• Histoire • . Ma naissance ?
Oui, c’est une partie qui semble importante, mais elle se situe à la suite,
d’un retour en arrière. Ma mère, mon père ? Leurs rencontres ? Elle
me parait essentielle pour la suite. Parce qu’après tout, si je suis devenu ce
que je suis, c’est que dans le fond, ce n’était pas réjouissant. Je courais…Ma respiration
saccadée et les tiraillements dans mes jambes, ralentissaient peu à peu ma
course. Le petit baluchon sur mon épaule, me déstabilisait. Et les gens sur mon
passage, m’obligeais à zigzaguer. Mais je continuai, comme je le pouvais. Je
voyais le train, sur le côté, qui commençait à partir. Etait-ce mon
train ? Celui qui m’emmènerait tellement loin de mes soucis ? Je ne
le savais pas exactement, mais tant que je partais, qu’importe la destination.
Je me précipitai donc vers le compartiment le plus proche et me hissait à
l’intérieur du train. Une fois dedans, je me laissai lourdement tomber sur le
sol. Mon front ruisselait de sueur, ma respiration ne reprenait pas son cour
normal et mes jambes étaient si lourdes, que me déplaçais serait impossible.
Mais je partais, et je crois que c’est ça l’essentiel…


Après, plusieurs minutes, je
me relevai faiblement et me dirigeai vers une place libre. Aucune ! Je
changeai donc de wagon et heureusement je trouvais une place près de la
fenêtre. Je posais mon petit baluchon noir, sur le siège à côté du mien.
J’observais le paysage qui défilait devant mes yeux. Des maisons, des
champs…Oui, des champs à perte de vue. Et je m’imaginais courant à travers les
herbes, l’herbe humide du petit matin, salissant mes habits. L’odeur suave des
fleurs et le chant mélodieux des oiseaux. Je m’endormis lentement, mes rêves
les plus fous, encombraient mon esprit…


« Hum…Pardon ?! Je
peux m’asseoir ? » Me réveillant délicatement, le regard fiévreux et
la bouche pâteuse, je ne compris pas tout de suite, le sens de ces paroles et
qui était mon interlocuteur. Mais après quelques secondes, je répondis, avec
une voix, agréable :





