Kommt mit mich [PV Vent Automn']

Des trombes d'eaux ... qui tombent dans un bruit assourdissant,
Qui créent une vapeur, qui s'envole vers les cieux, inexorablement ....

La d'ou viennent ces chute est invisible depuis le bas, il semblerait qu'elles touchent les nuages, et puisent leur eau en eux ... mais c'est impossible ...

Pourtant, parfois, on se le demande ... Est-ce que cette eau, n'est pas celle des larmes des ames au paradis qui pleurent leur vie de vivant ? ...

Cette réfléxion n'est pas trés gaie, mais qui sais ... c'est peut-être vrai ?

Pandor s'adonnait a ces réfléxions, au bas des chutes, ayant mal au cou a force de regarder vers le haut il le détendit en le repliant vers le bas.
Il fit quelques pas en direction de l'eau, la ou elle était plus calme, et ou le bruit était moins violent.
Il but quelques gorgées d'eau, elle était fraiche, et bonne ... cela ne ressemblait pas a des larmes, car les larmes sont salées ...
Il marcha de long en large au bord du cour d'eau, ne sachant que faire, finalement il se posa et broutit un peu, néanmoins au bout de 10 minutes il relevit la tête pour trotter un peu, il s'ennuyait seu ... pas une seule jument a l'horizon ... même pas la sienne ...
Ou pouvait bien donc être Fast en ce moment ? Cela faisait bien 15 jours que Pandor ne l'avait pas vus,
Tout en réfléchissant il trottait en cercle.
Finalement il s'arréta et retournit boire quelques gorgées d'eau fraiche pour se désaltérer.

Invité

Les âmes qui nous regardent, ne sont telles pas présentes ici même ? Leurs larmes, peut-être, mais si l’on y réfléchit, qui pleurerait au paradis ? Le Paradis est le lieu des soupirs et des longs désirs. Il est interdit de pleurer. Il n’y a que joie, qui nous enveloppe. Mais seul, ceux qui ont accomplis leur vie de vivants, peuvent y venir. Car, ceux qui ne l’ont pas finit, mais qui sont partis, alors apparaissent sous une autre forme. Un Esprit, morne, ou ténébreux. Tel un pacte avec le diable. Un peu moins douloureux. Mais ce qui ont tout donné, on le droit d’accéder, aux portes du Paradis, du Monde Infini. Pilou, je me demande si tu as le droit d’y accéder. Vas-tu me laisser seule, ou m’appeler ? J’aimerais voir encore un peu de notre Passé. Mais je finis par oublier. Ton âme est présente, dans cette demeure. Mais sans toi, tout est vide. Malgré le bruit et les rires. Sans toi, je n’ai plus de sourires. Pilou, toi aussi vas-tu te réincarner. Je ne le sais. Mais si un jour je vois le bout du monde, et que moi aussi, je suis sous les chutes du Niagara…Alors, ne pleure pas. Fais-moi juste signe. Pour me dire, que je peux survivre. Car sans toi, pour le moment…Même le plus grand des sourires sur mon visage, cachent des pleurs douloureux.
A toi, mon Chat. Ceux qui n’ont pas d’animaux, ne peuvent pas comprendre la douleur que l’on ressent quand on les perd. Ils sont tout…Et ceux sont nos moitiés. Pour le meilleur et pour le pire. Comme un serment…
Benjamin, marchait doucement. Enfin, non, Vent Automnal marchait. Benjamin se contentait de penser. Et penser, c’est déjà une grande activité. D’abord il y avait tellement de choses qui trottaient dans son esprit. Comment devenir un cheval ? Maintenant qu’il avait le corps de l’animal, il ne manquait plus que de se fondre dans son esprit. Enfin, pas entièrement. Juste le temps de vivre, cette vie là. Elle semblait bien, après tout. Mais le problème était le suivant. Il fallait bien du temps, pour comprendre le cheval. Benjamin, ne comprenait encore rien à leur caractère ou à leur vie. Ils étaient juste libres. Et ça, c’était agréable. Mais le problème, c’était qu’il ne se voyait pas vivre définitivement : « En Humain au corps d’équidé ». C’était inconcevable. Et pour éviter cela, il devait devenir, par l’esprit, un Etalon. Il fallait absolument qu’il y arrive. Mais déjà, il commençait à se fondre dans le corps de Vent. Vent était étrange. Il semblait perdu, tout autant que lui.
Deux âmes abimées se retrouvent pour essayer, de construire un avenir moins pire.
Vent Automnal se retrouva aux chutes du Niagara. Il pencha sa tête et bu quelques gorgées du liquide limpide. Si c’était des larmes, elles étaient si délicieuses. Il tourna la tête, et vu un étalon. Il se recula, planqua ses oreilles en arrière. Et doucement, il appela Benjamin. Mais celui-ci ne répondait en rien. Alors l’étalon, rua, cabra, et se campa sur ses quatre membres. Il était aussi perdu que son humain. Mais il ne réfléchissait pas comme celui-ci. L’agressivité était son domaine. Mais elle était passagère. Comme le vent…Il reprit une attitude normal, et observa le cheval qui était devant lui…Tant pis…

