La curiositée est un vilain défaut [L]

Devil, Devil Joke. c'étais bel et bien son nom. Oui, son nom.
Le grand espagnol venais sans le savoir de poser ses quatres fers spur un territoire dont-il ne connaissait strictement rien.
Il ne savais même pas l'existence de ce lieux nommé Life Horse, il l'apprendrais bien plus tard.

Pour le moment, il avais été attirer par cette herbe grasse et fraiche.
Cela fessait de longue minutes qu'il mâchouillais des bouchées de cette herbe si douce en bouche.
Plus il en mangeais et plus il s'avançait sûr ce territoire méconnus.

Devil' n'avais guère fait attention à la porte, mais lorsque ses crins s'agrippèrent dans une étrange chose cela l'énerva vivement.
L'étalon se cabrait à demi cherchant à décoincer ses crins en mêlés de cette chose doré.

L'étalon tira et tira encore lorsqu'il pus enfin se délivrer.
Il dus laisser une touffe de crins rester sûr ce qui semblais être une poignée.
Mais que fessait cette étrange chose ici ?

Une porte ? Oui, oui. Une porte.
Que fessait-elle donc la ?

Joke réspira et laissa ses poumons se remplir cherchant au passage une quelconque odeur qui n'existait finalement pas.
Il approcha son museau de la serrure et y jeta un œil. De l'autre côté semblais s'y trouver un monde parfait.
De la couleur, de la vie et une fête.
Tout le monde paraissait heureux et le malheur avais disparut.

Le grand étalon ne perdis pas de temps, il se redréssa et força la porte.
Il cherchais à l'ouvrir d'une manière ou d'une autre.
Lorsqu'elle s'entrouvrit il y passa un sabot.
Mais à ce moment la cette porte claqua sûr son sabot.
Un courant d'aire violent l'avait repousser.
Mais rien à faire son sabot étais coincer.

Sûr le moment l'étalon hennis puissamment de douleur et de surprise.
Il cherchais par tout moyens à se libérer mais seul il n'y parviendrais peut être pas.

[ Je peux ? ]

[Bien entendus, avec plaisir !]

[Si je peux me permettre de relancer le topic :P]

Je galopais, joyeuse, libre comme le vent. JE lançais de joyeux coups de cul de ci de là. Je laissais, pour une fois, ma joie s'exhiber. Soudain, je vis une chose qui me terrifiait : un étalon. Ho que je haïssais les étalons ! Je cabra, et n'eus qu'une idée en tête : le faire souffrir comme les étalons m'avaient fait souffrir, et non sourire comme on le prétend, toute ma vie ! Je cabra encore plus haut, manqua de tomber en arrière, repris mon équilibre, et bondis en avant. Je fonçais tête baissée vers l'étalon. Soudain, j'entendis une sorte de gemissement : l'étalon souffrait. Je marcha lentement vers lui, plissa les yeux, et me rendit compte qu'il s'agissait là d'un magnifique espagnol. Je lui demanda d'une toute petite voix :

-Vous avez mal ? Souffrez-vous ?

Suis-je bête ?! Bien entendu, qu'il souffre ! Il gémit à moitié et je lui pose la question ! Les Taons m'ont piquée....Mais brutalement !
Je me rattrapa donc :

-Je peux peut-être vous aider.

Sans attendre de réponse, je trotta jusqu'à la porte. Je n'avais jamais remarqué cette beauté... Je regarda d'un oeil vif dans la serrure : wouahw ! Magnifique !
Le jardin d'Eden, le Paradis ! Bref, revenons en à nos chevaux.
Je me mis à côté de la porte, et la poussa vivement. Elle résista. Je compris alors qu'elle était solide.
Je la regarda en face, et je me dressa sur mes membres postérieurs en un magnifique cabré. Je me mis à crâner, à battre des antérieurs, vivement, fougueusement, avant de frapper mes membres antérieurs contre la lourde porte. Elle s'ouvrit, une lumière aveuglante se déroba alors, et se dispersaa autour de moi. A travers l'épais manteau de lumière, se dessinait le sabot de l'étalon, qui était toujours au même endroit. LA porte était ouverte, mais un grincement se faisait entendre. Je fis un bond en avant, repoussa le sabot, et recula vivement.
La porte me claqua au nez.
Je soupira, et observa l'étalon : me regardait-il ?
J'eus honte de mon corps couvert de cicatrices...
Mais pourquoi ? Ca ne m'avait jamais dérangée auparavant.
Mais je réfléchis : je n'étais peut-être pas si mal, malgré mes cicatrices ?
J'oberva l'étalon, et attendis, le temps qu'il se remette du choc. Je ne pus détacher mon regard de ses yeux.
Ils avaient un air... mystérieux...

[Désoler du temps de réponse. Ces derniers temps peut de temps pour moi ^^. Je déménage à la fin du mois et cela donne beaucoup de boulot.]

L'étalon qui venais de gémir de douleur en étais secouer.
Sonner, la douleur l'avais sonner.
Le sang ne circulez plus jusqu'à son sabot et il ressentait des fourmillements dans la patte.
Toujours dans cette mauvaise posture il sursauta lorsqu'une jument lui étant encore inconnue fit alors son apparition.
Une question qui semblais idiote se fit entendre de sa bouche.
Mais sans y attendre cela fit sourire l'étalon.
Il répondit ...

" Oui, oui j'ai mal oui. Et puis je commence à ne plus sentir ma patte. J'ai des fourmillements et ce n'est pas très drôle. Mais je me demande bien ce que fiche cette porte ici !
Pour ce qui est de m'aider je ne suis pas contre si vous trouver une solution sinon je risque bien de rester la encore très long temps et peut être même de perdre l'usage de ma patte coincée. "

L'étalon n'eut à peine le temps de donner une réponse que la jument tenta de la l'ouvrir avec la manière forte en tentant de la pousser.
Cela ne fonctionna pas mais par chance pour lui elle n'en avais pas finit avec cette porte et se cabra pour sûr ses postérieurs pour enfin donner de violent coups de sabots et soudain qui enfin fit ouvrir la porte. Son sabot étais enfin libre.
Surpris par l'énergie de la jument il s'étais positionner en arrière et lorsque la porte s'ouvrit il fut entrainer. Il tombas au sol.
Il se secoua la tête pour reprendre ses esprits, encore un peut sonner sa patte reprenais tout doucement des couleurs grâce à la circulation qui reprenais.
Un peut affaibli Le grand clair releva la tête pour poser son regard sûr la jument qui venais de l'aider.
Il plongeât son regard dans le sien un court instant et lui adressa un sourire amicale.

" Merci bien ! "

L'étalon pris alors le temps de la détailler du regard. Il vue très rapidement que son corps comportais plus d'une cicatrice. Sa vie n'avais pas due être toujours très rose ce pensât-il.
Mais il ne lui répliqua rien à ce sujet. Il n'étais pas la pour la juger.
Mais le temps de se regarder et de se dévisagés l'un l'autre la porte c'étais de nouveau refermée.
L'étalon se mis à sourire amuser.
...

" C'est peut être mieux ainsi finalement, qu'elle soit fermée ! "

L'étalon se relevas finalement et s'ébroua avec énergie.

[C'est pas grave. :)]

Toute la scène était passée à une vitesse surprenante. Maintenant que l'étalon m'avait remerciée, je lui adressa un sourire hcaleureux, et, tenatnt de cacher par tous les moyens mes cicatrices, je lui répondit amicalement :
-Ce n'est rien. Il faut bien s'entraider, non ?

Je plongea lentement mon regard dans le sien. Un large sourire se dessinait sur mes lèvres... Lorsqu'il dit que la porte était mieux fermée, je ne pus esquisser un sourire.
Je lui parla donc, avec douceur :

-Peut-être devrais-je me présenter. Je m'appelle Isba. Comment vous appellez-vous ?

J'observa le grand étalon, dont la robe grise avait été légèrement salie lors de sa chute. Je me pencha vers lui, à ses côtés, pour l'aider à se relever. Lorsqu'il fut debout, je le vis s'ebrouer avec énergie, je sus donc qu'il n'avait rien. Peut-être une petite égratignure, ou la jambe un peu raide pendant plusieurs jours.
Je souris, un air débile sur les lèvres; Pourquoi cet air si stupide ?

L'étalon afficha un nouveau sourire qu'il garda ainsi. Sourire adresser à cette jument qu'il ne connaissait pas encore vraiment.
Mais elle ce décida à se présenter.
L'étalon l'écoutât avec attention et lui répondit alors ...

" Isba, pas commun ça comme nom. Pour moi c'est un peut plus compliquer. Je me nome Devil Joke pour vous servir mais je crois bien que la les rôles on été inversés.
C'est vous qui m'avais aider. Au faite, dites moi je ne savait pas que les nouveaux bijoux pour jument étaient à la mode. Je parle des bijoux que vous portée sûr vous. De ces cicatrices. Votre vie m'as tout l'aire d'avoir été pas mal chahutée je me trompe ? "

L'étalon fouetta l'aire de sa queue et posait son sabot abimer au sol pour le relever et ainsi de suite pour le faire travailler un peut et éviter une boiterie à la marche.

Je souris, en entendant ses premières paroles. Mais en entendant le mot "cicatrices", je devins pâle. Blanche pâle. Je ne pus m'empêcher de coucher un peu mes oreilles en arrière, puis, je baissa la tête. Mes oreilles se redressèrent, et je soupira.

-La vie et la mort n'ont pas joué en ma faveur. J'aurais aimé que ma pauvre mère vive à ma place, mais la vie en a décidé autrement... Je n'ai Jamais eu d'amis, et celà pendant deux ans et demi. Ma mère a été tuée par un lynx, et j'ai fui... Je n'avais que 5 mois et demi...J'ai eu beaucoup de mal à survivre, mais j'y suis parvenue... Et pour celà, j'ai du me battre, affronter la nature, seule...

Je soupira longtemps... De tristesse et de joie, car quelqu'un était là...Quelqu'un m'écoutait.

Je repris lentement :
-Et jamais je n'ai eu une simple vraie connaissance...Jamais...Pourtant, j'aimerais changer...Mais comment effacer le passé ?...

J'observa l'étalon. Je ne savais pas ce qu'il allait dire ou faire, mais j'avais peur. Peur de perdre une connaissance, un cheval qui m'aura acceptée... Le seul cheval qui m'a accepté, c'était une humaine changée en jument... Je soupira.
Un ami humain, c'est bien, des fois. Mais moins qu'un ami cheval...
Je plongea mon regard déséspéré, dans celui du magnifique étalon gris. Poussant un léger soupir, je revis ma mère...mon passé...mes nombreuses luttes...

Devil qui avais un large sourire dragueur le perdit doucement.
Tout doucement ce sourire disparaissait sous les mots de cette Isba au passer pleut glorieux.
Lorsqu'elle eu finit de s'exprimer il ne pus que voir sa tristesse et son désespoir.
Devil détacha son regard d'elle et observas le sol qui était couvert d'herbe et de brindilles.
Il ne lui fallut pas plus de temps pour trouver comment rendre le sourire à cette jument avec humour.

L'étalon baissa son encolure et attrapas une grosse touffe d'herbe qu'il déposa et étala sûr le dos de la jument ...

" Et bien voilas, moi je sait comment effacer le passer au moins pour quelques instants. Regarder, on ne les vois plus vos cicatrices et vous êtes toujours aussi jolie. "

L'étalon lui adressa un tendre sourire affectueux et s'approcha son museau de ses oreilles pour lui murmurer ...

" De toute manière, même avec vos cicatrices je vous trouve charmante ! "

Puis il lui adressa un clin d'œil avent de prendre le pas et de s'éloigner un peut pour se rouler dans l'herbe joyeusement. Il donna le temps à la jument pour qu'elle accepte ce qu'il venait de lui dire car parfois s'accepter tel que l'on est n'est pas si simple.

Les yeux scintillants de larmes, s'éclairèrent lorsqu'il me posa de l'herbe sur le dos, cachant mes cicatrices, je me mis à sourire. Ce sourire radieux qui ne peut s'echapper. Alors, il me murmure quelque chose à l'oreille, puis s'éloigne au pas pour se rouler.
Je prends de l'herbe, à pleines dents. Si bien que j'en ai du mal à respirer.
Je trotte vers lui, et lui dépose toute l'herbe sur ses flancs.
Je lui adresse ces douces paroles :

-Vous non plus, n'êtes pas si mal, vert ou non... :)

Je lui afficha ce petit sourire charmeur, et lui adressa un discret clin d'oeil.
Je piaffe un peu, en mettant toute ma prestance dans des mouvements élégants et fluides.
Je me penche vers lui, doucement, et attrape quelques crins, pour les tirer doucement.
Je m'éloigne, un air amusé, au trot, en un air aérien...
Je le regarde, mange de l'herbe, un air nargueur dans les yeux, et avale l'herbe grasse après avoir maché à pleines bouchées.
Je mange goulument, et m'élance en un galop "plané"...

Devil Joje eu à peine le temps de terminer sa roulade qu'il fut recouvert d'herbe verte.
Il en éternuas et se secouas l'encolure avent de regardée la jument qui semblais heureuse comme une puce.
Elle ne tenais pas en place et semblais à présent heureuse de vivre et plus que jamais.
Le grand claire se redressa sûr ses sabots et afficha un sourire amicale. Heureux de voir qu'elle avais apprécier ses compliments.
L'étalon lui adressa donc de nouveau la parole en haussant la voix pour qu'elle l'entendre alors qu'elle semblais s'agiter comme une puce ...

" Isba, sa vous dit de marcher un peut avec moi ? "

J'étais d'humeur plutôt joueuse. Mais, lorsqu'il me posa une question, au dessus de mes espérance, je souris. J'accepta vivement, et trotta vers lui.
Je monta un peu le dos, me grandissant.
Je marcha alors calmement autour de lui. Pourquoi ? Pourquoi pas ?
Je lui tourna autour une ou deux fois, puis je posa ma tête sur son garrot, avant de mordiller ses crins. C'était un signe plutôt amical, et j'éspérais qu'il le prendrait bien.
Je le complimenta :
-Votre grise robe est aussi mystérieuse que votre regard.

Pourquoi ? Mais pourquoi pas...?
Je piaffa un court instant, pusi je le regarda. Je plongea mon regard dans le sien, et l'observa. J'explorais ses yeux, comme j'explorais sa vie.
C'était un étalon magnifique et amical, qui m'intriguait et m'adoucissait.
Je hennis tout doucement, et parcoura toute sa tête, tous ses crins, tous ses sabots, tout son corps, de mon regard...
Lentement, je m'approcha un peu plus de lui, et d'un mouvement maladroit, nos flancs se frolêrent...
Comment allait-il réagir ?
Il s'agissait alors d'un long blanc, un moment sans paroles, que je ne souhaitais pour rien au monde perturber... Ses beaux yeux me faisaient craquer ... Que dis-je ? Isba, craquer ? Jamais !

Devil Joke étais un étalon avec beaucoup de cœur et qui était capable et prés a aimer pour de vrai et pour de bon.
Mais il ne fallait pas oublier qu'il étais aussi un séducteur et qu'il ne disait rarement non à une saillie. D'ailleurs il en avais déjà connus dans son passer.
Tout cela pour dire que cette jument avait de la veine que ce ne soit pas la saison des chaleurs.
A lui tourner autour comme cela sa ne pouvais que le rendre nerveux. Et même sans les chaleurs cela l'excitait queqlues peut il eu du mal à le cacher. Elle le cherchais aussi.

Lorsqu'elle se rapprocha de lui d'une manière plus que attirante et qu'elle se mise à tourner et tourner encore autour de lui cela ne pus que l'émoustiller.
Et vint alors un contacte, elle posa sa tête un court instant sûr lui avent de lui mordiller les crins.
Ce contacte le fit frissonner et il ne pus s'empêcher de piaffer gentiment avec une queue battant l'aire.

La belle continuas sa provocation en plongeant son regard dans le sien après avoir elle aussi piaffer un peut. Elle dévisageât Devil et le scruta sous toutes ses coutures.
Et lorsque les flancs des deux chevaux se frôlèrent il attrapas les crins de la jument et la stoppa dans ses mouvements pour qu'elle cesse de remuer.
Elle l'avait provoquer elle aurais donc une réaction de sa part.
A présent que la jument étais stopper et calmée il commença lui à son tour ses cercles qu'il dessina autour d'elle.
Il n'hésitait pas à lui déposer par ci par la des coup de langues parfois un peut osées.
Au bout de troisième tour il se mis à fouetter gentiment et sans force la croupe de la jument avec sa queue. Nerveux il se stoppa finalement derrière elle au niveau de sa croupe et se cabra sûr son dos pour ne faire que simuler ce à quoi elle aurais eu le droit si elle avait été en chaleur. Il avais fait tout cette scène pour la mettre en garde, il ne fallait pas jouer avec lui. Elle devait restée sur ses gardes. Surtout dans sa mauvaise période.
L'étalon ne fit que placer ses pattes et son poitrail sûr le dos de la femelle et descendit aussitôt sans chercher bien évidement à aller plus loin. Cela fessait juste partis de son jeux de séduction. Il pris ensuite la parole ...

" Mademoiselle à voulut jouer et bien j'ai répondus comme tu vois. Satisfaite de mon spectacle ? Tu sait aujourd'hui c'étais amicale mais ne refait jamais ça sous mon nez en période de chaleurs car j'aurais du mal à me contrôler. N'oublie pas que je suis un étalon. Mais ma proposition de marcher à tes côtés tient toujours et cela nous calmeras les esprits. "

Je ne voulais que montrer de quoi j'étais capable, tenter d'user de mon "charme naturel".Si bien que, lorsqu'il monta, je partis en coups de cul, craignant la suite.
Je l'avais entendu, j'étais plus loin, j'avais honte : lui avais-je fait mal ?
J'ai reculé, attendu...
Une larme a coulé, mais pourquoi ai-je fait ça ?

Je m'approcha de lui, acceptant de marcher. Je marcha devant, tête baissée... JE ne l'attendais pas, j'étais fatiguée mais je marchais vite...
Mon mouvement du balancier était plus rapide, plus pressé. Mes yeux ne montraient plus de la joie mais de la honte...
Je suis devenue comme folle. A un moment, un jeune étalon était venu vers moi. Il avait commençé à me tourner autour. Si bien, que je me leva sur mes postérieurs. Je cabra au dessus de lui, et je le mordis puissament au niveau de l'épaule. Il était jeune, et s'enfuit.
Je laissa mes antérieurs tober, et ma tête aussi. Je repartis d'un pas lent et trainant...
Je ne pouvais me résoudre à m'excuser. J'aurais encore plus honte. Allais-je fuir ? C'était probable, c'était une option...

Le séducteur fut mal à l'aise, il venais sans doutes de blessée intérieurement cette jument.
Il fallait dire qu'elle étais un peut étrange, particulière et loin d'être comme les autres. Mais voilas l'étalon l'appréciais déjà et cela pour une raison inconnus. Il s'empressa alors de la rattrapée ...

" Isba, ISBA. Attends moi veux tu. Dit excuse moi je suis vraiment désoler si je t'ai blesser et fait du mal.
Je suis désoler de mon attitude mais pour être franc j'ai toujours eu du mal à résister aux belles jument et surtout lorsqu'elle sont si belle que toi.
Et tu sait même si j'ai voulut t'impressionner tu n'avais rien à craindre avec moi. En tout cas pas toi car je sait déjà que pour moi tu n'es pas comme les autres alors je ne traiterais pas comme les autres Isba. Je ne te connais presque pas mais je t'aime bien tu sait. Je suis vraiment désoler. "

L'étalon l'avais rattraper et marchais prés d'elle en lui adressant ce discours.
Il attrapa ensuite une fleure aux couleurs vivent et au parfum enivrant.
Il la glissa dans les crins de la jument espérant que cela lui redonne le sourire.

Mes yeux se femèrent lentement, tandis que je l'écoutais, me complimentait.
Je osupira alors... Et lui dit :
-Je ne t'en veux pas. Je t'ai provoqué, puis lorsque j'ai envoyé cette ruade, j'ai eu peur de t'avoir fait du mal...

Je soupira encore, puis j'ouvris les yeux; Je voyais qu'il ne m'en voulait pas. J'en étais heureuse. Alors, je me bloqua un peu en arrière, avant de bondir en avant, partant au triple galop. Une fois assez éloignée pour ne pas le toucher, je partis en coups de cul. J'avais envie de m'amuser. Alors, je me dressa en haut d'une colline.
La queue battante, fouettant l'air, je le regarda, me mis à le zieuter d'un air qui veut dire : "Attrape moi, enfin...Essaye !"
Je me mis à cabrer vivement, en hennissant gentiment.

[Désoler du temps de réponse, un peut déborder avec ce déménagement qui approche - à la fin du mois.]