« Hum….Oui ! Bien
entendu ! » J’enlevai mon petit baluchon et le posai à mes pieds.
Pendant que mon futur camarade de voyage, installait ses lourdes valises, je
pus l’observer librement. Il était plutôt grand, mais assez mince. Ses cheveux
étaient d’un beau brun. Ils étaient légèrement bouclés, et plutôt longs. Je
n’arrivais pas à distinguer avec précision son visage, et je décidai donc, je
m’attardais sur ses vêtements. Il portait un simple chemisier blanc, déboutonné
en haut, laissant apparaître, un torse peu musclé et un pantalon gris. Je notai
l’aspect délavé de ses affaires et j’en déduis qu’il était peut-être lui aussi,
à la recherche d’un monde sans problème. Je baissai les yeux, affin d’observer
ces chaussures. Elles étaient grises, elles aussi, mais de simples chaussures
de villes, de marches. Rien de bien élégant. Cependant, un charme inexplicable
se dégageait de cet étrange personnage. Le voyant se baisser pour s’asseoir, je
détournai le regard, vers la fenêtre. Ma curiosité reprit le dessus, et je me
risquai à continuer la description de ce jeune homme. Il était heureusement en
pleine lecture, d’un volumineux livre. Je pus donc le regarder, sans aucune
crainte ou gêne. Son visage était assez fin, et son profil plutôt joli. Son nez
était bien longiligne. Ses lèvres étaient d’un sombre rouge. Une légère barbe
recouvrait ses joues et son menton. Mal rasé apparemment ! Je souris et
contempla ses yeux. Ils étaient d’un bleu profonds. Un bleu si beau. Un bleu si
expressif. Un bleu marin. Un bleu nostalgique. Un bleu souriant. Un bleu
mélancolique. Je regardai ce jeune homme, avec une infinie douceur, et voyant
ce regard si triste, mes yeux se remplirent de larmes. Je détournai le regard
vers mes chaussures, et essayait de me calmer. Jamais de ma misérable vie, je
n’avais vu, des yeux si tristes. Même mes yeux qui fuyaient le malheur, ne
l’étaient pas autant. Je fermai mes yeux, mes propres yeux et m’endormais, aux
pays des rêves… Moi, Chloé, je venais de rencontrer Sébastien. Tant mieux.
Etaient-ils fait l’un pour
l’autre ? Non, bien au contraire, mais ils s’aimaient. Et alors que vous
êtes dans votre lit en baldaquin, dans un grand château, des enfants courant
dans les couloirs, vous oubliez le reste, des personnes vous font rappeler que
vous êtes sur Terre, pas dans un conte.
Et là, vous maudissez « les autres » car ils vous empêchent de
ne vivre que pour « lui », le prince, et vous la Princesse.
Ce qui n’était que l’histoire
d’une nuit, se prolongea pour l’histoire d’amour « Parfaite ». Lui, Sébastien,
elle Chloé tous deux, fous amoureux. Mais un jour, la meilleure amie de Chloé,
la ramena, pour un court instant sur terre.
Le téléphone sonne, et la
jeune « Princesse xD » décrocha, une fois le tel’ au bout du fil,
elle s’exclama :
« -Salut !
-Ah, comme même j’arrive à te
joindre !
-Oh Roxy, bah, euh oui, nous
étions occupé Seb’ et moi !
-Mais arrête avec ton Seb’ sa
fait Autocuiseur…
-…
-Depuis que tu vis dans ses
bras, tu es aussi accessible qu’un homme du FBI ! Allez j’y vais, sa me
saoule ! Grrr » Bon, discussion brève, mais assez représentante de
l’humeur de Roxy. Mais il fallait dire que son fiancé, Manu’, était aussi
romantique qu’une moissonneuse Batteuse. La seule fois où il l’avait pris dans
ses bras, c’était pour éviter de tomber près d’un trottoir. Alors comparais à
Seb…astien, normal que son amie soit remontée.
Et le « Prince »
arriva, puis débuta une discussion.
« -Roxy m’a appelé, elle
me reproche que depuis que je suis avec toi, je n’ai plus de vie social.
-Mais si regarde, nous
échangeons des points de vue ! Nous discutons, tu as une vie social.»
Et la discussion dévia sur le canapé. Ah, Roxy n’était pas à 5minutes, après tout…Chloé pouvait entendre le bonheur
qui partait d’Est en Ouest dans son cerveau et elle qui avait détesté toutes
ses filles qui nageaient dans leurs bulles de bonheurs, elle leurs ressemblait !
Mais qu’importe. La femme est naturellement
sujette au romantisme et a intégré donc la demande en mariage, avec les
chandelles, les roses et le fameux « Mademoiselle voulez-vous
m’épouser ? ». Mais la demande, le Cas, Sébastien, Chloé, fut sans
doute ma préféré.
Chloé faisant un délicieux
petit gâteau au chocolat, attendant son cher et Tendre Seb’, nageait dans
l’étrange bonheur. Ni bisou, ni bonsoir, le voilà qui partait directement vers
leur chambre. De trois bruits, puis le voilà qui revenait, en colère, et
s’exclamant :« Je le savais ! Tu
as fouillé dans mes affaires ! Mais quelle fouine, que tu fais ! Tu
me déçois franchement… » Tentant un argument fiable pour prouver son
innocence :
« Euh…non…pas cette
fois ! xD » Et le voilà faisant les 100 pas dans leur misérable
salon. Chloé commençait à capituler, se disant que ce n’était qu’un excès
d’humeur, mais la lucidité la traversa :
« Et pourquoi tu me fais
un fromage pareil [fromage moins gracieux que Flan, mais plus communément
utilisé] ? Ah tu me trompes ?! J’en étais sur ! !! »
Et la voilà qui galope vers la chambre, fouillant dans son sac, les affaires,
s’imaginant déjà le doux mot de la blonde à forte poitrine, mais elle tombe sur
un écrin blanc… « Beuuuuhhh ??Bah, c’est quoi ce délire ? »
Elle le prend, l’ouvre et découvre…une magnifique bague! Et hop là, Sébastien a
réussi, Chloé a foncé tête baissée…xD
Pour Sébastien, la définition
unique du mot BEBE réside en un surnom que lui donne Chloé. Ainsi, il se réduit
en quelques mots : « Bébé, tu as fait le repassage ? »,
« Bébé viens me chercher s’il te plait ! », « Bébé je te
préviens qu’à la minute où je finis cette phrase je ne te parle plus de toute
ma vie et de toutes mes autres vies ! xD » Mais en réalité pour Chloé
BEBE veut dire tout autre chose…Lèche vitrine devant les « Jaccadi » et
consorts, le regard qui s’arrête devant les futurs mamans au ventre bien
ronds…Mais toujours pas de petits juniors dans ses jupons. Mais voilà qu’en…on
ne sait plus trop, l’annonce d’un petit stroumph fut immédiat pour Sébastien.
Fibre paternelle ? Oh Yeh ! Le voilà, près à accueillir un BEBE, dans
sa maison !
« Mais comment s’utilise
ce pot de peinture ? Non, Chérie, il fallait acheter une autre peinture !
Oh, mais pas des fleurs, c’est un garçon voyons, du bleu chérie, du Bleu! Plus
à droite le lit, là sa me plait pas…MAIS NON !!! Je t’ai demandé du
chocolat ! » Et voilà, après pleins de disputes, toutes aussi
ridicules les une que les autres, arriva Monsieur Benjamin.
[Cette partie, je précise,
était plus un petit amusement de ma part. J’avais envie d’écrire xD]

