Rainbow Quest
"Plus l'espérance est grande, plus la déception est violente."

∞ Age : 7 ans ∞ Sexe : Féminin ∞ Lien sociaux sur LH ? : Pas encore ^^ ∞ Race : MustangXArabe ∞ Robe : Rouanne

— Histoire :

Je n’aime pas mon histoire. Je n’aime pas la raconté non plus. Mon histoire est une suite incessante de trahisons et de souffrance. La plaie est encore trop béante. Je n’ai pas le choix, au demeurant. Je vais donc vous la résumé. Je suis née il y a cinq ans d’ici, quel jour ? De quel année ? Où ? Je ne serais le dire. Je me souviens juste d’un vacarme de tout les diables et une odeur – Ô une si bonne odeur – celle de ma mère, je crois. Il faisait chaud, c’était très agréable. À l’odeur de ma mère était mêlée celle de la paille chaude et fraîche. Je me souviens d’une langue râpeuse léchant avec vigueur mon encolure, d’un hennissement m’encourageant à je ne sais quoi. Un soupir. Et puis une terrible douleur dans le creux de mon encolure, le sol froid, dur à s’en casser les os sur lequel on s’était mit à me traîner, un hurlement déchirant, triste, horrifié, apeuré. Une pluie battante s’écrasant sur mon corps tremblant, des voix d’une autre langue, dans un dialecte qui m’étais inconnu. Après ça, c’est le troue noir.
Lorsque je me réveil, je suis dans une immense plaine, il fait nuit noire. Le vent pousse des plainte terrifiante et ses doigts crochus et véhément s’accroche à mes crins. C’est le seul son que j’arrive à entendre. Je comprend que je suis seule. Je me lève tant bien que de mal – c’est la première fois que je me prête à cette activité. Après trois tentatives vaines, j’arrive à me mettre sur mes jambes qui me semblent disproportionnées en rapport à mon corps minuscules. Une fois ça fait, la peur se referme comme un étau sur mon estomac et ma gorge. Que vais-je faire ? Seule ? J’écoute le silence ; je veux déceler une présence, hostile ou amie, je m’en fiche. Il y a un raclement, suivit par un « tagalope » familier. Familier ? Je ne me souviens avoir déjà entendu ce bruit, mais ma mémoire intuitive me souffle que c’est le son que j’émettrai si je partais au galop. Comme pour affirmé mes propos un grand étalon noir pile devant moi pour me toiser. Ses yeux sont tels des abysse sans fond. Je lève la tête vers lui, tremblante et apeurée. Les muscles de l’étalon son secoués de frisson tant ils sont contracté et son visage se crispe alors qu’il scrute ma robe avec une horreur grandissante. Je me demande pourquoi. Je m’examine donc, mais je ne trouve rien de véritablement terrifiant sinon la griffure sur mon flanc gauche qui me lance un petit peu.

Cet étalon se nomme Black Diamond et il est le chef du Clan Nord. Il m’a eût en pitié et m’a ramené à son clan où je fus donnée à Lena Blue, une jument ayant perdu son poulain lors d’une attaque d’humain. Ma vie là-bas est simple et facile. Mais je ne peux pas m’empêché de voir le comportement bizarre que Black Diamond a à mon égard. Il semble avoir peur de m’approcher et me jette sans cesse des coups d’oeils à la dérobade. Trois ans plus tard, Lena Blue finit par me dire ce que je suis vraiment. Je suis sa fille, à Black Diamond. Ce dernier était tombé amoureux d’une jument du Ranch prêt d’où nous vivons. Il savait leur amour interdit et dangereux mais il continua de la voir la nuit, lorsqu’elle reposait dans son enclos. Un jour, elle lui demanda un enfant de lui, il accepta par amour pour elle. Lorsque les bipèdes découvrirent le pot aux roses en faisant des examens génétique et que le fruit de cette amour serait un poulain impur, moitié pur-sang arabe, moitié mustang, ils voulurent la faire avorter, cependant, elle était déjà à un stade trop avancé. La solution fût de m’abandonner lorsque j’ouvrirai les yeux dans ce monde qui ne voulait pas de moi. Black Diamond me découvrit, donc et me ramena au clan et faisant promettre à ses membres de ne jamais me révéler qui j’étais. Mais Lena Blue m’aimais comme sa propre fille et ne supportait plus de me voir souffrir chaque fois que je croisais Black Diamond. Je me sentis si trahie, si rejetée… Ne voulait-il pas de moi au point de me régner ? Pourquoi ne m’avait-il pas laissée crever, alors ? Parce que je ressemblais énormément à ma mère. C’est ce qu’il m’a répondu, lorsque je le lui ai demandé. Et qu’il n’avait pas eût la force, le courage, de laissé le sosie de son aimée à son sort. Il m’a dit tout ça d’un ton détaché, froid et terriblement dur. Alors ma vie avait été bâtie sur un épouvantable mensonge. Ce fût la première trahison qui marqua ma vie.
La seconde, ce fût une nuit de décembre, il faisait froid et nous nous étions tous pelotonné les uns contres les autres pour contrer le froid. Je m’étais spécialement mise le plus loin possible de Black Diamond et donc de Lena Blue qui c’était collée à lui quasiment tout de suite. Je me retrouvais donc coincée entre Rival Queen et Dangerous Dragon, deux poulains qui ne m’apportais aucune chaleur. Nous claquions des dents et nous échangions de tant à autres des médisances sur la saison des neiges qui s’annonçait très rude. Alors qu’un silence oppressant s’était installé sur notre petit groupe, nous avons entendu des cris de bipèdes, suivis par le martèlement de quelques un nos frères sur le sol. Black Diamond a dressé les oreilles et s’est dirigé au petit trot vers ce son, à peine eût-il atteint le rebord de l’à-pic qu’il se figea puis poussa un hennissement strident, qui signifiait « Barrez-vous ! » Comme un seul cheval mes frères se sont retournés et ont détalés sans demander leur reste. Moi, je suis resté figée comme une idiote, alors que les premiers chevaux soumis arrivaient. Je ne suis pas idiote, je sais que j’aurai dû suivre les autres, mais la jument qui menait la troupe c’était ma mère. Elle me ressemblait comme deux goûtes d’eau. Elle me vit, aussi, elle me regarda et une lueur horrifiée assombri ses si beaux traits. Black Diamond se détourna d’elle et partit en me hurlant de le suivre. Je me pus pas. Déjà, une corde avait été nouée autour de mon encolure et me tirait vers l’avant alors que j’aurai dû reculer. Je remontais à l’Origine de cette corde et je vis le cavalier de ma propre mère, cette dernière ne luttait même pas contre lui mais contre moi. Elle avait bloqué ses puissants muscles et reculait avec lenteur, me tirant vers elle et vers l’homme. J’ai jeté un regard vers mon père qui fixait la scène, indécis. « Papa ! » Me suis-je entendue hurler. C’était la première fois que je l’appelais ainsi. Alors que je n’étais plus qu’à une longueur du danger, il secoua la tête et détalla. Il venait de m’abandonner. Je me suis laissée tomber sur le sol dur et j’ai fermé les yeux attendant ma fin.

