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| Sujet: Edelweiss, petite princesse Mar 11 Nov - 19:08 | |
| Partie humaine:
• Nom d'humain • Juliette (surnommée petite princesse)
• Age • 16 ans
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• Histoire • Il était à peine 3 heures quand la sirène de l'ambulance déchira le silence des rues endormies. Les pneus crissaient sur le macadam humidifiés par les incessantes pluies. Le chauffeur voyait le curseur frôler les 150. Les arbres commençaient à s'effacer, faisant place à un flou verdâtre. Je suis née dans cette ambulance, à mi-chemin entre notre maison de campagne et la ville, sur une autoroute, dans une ambulance d'un blanc passé. Enfin, quand je dis je, je devrais plutôt dire nous. Nous sommes des jumelles, des vraies. Nous avons exactement la même morphologie, les même cheveux d'un blond presque platine, les même yeux bleus très clairs. Le même corps. Identiques. Nous sommes nées avec un mois d'avance, et 10 minutes après le début des contractions, ma mère accouchait de ma soeur, puis de moi. je suis l'aînée, même si je suis la deuxième. Allez savoir pourquoi, mais il en est ainsi lorsqu'il s'agit de jumeaux. Et d'ailleurs, c'est un peu vrai, car ma soeur a toujours été moins mature que moi. Du moins, c'est ce que disent nos parents. Je m'appelle Juliette, elle fut baptisée Turquoise. Lors de notre naissance, nos parents avaient quelques chevaux et un pré. Maintenant, ils ont 10 poneys, 5 chevaux, une écurie vingt places avec toutes les installations les accompagnant, et ils sont à la tête d'un des centres équestres les plus réputés de la région.
Dès notre plus jeune âge, nous avons manifesté, en plus de notre physique, un caractère très proche. Nous nous comprenions à merveille. Lorsque que quelque chose ne nous convenait, c'était oujours la même chose. Nous aimions les mêmes poneys, avions les mêmes amies, les mêmes points à l'école, aimions les mêmes plats, les mêmes couleurs, étions habillées de façon identique. bref, des clones. Mais nous avonstoujours été très heureuses comme ceci? Nous nous entendions à merveille, tandis que les autres se disputaient pour un rien. Lorsque nous entrâmes au lycée, nos parents nous proposèrent de nous mettre chacune dans un différents, car ils craignaient que les dipsutes viendraient avec cet âge difficile. Mais nous nous y opposâmes fermement. Nous restions d'excellentes amies, étions dans la même classe.
En équitation, étant donnée que nous montions depuis que nous étions assez grandes pour nous caler dans une selle, nous étions d'excellentes cavalières. C'était d'ailleurs la seule chose qui nous différenciait, la seule chose sur laquelle nous n'étions pas d'accord. Je détestais la compétition, elle adorait. Bien sûr, j'étais toujours là pour elle, la soutenir, l'encourager, l'aider à s'entraîner. Moi, je préférais les techniques de nouveaux maîtres et me passionnat pour le spectacle équeste. je nourrissais même le êve d'entrer dans mla compagnie équestre de Bartabas. je m'entraînais quotidiennement en ce sens. A 14 ans, nous étions des adlescantes accomplies et tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais la vie allait bientôt nous jouer le pire des tours. Ma soeur et moi avions chacune un cheval. Le men était blanc, c'était une jument, elle s'appelait Edelweiss Des Lauriers. Le sien, un bel alezan, s'appelait Crépuscule Des Lauriers. C'était un cheval de sport accompli, tandis que ma jument était une merveille lors de représentations. très peureuse, mais intelligente comme jamais. Un jour, nos parents proposèrent de partir en vacances avec nos chevaux. Tant et si bien que le lundi suivant, notre camion était en route pour une belle station balnéaire du Sud de la France. Je ne me souviens plus exactement de ce qui s'est passé. Je me souviens juste de mon père qui jurait, des freins qui crissaient, que ma soeur et moi nous sommes enlacées en pleurant, et puis, trou noir. Je me suis réveillée en même temps que Turquoise deux semaines plus tard, dans un hopital du centre de la France. Nous étions dans le coma depuis deux semaines, gravement blessées, mais vivantes. Nos parents étaient moins amochés, mais Edelweiss et Crépuscule étaient dans état critique. Edelweiss mourrut lse mois suivant après une bataille acharnée pour la vie. je me souviens exactement de la scène. Nous sommes entrés dans la clinique, ma soeur et moi en fauteuil roulant. On nous à conduites dans un couloir et introduite chacun dans une loge matelassée. Edelweiss était couchée, dans le noir. Elle a ronflé en m'entendant, mais était incapable de bouger. Je ne vous décrirai pas son état, car je fus moi-même choquée. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'elle était reliée à la vie par le fil de son assisteur respiratoire. Je l'ai caressée du bout des doigts, et j'ai compris à son regard vitreux ce qu'elle me demandait. Je suis tombée de ma chaise en pleurant, serrant sa tête, seul endroit encore plus ou moins normal, entre mes bras affaiblis.