L'étalon ne répondit rien. Il ne fit que l'observer et l'écouter. Il étais attentif à elle et à son attitude si enfantine qui pourtant lui plaisait bien.
Cela le fessait sourire et même parfois rire. Cette jument était atteinte du syndrome de la joie de vivre. Comment, oui comment lui en vouloir. On ne peut en vouloir à personne d'aimer la vie et d'aimer vivre.
Lorsqu'elle s'échappa en ligne droite en coup de cul l'étalon pouffa de rire jusqu'à ce qu'il comprenne qu'elle le provoquais en duel.
Un jeux ? Pourquoi pas, si elle voulais jouer il jouerais. Mais qu'elle se méfie.
L'étalon s'élança à vive allure au grand galop dans sa direction. Lorsqu'il aperçus non loin un buisson il s'agitât et attrapa une touffe d'herbe qu'il lança dans les aires pour que son regard soit attiré par cette herbe qui retombais au sol. En attendant l'étalon se cacha derrière le buisson. Mais donc lorsque la jument reposerait son regard droit devant elle il aurais disparut de son champ de vision.

(C'est pas grave. :) )

Je secoua la tête lorsque de l'herbe me tomba dessus. J'eternua un coup, et regarda devant moi. Il m'avait dépassée ? Ah oui ?! Pas pour longtemps. Je commença à me contenir en arrière, avant de partir au grand grand galop. Je fonçais du plus vite que je pouvais. Je hennis, et accéléra encore, encore... Mais bon, ne le voyant pas, je fis demi tour, puis je vis le buisson. Je fonça dedans, sans voir Devil Joke, caché dedans. Je le percuta de plein fouet, avant de retomber. Je secoua lentement la tête, et le chercha des yeux. Etait-il mort ? Je hennis. J'appella : rien. Je regarda tout autour de moi, avant de voir un truc, une ombre, dans la poussière... Devil Joke ?

Je l'appella :
-Devil Joke ? Vous êtes là ?

Je resta perplexe : ou était-il ?

Devil qui lui se trouvait toujours cacher derrière le buisson le temps que la jument fessait sa follette rigolait bien en cachette.
Mais sa croupe le démangeait et il due détourner l'attention pour se gratter. Et durant cet instant il fut percuter à une vitesse folle.
Il se fit piétiner, une fois la situation calmer il se trouvait bien sous un tas de poussière recouvert d'herbe déraciné.
Lorsque la jument se mis à parler il ne pus que gémir de douleur et tenter de bouger sans pour autant y parvenir.
L'étalon se trouvait blesser et cela semblais assez grave. Sans doutes des côtes de touchés et une patte abimer ou foulé.

Je m'approcha, lorsque je vis une forme à peu près nette : j'avais touché serieusement Devil Joke, et je l'avais blessé !
Je hennis, et m'approcha au petit galop.
Je ne suis plus qu'une boule de nerfs honteuse.... Je le regarde, et je n'ose pas lui demander mon "Ca va ?" habituel... Je m'allonge à côté de lui, pose ma tête sur une roche, et osupire... J'attends. Qu'est ce que j'attends ? Je ne sais pas, une parole...
Je lui dis alors :
-Je...Je suis navrée... JE ne suis qu'une boule de nerfs. Une imbécile, je t'ai foncé dessus, sans réfléchir...

Je laissa une larme couler... De honte, de déséspoir. Je m'allongea juste à côté de lui. Je posa ma tête sur son dos, signe amical....et triste... Je fis attention à ne pas lui faire mal. Je me déplaça, et me coucha derrière lui. Je posa ma tête sur son encolure, pour éviter qu'il n'ai froid... Qu'ai-je fait ?...
Je hennis... Un petit hennissement désésperé...
Je n'ai pu freiner devant le buisson...Je m'en veux. Je n'ai pas réagi plus vite... Je hennis. Je posa ma tête sur son épaule et lui lécha lentement le garrot, pour essayer de le réveiller....
Je hennis, puis soupira...

Devil ne rigolais plus du tout, le jeux venais de ce finir en catastrophe. Le beau gris ne bougeait presque plus mais il étais bien conscient et il répondis à sa congénaire ...

" Isba, c'est bon calme toi, je ne suis pas mort non plus. Je peut te demander d'arrêter de bougée un peut. Je vais essayer de dormir, de passer la nuit la et on verras demain matin comment je suis. Autrement il ne te resteras plus qu'a trouver un autre équidé capable de me soigner. "

Il grimaçais et se retenais parfois de gémir.