La suite, je ne vous la raconterai pas. La suite un défilé de souffrance, de tueries, de haine, de solitude et de trahisons, encore.

_ && Caractère :

Jadis, je suis certaine d’avoir été une jument pleine de vie et qui trouvait à chaque chose son bon côté. Jadis, je suis quasiment certaine d’avoir confiance en tout ce qui vie, je suis même capable de dire que j’ai été naïve, trop. Mais je ne me rappelle pas avoir été un jour heureuse… Et je le suis encore moins, aujourd’hui. Mon très principale, c’est que je suis renfermée sur moi-même et je refuse tout contact avec le monde qui m’entoure et je ne veux pas de pitié ni même de compassion. Je veux que tout le monde m’ignore, je ne veux plus existé pour personne. Car aimé amène invariablement à la souffrance et la souffrance engendre toujours la haine et la haine se mue lentement en peur et la peur devient vengeance et vengeance conduit à la mort. Et la mort ? La mort fait crée des gens comme moi. Prostré dans leur solitude et dans leur souffrance psychologique. Je ne me pense pas folle, cependant. Enfin, généralement un fou ne se rend pas compte de sa folie lui-même et refuser généralement de se l’avoué. Donc peut-être qu’en niant pas folie fait de moi une folle ? Enfin, bref, je n’y comprend rien de toute manière. Dans ma solitude, je suis devenue très observatrice. Comme ça, je sais quand les gens son fréquentable ou s’ils ne le sont pas. Beaucoup de personne ont essayé de me venir en aide, de m’atteindre et de crever ma bulle, ils ont tous voulu faire de moi l’une de leur amie mais je les repousse tous car je ne veux plus jamais revivre ce que j’ai vécu. Je ne veux plus jamais avoir la sensation d’être trahie par quelqu’un que j’aime. Là dedans, j’ai eût mon compta pour le restant de ma vie. De plus, je ne fais plus confiance à quiconque, je méfie de tout et je sursaute dés que j’entend un bruit que je ne connais pas ou qu’y m’inspire de la peur. Cela ne fait pas de moi une trouillarde mais un personnage prudent qui ne s’aventure pas en terrain inconnu. Je me crois même assez courageuse, je n’hésite pas à affronter des danger dantesque si c’est pour la bonne cause. Et même si je refuse de m’attacher à qui que ce soit, je ne peux pas m’empêcher de venir au secours des gens ayant besoin de moi, sans attendre quelque chose en retour. Je ne sais pas comment me qualifier avec un adjectif pour conclure toute ma personnalité. Peut-être suis-je mystérieuse ? Ou peut-être suis-je une idiote finie ? Ou quelqu’un qui se trompe sur toute la ligne ? Je ne sais pas qui je suis vraiment sinon une trahie. Je ne sais pas qui je suis et je ne veux pas le savoir car au fond de moi je sais que je ne suis pas quelqu’un de bien ou du moins, quelqu’un qui mérité quoi que ce soi. Ou cela vient-il de mon manque de confiance en moi ? Bref, bref ! Je ne sais pas qui je suis.

— Aime(5)

- L'obscurité
- Le silence
- L'eau
- Les plaine tropicale
- La solitude

— N'aime pas(5)

- Sa famille
- Les autres
- Les longues discussions qui ne mène à rien
- La trahison
- Le désert





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— Code Règlement : Ok by Pook

— Que penses-tu de LH (à première vue :) ? Il a l'air asse actif et je suis in love du Desing *0*

— D'où connais-tu Life Horse ? De PYH ( Play Your Horse )

— Autre ? : J'ai un peu modifié le formulaire au niveau de " Histoire/Caractère car je ne savais pas trop comment unir les deux, j'espère que ça ne dérange pas, sinon j'aviserai

Bienvenue (: