Horreur. [Libre]

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Elle avait trouvé encore une fois le moyen de la détruire, brutalement comme à chaque fois.Elle était étendue sur le sol glacé, trempée jusqu'aux os, par cette pluie acide qui vous détruit plus qu'elle ne vous mouille, qui vous ronge de l'intérieur dans une lente agonie silencieuse.Et elle la contemplait en riant, ses yeux qui brillaient de leur éclat si malsain, aimant à voir le spectacle de son corps décharné, réduit à néant par ses murmures encessant et ses coups si brusques.Oui, Car en effet, c'est une fois que la trsitesse et la peur vous frappe que l'horreur vient ensuite vous hantez, pouvant venir a detruire toute une vie, toute une âme. Cette tristesse et cette peur qui à ce moment même vanaient hanter le petit coeur furibond de la pouliche.

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¤Un étalon, nouveau sur ces terres, passait par là. Il était grand, costaud, et pie tobiano, mais les apparences sont trompeuses...

Il était en marche sur le glacier, un endroit qui était proche et éloigné à la fois. Le sol craquait sous ses sabots, mais qu'en avait il à faire? Se qui l'interpella était un rire nerveux, assez enfantin. Il s'en approcha, distant et vit une pouliche, allongée, mouillée. Il s'approcha d'elle, se mit au-dessus d'elle et la regarda dans les yeux.

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La petite pouliche, ettendue sur le sol glacé de cette plaine si sombre, rongée par l'armertume de la melancolie, eut peur. Elle aurait voulu se relever d'un bond et se debattre, mais, son sang était bien trop gelée et en carence de sucre pour parvenir a la faire lever. La pouliche essaya donc mais en vain, elle glissa de ses anterieur laissant un fin gricement de sabots sur le sol se faire entendre. Elle retomba donc sur le sol, paniquée ne sachant plus trop quoi faire. Elle regarda le garnd étalon, puissant de ses yeux rond et noir comme la cendre des enfers. Elle avait attrocement peur une fois de plus. Elle le regardait toujours fixement, des yeux appeuré et paniqué.

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L'étalon la regarda dans les yeux, un air de pitié dans ces derniers. Elle sourit à la jument et la souleva du bout du museau. Il la remit debout puis s'allongea à ses côtés. Il lui fit un signe de tête pour qu'elle monte sur son dos et qu'il s'en aille de ces terres glacé. Il sentit la brise, cette fausse amie soulever sa crinière. Il regarda le soleil, en train de se coucher et attendit que le pouliche réagisse. Elle avait de le chance; il était de bonne humeur.

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Seulement la petite pouliche tremblottante ne pouvait faire confiance a un inconnu. Lorsque celui ci s'approcha d'elle elle gemit doucement et ses petites oreilles toute froide se plaquerent desuite en arriere. Ses petites dents pas encore toutes formée se decouvrirent legerement. Elle agita son anterieur avec violence mais aucune puissance du peu de force qu'elle avait lorsque le mâle la poussa avec le museau. Elle ronfla bruyament des naseaux pour sa petite taille. Elle était ni couchée ni debout, non, entre les deux, les membres legerement repliés. Une position un peu bizarre mais la pouliche était petrifiée. Elle ignorait tout de la vie et ces terres si sombres. Elle ne lacha pas un mot se contentant seulement de foudroyer l'étalon de son petit regard innofensif.

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Last Exil courrait, courrait pour se réchauffer dans ce monde, si froid.
Cela faisait trois longues journées glaciales qu'il n'avat gouté au sang.
A la chair tendre d'un lapin, ni mis sa truffe ensanglantée dans les plumes d'un volatile imprudent.
Ses sens éguisés, percevaient sons, images et odeurs.

Odeurs ... Chevaux ...

Pourquoi ne pas tenter sa chance ?

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Dark Night se contre fichait de ce que pensé la petite pouliche. Un danger s'approchait, il le sentait. Il regarda la pouliche droit dans les yeux et parla pour la première fois depuis 2 ans: "Bouge toi, quelque chose se rapproche, je le sens, pas toi?" Il avait une voix roque sans être vraiment dure. Il voulait son bien et celui de la pouliche.

[ Mach Ich ? xD ]

Sans un bruit, sans le moindre craquement, une jument noire, au corps élacé était venue poser son regard doux, si calme si la pouliche. Elle lui souriait, maternellement. Elle aussi, avait vu un loups approché. Voilà donc pourquoi elle s'était décidé à venir vers eux. Voyant le corps gelé et mouillé de la petite, elle ne put s'empêcher de souffler un peu d'air chaud sur elle. Puis, elle regarda l'étalon. Plongeant sagement son regard dans le siens, sans un mots. Tant qu'ils ne la questionnaients pas sur toutes ces cicatrices sur son corps, elle restearit gentille, et patiente.

[Vous dites si je dérange ]

» Quelle Horreur !!
» C'est quoi cette horreur ? [Colorful ?]
» [Strange Manipulation] Qeulle horreur!! Des fleurs!!
» libre..je galope..libre je resterai( PV libre qui veut?)
» Libre comme l'air (libre)

Horreur. [Libre]

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