« Il faisait plutôt beau ce jour là. Mais
le temps n’était pas vraiment ma préoccupation. Cependant, ce matin-là, je me
demandais si le beau temps était un signe, d’une belle journée ?
Je m’approchais d’elle, ces paupières fermées, son visage serein. Aucune
douleur ne si dessiner. Seulement de la paix. Mes lèvres frôlées, les siennes,
et d’une voix suave, je murmurais : « Réveil toi mon
amour ! ». Et lentement elle se réveillait. C’était son regard brûlant
qui me troublèrent en premier lieu. Jamais ma femme, ne fut si belle. Et mon
dieu qu’est-ce qu’elle était belle au quotidien. La suite, je ne peux pas la
raconter. Le manque de temps. Tout se passa si vite. Les infirmières
préparaient absolument tout. Aucune erreur ne devait être commise. La vie de
notre enfant en dépendait. Je me posais des tas de questions. Quel jour étions-nous ?
Mardi 29 Août. L’année de la naissance de Benjamin. Notre fils… » Il
n’y avait plus aucune page sur le carnet. Je ne savais donc rien de ma
naissance. Absolument rien, sauf les inquiétudes de mon père et le beau temps.
Qu’importe, ma naissance ne m’avancerait en rien. Seulement à me rendre compte,
que mes parents n’avaient pas toujours étés absents. Je posais le petit carnet
de cuir, contre mon cœur, et fermé délicatement mes yeux. Le vent sur mon
visage, et les doux rayons de soleil, en ce matin d’été, m’enchantaient.
J’avais aujourd’hui 17 ans, et j’étais totalement seul. Le jour de mon
anniversaire. La seule présence était mes pensées. C’était déjà bien. Et en
cette journée, je voulais absolument retracé absolument toute ma vie, ici,
avant...d’être un cheval. Et mon histoire était longue. Il me faudrait donc du
temps.
Mes parents, avant, n’étaient
pas du tout riches. Mais mon père et ma mère ont hérité de l’argent de mes
quatres grands-parents, qui étaient de familles nobles. Oui, parce que, cela
non plus je ne le savais pas. Ma famille était une famille de noble. Tant mieux
pour eux. Moi, je m’en fiche à présent.
Vous connaissez ma naissance
maintenant. Du moins, vous en connaissez une partie. Autant que moi. Mais ce
que je connais après, c’est mon enfance. Et je pourrais vous raconter tous les
détails. Après ma naissance, quelques mois après, je crois, mes parents
partaient pour l’Australie. Ce n’était pas important pour moi. Quand on a 6
mois, voir même moins, tant que vous dormez et mangez, qu’importe l’endroit. Je
grandis donc, avec pour éducation, le français et l’anglais. Deux langues,
essentielles d’après mon père. Bien inutile à mes yeux et déjà parler par le
reste de ma famille. C’est-à-dire, mon père et ma mère. A cette époque, mes
parents étaient présents. Je grandis donc, dans un amour permanent. A deux ans,
je parlais déjà, l’anglais et un peu de français. Un don d’après mes parents.
Une habitude d’après moi. Je découvris les joies de la mer. Les journées à la
plage, avec pour occupation : se baigner et la création de château de
sable. A cet âge là, les belles surfeuses ne m’intéressaient pas. Je ne
comprenais même pas leur utilité, mais j’étais fasciné. Je les regardais évoluées
sur l’eau. Je me demandais si c’était des poissons ou des êtres humains comme
moi. Mais ces petits détails, futiles soient-ils, m’occupaient la journée. Mes
parents voyaient en moi, d’ailleurs, une future passion. Ils avaient vu faux. Vers
l’âge de trois ans, j’éveillai en moi, un intérêt tout particulier pour
l’environnement. Il suffisait qu’un moustique se pose sur mon bras, pour que je
reste un long moment en observation. Et malgré le bouton, qui me démangeait,
apparaissait, je remerciai le moustique, de m’avoir laissé le regarder. J’étais
ce genre de petit garçon, qui s’intéressait de tout, mais rien ne m’intéressait
réellement non plus. Je n’avais aucune passion. Et à l’époque, les chevaux, je
ne les connaissais même pas ! Seulement dans les livres. Les livres
d’images, remplis de petites pages, sans écritures, mais où votre regard
s’attarde sur les moindres détails. Mes années de 3 ans, n’étaient que des
années sans importances, comparais aux autres. Cependant je me souviens, des
journées sur la plage, et ma première nage. On se souvient toujours de sa
première nage. Je m’en souvenais à peine. Mon père, me tenait le corps, et
j’avais une énorme bouée, Mickey ! J’avais l’impression d’être un surfeur.
Erreur de ma part, mais la jeunesse, que voulez-vous, vous fait croire de
nombreuses choses ! Puis je grandis…Mon langage se développait. Autant
l’anglais que le français et il s’avéra
que je fus de ces enfants qualifiés de doués.


