tête, jolie d'ailleurs puis son corps, bien proportionner. Puis j’entrepris de dire quelque chose sans bégayer se qui donna :

-Beuh..Bonjour .

J'ai réussit, j'ai réusit à paler a quelqu'un depuis que je suis ici ! Toute fier de moi, je mis la queue haute et je marcha détendu pour de bon .
Tout à coup je fixa une touffe d'herbe verte et grasse, très rare ici, je je me mi à la manger.

Je crois que je l'ai un peu vexer en la dévisageant. Je dis d'un calme inimaginable pour cacher mon stresse de jument peureuse :

-Je suis Vicky du Silver Farm, nouvelle et plutôt timide .

Je me sentis m’empourprer, ma jolie robe blanche devenue peu à peu rouge. Je baissa la tête de peur qu'elle se moque de moi.Je n'ai pas la chance comme elle, de parler beaucoup. Pourtant elle me sembler très gentille ! Mais j'avais peur, cette peur semblait provenir du plus profond de moi. Que dire, que faire ? Je ne savais plus rien. Même plus commet je suis arrivait ici ... C'est alors qu'un flash-back me revint .

Le Flash-Back :

-Fiona, vient ici chérie, j'ai une petite surprise pour toi !
Je précipitas dehors. Je vis un magnifique cheval alezan.
-Sais qui ? Dis-je avec curiosité .
-Ton cheval, ma puce !
Je sautas de joie !
-Comment se nomme-t-il ?
-Star, s'enquit ma mère

Retour à la réalité. Mes yeux semblais perdu dans le vide et quelque larme coulèrent sur mes naseaux .

Elle dit c'est quelque paroles, sur, pour moi un ton réconfortant.
Je m’empesa de sécher ces quelque larmes qui coulaient avant de lui dire :

-Je ne penses pas, mais avant, j'ai une une vie bien différente ... Avant ...

Je dis ses quelque mot sur une voix plutôt calme qui exprimer ma tristesse.

-Et toi comment es-tu arrivé ici ?

En disant ça, j'espérer changé de sujet.
Tout doucement, je releva la tête, puis je mis remis à la fixer encore plus bizarrement.
Décidément, c'est une manie chez moi de regarder les gens en essaillant de trouver leur
humeur ou autre chose peut-être. Mais non, mon regard ne se décolla pas d'elle. Elle
avais les même proportion que lui mais pas la même robe. Je me mis à marcher en
espérant trouver le réconfort. Rien n'y fis. Juste c'est parole douce me réconforté ...
Alors je me mis a poser des question inutiles :

-Tu as quel âge ?

J'espère ne pas l’embêter, mais si elle savait comme sa voit me calme. Cette jument prénommer White Princess est très gentille ...

[Je m'incruste, si je peux ^^]

Je galopais, à mon aise, comme d'habitude... Crins au vent, mes sabots martelaiient le sol d'un galop très régulier. Leur tintement inspirait la crainte. Le soleil, inspirait la joie. L'air doux et chaud, qaunt à lui, me remémorait cette après midi... Je ne souhaite pas y penser. J'huma l'air, timidement, méfiament, comme s'il allait m'emporter comme il l'avait fait pour ma mère... Les larmes ne pouvaient couler. Je n'étais pas sentimentale. Je ne suis qu'une sombre jument au coeur noir. Mais ma robe est blanche. Blanche comme les nuages. Mais salie par la poussière, les traces, les cicatrices, de mes combats. J'étais un peu un "étalon manqué". Celà ne me genait pas. Rien ne me genait. Juste ceux qui voulaient tout savoir de mon passé. Je n'en ai jamais parlé. Des juments m'avaient déjà prise pour un étalon. J'avais déjà réussi à rentrer dans un troupeau d'étalons, abandonnés par le troupeau de leur mère. Mais j'étais partie. J'étais faite pour la vie sauvage, pour le monde solitaire. J'étais das mon monde, ma vie, mon coeur, mes pensées... Mon monde est sombre et triste, comme mon coeur. Déjà, en ais-je un ? Je ne sais plus aimer. Aimer, c'était il y a longtemps. Puis, lorsque je vis deux chevaux, à travers les hautes herbes, je me figea, faisant virevolter quelques mottes de terre, et des brindilles. Je piaffa, puis trottina vers elle, m'approchant tel l'animal sauvage... Prêt à bondir sur sa proie... La proie, c'était ma mère... JE baissa la tête, et fit un énorme bond, pour atterir près de deux chevaux blancs, qui discutaient. Je cabra, brutalement, battant des antérieurs. Je poussa un hennissement strident, sauvage, menaçant. Je continua de hennir comme une folle, déchirant l'air de mes puissantes machoires, les faisant claquer tel le loup, sous le soleil chaud. Quel sentiment ces chevaux éprouveraient-ils pour moi ? De la compassion ? De la joie ? De l'amitié ? De la Haine ? De la PEur ? Je n'en savais rien, mais je n'étais pas très chaleureuse. Surtout depusi que j'avais perdu de vue Kate PArish...