Pandor fut surpris par la réaction e l'étalon qui venait d'arriver,
Il venait a peine de s'apercevoir de sa présence qu'il avait décoché un oup de cul et c'était cabré ....
Allez donc comprendres certains chevaux, il faut croire qu'ils n'ont pas tous leur tête ...
Ce n'est pas qu'il prétend être plus intelligent que d'autre, ou qu'il n'avait pas des réactions connes parfois, bien au contraire mais la ...
Effectivement, s'aurait été un carnivore, Pandor aurais réagis de la même facon mais ce n'était pas le cas ... a moins qu'il se soit transformé en loup dans son sommeil ...
Par prudence Pandor se regarda, non, des sabots, des jambes, pas de griffes, il était toujour lui même ...

L'étalon était a présent face a lui. Pandor ne fit rien, pas un mot, il attendait que cet étrange cheval commence ....

Invité

La folie de certains. Oui c’est Vrai, Vent Automnal n’était qu’un passager du mal et un passager du bien. A la fois méchant et néfaste. A la fois, beau et délicat. Mais, c’était une bise bien aigre, qui l’enveloppait par moment. Une chose étrange, que ce personnage. Et Benjamin était le premier témoin des folies lunatiques de cet étalon. Il en était effrayé, mais ne jouait pas de son esprit. Pas la peine de réveiller, encore plus la colère, de ce fou d’étalon. Mais voilà, qu’il se calmait et affichait presque un sourire. Quand allait-il exécuter quelque chose de logique ? Pourquoi était-il si Illogique ? Pour ce mettre en avant ou parce que réellement son esprit était nécrosé par la folie ? Qu’importe.
Il s’arrêta devant l’autre cheval et dilata ses naseaux, et hennit avec fureur. Et voilà, il était reparti. Pourquoi donc, était-il si fou ? Avait-il une histoire à raconter lui aussi ? Etait-il si fou ou cachait-il un secret lourd à garder ? Les sourires sont menteurs et recèlent de nombreuses choses…

[Aucune Inspiration ! Désolé]

[pas grave]

L'étalon regarda l'étalon, un sourire s'afficha quelques instants sur son visage, puis il repartit. I avait poussé un henissement, comme ceux que poussent les étalons lorsqu'ils sont en train de se battre. Mais la on aurait plutot dit que ce cheval était en train de se battre avec lui même ...
Un etalon enfermé dans un corp d'étalon qui se bat avec son corp ... Voila quelque chose de bien illogique et absurde ... Pourtant un cheval au caractére et au comportement si incertain que le sien poussent a se poser la question deux fois ...
Pandor, décida de faire quelque chose, il n'allait pas rester planté la a attendre que l'étalon reviene et reparte en coup de cul. Il prit donc le petit galop, se déplaca un peu, se rapprochant de l'étalon, puis il s'arrétat et se mit a brouter comme si de rien n'était.

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