" NON, tu n'as pas le droit d'abandonner, Edel ! je te l'interdis ! "
J'au juste droit à un ronflement. Je me souviens que nos regards se croisèrent, et là, je sus que c'était fini. Elle avait renoncé. Le vie l'avait battue, elle voulait que la douleur disparaissent, elle voulait partir. " Tu vas me manquer, Edel. Je ne t'oublierai jamais... Tu m'attendras, hein, quand ce sera mon tour ? Promes-moi..."
Elle ferma les yeux, mais sa repsiration restait régulière. Un fantôme de hennissement rauque s'éleva de sa gorge.
" Adieu, ma chérie... "
Ma phrase s'acheva dans un souffle. je restait là, prostrée, la tête de ma jument serrée dans la bras. ma soeur entra, et en voyant mon regard aveuglés de larmes, elle comprit, et pleura avec moi. En sortant, je n'en discutais avec personne. je regardai mon père, et il hocha la tête en murmurant :
" C'est le mieux, ma chérie. Cette jument a assez souffert. Laisse la partir en paix, avec le souvenir d'un monde heureux. "
Je demandais une faveur au vétérinaire, acceptée sur le champ. Il me montra comment faire. la vie de l'être que j'aimais le plus au monde était entièrement dépenante d'une bouton lumineux. J'inspirai un grand coup, hésitante, puis fermais les yeux et appuyais sur le bouton, qui passa du vert au rouge. La ronronnement de la machine cessa, et un long bip sonna la mort de Edelweiss des Lauriers.
Crépuscule aurait pus sruvivre, mais avec une jambe en moins et la moitié du visage défigurée, condamné à souffrir le reste de ses jours dans un pré. Lui qui adorait galoper, il serait forcé de clopiner sur une fausse jambe. Turquoise s'y opposa et appuya à son tour sur le bouton.
Commencça alors pour nous une dépression dont nous sommes encore mal remises. Ma soeur résista mieux que moi. Elle recommença la compétition. je continuais à monter, mais je teins mes cheveux blonds en noir, commencait à me maquiller, à porter du noir, du rouge et du blanc. Nous continuâmes à être très proches malgré tout. Mais il y a une semaine, Turquoise décida d'aller faire une ballade seule. Au soir, le poney nous revint, effrayé, épuisé... et seul. Les recherches durèrent une semaine, et aujourd'hui, au moment où je vous parle, elle continuent. J'ai entraîné ma nouvelle jument, Tango. Au soir, j'ai décidé de vous conter mon histoire, car je sens que quelque chose va arriver. Je me glisse dans mes draps.
lentement, Juliette s'endort. Son sommeil est calme, pas de rêves aujourd'hui. Mais soudain, elle sursaute dans son sommeil. Edelweiss lui apparaît, hennissant de toutes ses forces. La robe blanche de la jument se transforme en une lumière vive qui illumine bientôt tout le rêve, éblouissant Juliette.