Devil était toujours couché, et avait raison : il fallait dormir, la nuit tombait lentement sur les terres de Life Horse. Je osa ma tête sur son épaule, et lui dit :
-Si tu as besoin de moi, je serais éveillée...

Je me leva, et scruta les alentours... J'étais prête à l'aider, à veiller toute la nuit... Je soupira. Qu'avais-je fait ? Des stupidités, comme d'habitude...
La jument sauvage et froide que je croyais disparue est en fait toujours là...
Je soupira, et baissa lentement, tristement, la tête...

Sûr les dernières paroles de la blanche l'étalon ferma les paupières et fit ce qu'il peut pour trouver le sommeil. Il ne montrât rien à la jument et préférais cacher ses douleurs.
Devil était un étalon et pas une mauviette. C'était un courageux et il en verrais sans doutes pire que cela.
Ce n'étais rien comparer à certaines blessures que les étalons s'infligeait entre eux lors d'un combat pendant les périodes de chaleurs ou pour défendre un territoire.
L'espagnol s'endormit finalement et se mis à ronfler.
Les heures allait tout doucement passer.

(Désolée, j'ai mis du temps à répondre. :D)

Je m'éloigna, remarquant que la nuit tombait. Il s'endormit péniblement. Je monta sur un rocher au petit trot. Je le guetta un peu. Je n'avais pas réussi à l'éviter. Je m'en voulais. Je soupira. Je resta ici une ou deux heures, lorsqu'un bruit de fueillages retentit... Je regarda autour de moi, lorsque je vis un félin, qui rampait vers Dévil, sortant d'un buisson. Je cabra, et frappa mes sabots sur le rocher. Je descendis de mon rocher au grand trot. Ce félin pouvait être un lynx, un couga ou un puma. Je galopa rapidement. L'un de mes sabots se coinça dans un trou. Je tomba en avant. Je hennis, voyant le lynx se rapprocher de Devil. Je me releva avec difficulté, avant de boitiller vers lui. J'avais mal à m jambe, mais j'avançais. Je ne laisserais pas Devil Joke tomber ! Je hennis, très fort. Le félin se retourna, et je vis un cougar. Je cabra, et frappa mes sabots au sol. J'avais mal à mon antérieur droit, mais je continua, tentant de lui faire peur. Je hennis au plus fort, et m'avança. Je cabra encore. Ils étaient trop loin. Tremblante, boitillant, je marcha avec difficulté jusqu'à eux. Mes séries de cabrés n'avaient qu'accentués le mal que j'avais. Je hennis encore. J'étais encore loin.

Je ne volais pas que le cougar fasse de mal à Devil, qui était déjà souffrant... Je cabra, et hennis très fort, pour réveiller Devil. Je n'eus d'autre choix que de m'élancer d'un bond vers le cougar. Je m'approcha, et tenta de le mordre. Il m'envoya un gros coup de griffe sur l'épaule. Je hennis, de douleur. Je cabra au dessus de lui, à plusieurs reprises. Je ne le touchais pas d mes sabots, car j'étais à un mètre. J'avais mal à toute la jambe maintenant.
Je tenta de le mordre, et il me griffa l'encolure maintenant. Je cabra, et m'effondra en arrière.
Ecroulée, je gisais au sol. Mon épaule et mon encolure saignaient, mais je me releva. Je m'approcha, et je cabra au dessus du cougar. Il me mordit le jarret de mon antérieur droit. Je hennis, avant de me laisser retomber lourdement sur le cougar. Je respirais avec difficulté, car j'avais mal,très mal... Mon jarret, à son tour, s'était, lui aussi, mis à saigner... Je soupira, releva la tête, et regarda Devil...

L'étalon lui qui dormais à point fermer et ronflottais par moment ne fessait que de petits bruits signalent qu'il ne tarderais pas à ce réveiller. Il ne vis rien de la scène entre cette bête et la jument. Ce qui le réveilla finalement fut le bruit et le mini tremblement de terre qui se fit ressentir lorsque la jument se laissa tomber lourdement sûr la bête l’étouffant et la tuant sans doute sûr le coup.

Le grand gris marmonnas et ouvris finalement les yeux ...

" Il y a un problème ? Tu es toujours pas la Isba ? "

L'étalon regroupas ses forces reprise dans son sommeil et se hissa tant bien que mal sûr ses quartes fers alors que le ciel rose annonçais encore une belle journée.