Narco Alboràn
Tu n'es jamais seul, jamais.

∞ Age : 6 ou 7 ans. ∞ Sexe : Etalon. ∞ Lien sociaux sur LH ? : Aucun. ∞ Race : Inconnue. ∞ Robe : Noire.

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Caractère & Histoire : Mon histoire est de celle que l'on conte certains soirs comme ceux-ci. Une histoire digne d'Halloween. Une histoire qui vous fera frémir, frissonner. Peut-être même hurler ! Non, n'exagérons rien. Mon histoire est tragique, mais je pense que vous avez connu pire. On a tous connu pire. On connaîtra toujours pire. Pourquoi ? Parce qu'il y a toujours pire. Plongez-vous dans le conte de ma vie... mais elle serait trop longue à raconter du début. Attardez-vous seulement sur un petit moment de ma vie. Sur le moment où elle a cessé d'être ce qu'elle était. Sur le moment où ma vie, toute mon existence entière, a changé.

Des cris me réveillent. La neige tombe quand je sors de la grotte et se répend sur ma robe d'ébène. Mais mes yeux cherchent la nature de ces hurlements. Surtout parce qu'ils sont stridents. Surtout parce qu'ils ne me sont pas inconnus. Alors je cours, je file, seul contre le vent, seul contre le temps. Pour sauver ma vie, ma dignité, ma survie. Pour la sauver elle. Madeleine. Mon souffle forme des nuages de buée devant moi. Mes yeux noirs cherchent désespérément où elle se cache. Ce qu'il lui arrive. Quand je la trouve, il est trop tard. J'ai échoué dans cette course contre la montre. J'ai échoué. Une idée qui me hantera longtemps. Elle est immobile au sol. Inerte. Blessée. Son sang a teinté la neige qui entoure son pauvre corps mutilé par des loups qui l'ont laissé ici pour morte. Ils reviendront plus tard pour la dévorer. Elle est immobile. Inerte. Blessée. Mais vivante. Ses flancs se soulèvent, difficilement. Elle est ma meilleure amie. Je n'ai que trois ans. Elle me regarde et murmure mon nom. Enfin, le surnom qu'elle m'a toujours donné. Elle m'appelle Narcan. Une longue histoire aussi d'où vient ce surnom et ce n'est pas celle de ce soir. Elle murmure donc "Narcan" dans une plainte douloureuse. Elle use ses dernières forces. En effet, quelques secondes après, ses yeux se figent, puis s'éteignent. Je hurle. Je passe le reste de la nuit à la pleurer. A hurler son nom. Madeleine. Mes larmes ne se tarissent qu'à l'aube. Où déjà, j'ai changé. Je pars pour une nouvelle vie, loin d'ici. Froid, solitaire et distant, j'évite les autres. Je suis parfois agressif, et très lunatique. On ne m'aime guère. Mais un jour, je le rencontre. Il ressemble aux autres. Mais lui, il est différent.

Il s'appelle Hereafter. Et il m'aurait parut des plus banals s'il ne m'avait pas accosté et me disant "Tu sais, je l'entends. Elle te cherche." Mauvais, je m'étais retourné. "Qui ça ?" Agressif, sur la défensive. Aucune agressivité dans sa voix ni dans son regard qui était sereinement posé sur moi. "Madeleine."

Il était médium. Capable donc de voir et de communiquer avec les morts. Il avait prit contact avec Madeleine par hasard. Elle lui avait ordonné de me trouver, peu importe le temps qu'il fallait y passer. Touché par sa farouche détermination, il s'était mis en quête de moi. Son histoire me sembla si peu probable qu'à un moment, j'en doutai. Peut-être avait-il appris le nom de Madeleine quelque part et se jouait de moi. "Donne-moi une preuve qu'elle te parle. Donne ue preuve de ce que tu racontes." Il avait sourit, d'un drôle de sourire, à la fois amical et inquiétant. Il avait ouvert la bouche mais ce n'était pas sa voix qui était sortie. Mais celle de Madeleine. "Narcan, je suis là, tout autour de toi. Je t'aime, n'oublie jamais que je te suis partout où tu vas." Abasourdi, je n'en crus pas mes oreilles. "Madeleine ? Madeleine réponds-moi !" "Elle ne peux plus, cela lui demande une grande énergie que de communiquer, même si c'est à travers moi." Déçu et abattu, replongeant dans cette dépression qui avait failli me tuer, je baissai les yeux. Hereafter sourit de nouveau. "Maintenant pars, et commence une nouvelle vie encore. Mais n'oublie pas, elle te l'a dis, elle est encore là. Ils sont tous là." Il avait fait une pause et observer le ciel. "Ne vois-tu pas dans les nuages leurs ombres ? Ne sens-tu pas leur présence autour de toi ? N'entends-tu pas leurs voix dans les murmures du vent ?" J'avais sentis tout ça, j'avais entendu tout ça. Oui, elle était là. Mais j'avais peur. Peur de repartir seul. "Accompagne-moi", avais-je alors demandé à Hereafter.
"Non, je ne le peux, Narco Alboràn. Ta vie t'appartiens et je dois aider d'autres défunts. A présent, elle est libérée et elle t'accompagnera. Tu es libéré aussi, pas vrai ?"
"Oui...", avais-je murmuré, quand même déçu.
"Si ce dont tu as peur c'est de te retrouver seul, rassure-toi. Tu ne l'es pas."

Ma personnalité est des plus compliquées. Je peux très bien être amical, détendu et naturel un jour et déprimé le lendemain. Dans ce cas-là le plus souvent, un masque s'impose. Mais un masque reste toujours un masque et en plus dans mon cas, une phrase, un mot, un son, une odeur, un souvenir, en gros un rien, peut le briser, le faire tomber. Je suis parfois joueur et taquin, d'autres fois calme et serein. A jamais loyal et fidèle par contre, beaucoup se plaignent d'avoir du mal à me cerner. Un peu rêveur, parfois poète, un tantinet têtu et souvent franc, je suis loin d'être ce que vous appelez "quelqu'un de facile".

— Aime Faire ce qu'il veut, être libre de ses mouvements, rencontrer de nouvelles têtes, rêvasser, penser à elle, sentir sa présence, raconter son histoire.

— N'aime pas Être contraint, s'ennuyer, avoir trop de flash back, les chevaux incompréhensifs, être privé de sensations.





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— Code Règlement : blablabla

— Que penses-tu de LH (à première vue :) ? J'me souviens plus de ma première vue

— D'où connais-tu Life Horse ? Sais pu

— Autre ? : Euh baaah juste que j'essaie de revenir *pas taper* avec donc ce nouveau personnage, mettant de côté Nawel et Roméo, désolée que Roméo fasse partit des quêtes :/ Aussi hum faudrait juste me changer de groupes pour me mettre dans les chevaux & voilà, merci

Pfeuh.