Je me suis réveillée, ce matin-là, ébluie par la soleil. J'étais seul, logique, j'étais dans mla chambre. pourtant, mon nez brpulait de poussière et je me sentais étrangement molle. Après m'être réveillée, je remarquais qu'il y avait un problème. Mon champ de vision était étrangement modifié, et je distinguais mal au milieu, comme si je louchais... Je tentais de me lever, pris d'un tout, mais je m'étalais et me retrouvais... les quatre fers en l'air. Je hurlais, mais la seul chose qui s'échappa de mon cou à présent bien long, ce fut un hennissement terrifié. Bon, surtout, pas de panique. Au bout de quelques instants à m'observer avec mon champ de vision élargit - pas désagréable, d'ailleurs -, je fis le point.
Un : j'étais un cheval, blanc. Deux : je ne savais pas comment j'en étais arrivée là. Trois : je ne rêvais pas.
J'entendis des pas derrière moi, et un cheval s'adressa à moi :
" Salut ! Eh, les gars, une nouvelle ! Comment tu t'appelles. "
je fus d'abors surprise qu'un cheval parle, mais je m'y fis assez vite. Prise au dépourvu par mon nom, je réfléchis un instant. Juliette... non. Etrangement, ma morphologie me rappelait quelqu'un. Le regard de l'autre cheval se faisait instant.
" Edelweiss. "
• Caractère • Juliette a une personnalité très intéressante. Lorsqu'on la rencontre, elle est un peu timide, surtout avec les inconnus. Elle a du mal à faire le premier pas, et peut paraître coincée. Mais pas du tout. Elle est en réalité très sensible, très observatrice. Elle remarque le moindre détail. Très gentille, elle aime venir en aide aux autres, mais pas en fonçant tête baissée. Elle observe, réfléchit et réagit en conséquences. Il lui arrive toutefois de s'emballer. Elle aime rire et est très attachée à ce qu'elle aime. toucher à une personne qu'elle aime, ça la sort de ses gonds, et elle peut alors devenir invivable. mais comme tout le monde, elle a ses petites humeurs, et mieux vaut ne pas l'énerver dans ces jours là !
• Physique • Juliette est souvent qualifiée de 'belle', bien qu'elle ne se considère pas comme une top model. Le plus frappant, ce sont ses cheveux d'un blond presque platine, mais également flamboyant. Ses cheveux sont un vrai rayon de soleil. d'un texture très fine, il rappellent effectivement l'astre solaire. la deuxième chose, ce sont ses yeux, d'un bleu trop clairs pour être normaux. Il ressemblent presque à de l'eau, tantôt limpide, tantôt bleue clair. Et troisièmement, c'est son physique plutôt avantageux. très bien proportionnée, elle a la peau très pâle. Elle la taille de guêpe sans être maigre.
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• Aime • La vie, écrire, sa jumelle, les chevaux, le spectacle, rire, chanter, la quiétude.
• Aime Pas • Les rabats-joies, la tristesse attitude. Bien qu'elle soit devenue quelque peu gothique, elle n'en reste pas moins très vive.
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Partie Equine
• Nouveau nom • Edelweiss
• Nouvel âge • 4 ans
• Physique • Edelweiss est une belle jument. A la fois fine et puissante, elle allie la finesse d'une arabe à la beauté d'un ibérique. Elle semble être le meilleur de ces deux races, réunies en un seul cheval. Sa robe, tantôt terne, tantôt éblouissante, au gré des saisons et des éléments, met en valeur sa tête expressive et ses yeux noirs. Mais lorsque, éprouvant un sentiment très profond, lui rappelant par la même occasio sa nature humaine, vous pourrez voir ce noir profond se teinter de bleu clair...
• Race • Sans doute arabe x PRE
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•As tu déjà joué à un jdr équin ?• Oui
• As-tu lu le règlement ? • ça va de soi
• Code • * =3 par Decency
• Que penses-tu du Jdr ? • Il est original
• Autre • /
• D'où connais tu le forum ? • L'annuaire de forumactif
Dernière édition par Edelweiss le Mer 12 Nov - 17:54, édité 2 fois |
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