Et commença l’âge où mes
parents partirent. Enfin partir ! Ils ne rentraient que le soir, à des
heures extravagantes, ils partaient très tôt le matin. J’avais à cette époque 6
ans. Je rentrais à l’école. Malgré mon aisance dans les différentes matières,
j’avais peur. Une peur, indéfinissable.


« Ce jour-là, je savais
parfaitement que je devais rentrer à l’école. Mon nouveau cartable, rempli de
tous les petits cahiers et de mes stylos, trônait sur mon bureau. A côté, des habits
des neufs. Un petit pantalon, à carreaux bleus et blancs. Une chemise blanche,
avec un petit dessin, particulièrement discret. Ce dessin s’était un cheval. Un
cheval, car je trouvais qu’il était marrant. Pas tellement parce que j’aimais
ces animaux. Je me réveillai, l’estomac noué. J’espérais que papa et maman me
prendraient dans leur bras. Je descendais donc les escaliers, ma respiration
saccadée. Il paraît que j’étais sujet à des maladies respiratoires. C’était
douloureux, de tousser. Je m’approchai donc de la grande salle. Elle était
vide. Tout était bien rangé. La lumière du petit matin se posait sur mon
visage. Je croyais entendre, des gens qui parlaient dans la cuisine. Je me
précipitai donc vers le lieu. Toujours personne. Je me risquai alors, à appeler
mes parents. Personne ne me répondait. La maison était vide. Et j’étais toute
seule. Alors tout d’un coup, je me mettais à pleurer. Papa…Maman….Je voulais
les voir. Je voulais qu’ils m’emmènent à l’école. Mais ils étaient absents. Je
repartais donc dans ma chambre. Je m’habillais, me coiffais et partais. A
l’école, je n’étais pas comme tous les petits garçons. Tous accompagnés de leur maman. Moi, j’étais
seul. Mal coiffé. J’avais manqué de me perdre, mais heureusement, une future de
mes camarades de classe, m’avait guidée… »


C’était comme ça tous les
jours. Et j’ai finis par me tordre. Je voulais retrouver mes parents, mon
ancienne vie. J’étais perdu, seul....Papa, Maman m’avait abandonné. Tout le
monde m’abandonnait. Je restais mes journées enfermée dans ma chambre. Je
regardais la mer. Mais très vite, je m’ennuyais de ces journées. Et j’ai
commencé à demander beaucoup. Enormément….Dès que mes parents rentraient de
leur voyage, je faisais des caprices. D’affreux caprices, qui m’effrayaient
moi-même, mais des caprices qui criaient mon désespoir. J’avais peur de moi.
J’étais abominable. Contradictoire. Je détestais tout le monde. Tout le monde
me détestait. J’étais un affreux « Gamin ». Sal gosse jusqu’au bout,
j’étais pourri gâté.

Suite:


Le problème, c’est le jour où je me suis
changé en cheval, je ne comprenais pas. Et j’ai fais un caprice. Un terrible
caprice, sous forme de cheval. Et ce n’est pas comme sous forme d’humain. C’est
un peu plus effrayant.
Je sortais, ce soir là. 16
ans. Mes parents étaient absents. Alors bon ! Je marchais fier de moi. Une
fierté sans explication, mais qui me réjouissait un long moment. Une fierté qui
apparemment n’avait pas lieu d’être. J’étais complètement bourré. Oui, bourré.
Je n’aimais pas l’alcool, mais en ce moment, j’aimais mis plonger. Je détestais
ma vie. Mon horrible vie. Et je marchais, sans but. Je flânais, plus
exactement. Et je ne marchais pas non plus. Je me déplaçai, tant bien que mal.
Seulement, mes jambes ne répondaient plus très bien à mon cerveau. J’étais
lourd, très lourd. Et je suis tombée. Tête la première dans un par terre d’herbe
et de fleurs. De feuilles aussi. BAM….J’avais mal. Rien que ça. Et je me
relevai. Je savais qu’il y avait eu un changement. Je savais que j’étais un
cheval. Un étalon. Je le savais. Et je me suis énervée, sous le regard ahuri d’un
troupeau. Je venais de faire le plus grand caprice de toute mon existence. Et
une chose est sûr, je n’essayerai pas une deuxième fois. Je m’étais
littéralement effrayé. Mais j’allais faire avec, maintenant.

xD! J'ai lutté, le forum déformer tout le texte, c'est bizarre! xD Et c'est bon pour la signature! ^^

Merci ^^!

Bienvenue !
Belle présentation et superbe signature =)

bienvenue
quel longue présentation!Oo