l i f e h o r s e — Le RPG.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

l i f e h o r s e — Le RPG.


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Elden Ring Shadow Of The Erdtree édition Collector : où le ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 « La mort est dans le pré » • EVENT

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Shades
Follow Them ...

Shades

Féminin Nombre de messages : 323
Age : 26
PUF : Nonoo
Date d'inscription : 01/11/2011

Feuille de Personnage
Nombre de topics en cours: Beaucoup mais pas assez. :D
Mode Rp: Envie de rp *_*

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptySam 6 Oct - 21:19


« LA.MORT.EST.DANS.LE.PRÉ. »
« The ground split in two under the hooves of fatal »
« Sing For Me - Ange Noir »
║ ÉVÉNEMENT ║
♪ Ô, les cieux se plaisent et se déchainent.♫
♫ Ô, les dieux se plaisent et nous enchaînent. ♪
« Le ciel se teinta de noir, les nuages s'amoncelant dans le ciel, et couvrant le soleil disparu depuis quelques heures. Un vent sifflait, chantonnait, parcourant les sombres plaines à la recherche de quelqu'un à refroidir, à effrayer... Des rafales agitaient le monde, arrachant les feuilles à leurs rameaux, et faisant bientôt vaciller les troncs des arbres. Le sol trembla, agitant chaque habitant de Life Horse. Un tronc s'affala au sol, faisant vibrer le sol. La frayeur gagna tout le monde, le plongeant dans le Chaos... Bientôt les flots des cieux se déchaînèrent, et la pluie battit les Terres Nord. Le sol trembla pendant de longues minutes, faisant s'écrouler les vestiges du village humain, des tornades venant en érafler les pierres... Les séismes ravageaient les terres, le sol se fissurant par endroits. La terre tremblait encore et toujours, puis un violent orage éclata au Sud de Life Horse, une forêt se trouvant vite ravagée par les flammes qui dévastaient tout sur leur passage. Le lit des fleuves déborda, les flots avalant bien vite les rives, quelques arbres au passage... »
« SHADES. »
« And chaos wrapped her arms around the world... »
La vie, voyez-vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit. Et le monde ? Le monde est si mauvais, si laid... Shades avait envie de fuir, fuir tout et n'importe quoi. Elle était gestante par sa faute, ils étaient morts par sa faute... Quel idiot ! Il se dégoûtait lui-même. Les oreilles couchées en arrière, le mâle cuivré galopait rapidement. Ses sabots frappaient le sol, le conduisant loin de tout, loin de ses erreurs... Mais le drame était là, lui barrant la route. Une rafale de vent secoua ses crins, qui claquèrent contre son encolure. Le sol fit un bruit étrange, et Shades pila net lorsqu'un arbre s'écrasa devant lui. Couchant les oreilles et dévoilant un peu les dents, l'étalon recula et contourna l'arbre déraciné par la tempête. La pluie avait souillé ses flancs, et ses poils se collaient à sa peau en une sensation désagréable. Perplexe concernant la tempête qui menaçait Life Horse, Shades fit quelques pas en avant. Son cœur se serra, lorsqu'il vit le point le plus haut des terres s'écrouler en une chute de roches, et il put voir les flammes s'acharner sur une forêt... Le lit d'un fleuve débordait au loin, léchant les terres et avalant les rives. Une tornade se forma au loin, haute et tourbillonnant dans une danse infernale... Shades accéléra et soudain, la terre se fendit sous ses sabots. Reculant, il la vit. Grande, creusant le sol. Une faille se dessina face à lui. Il leva les yeux vers les cieux, vers les dieux... Et là, entendant derrière lui les chevaux arriver, il hurla, cabrant majestueusement.
« Cette fois, vous paierez, Dieux égoïstes, ingrats créateurs ! Vous paierez ! »

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Dans ce topic, vous n'avez pas de lignes minimum. Mais les pavés ne sont pas non plus nécessaires. Vous pouvez poster autant que vous souhaitez. Vos chevaux verront ici ce qu'il se passe sur les terres de Life Horse, spectateurs de leur destruction. Laissez votre imagination s'exprimer et si vous avez des réclamations / idées, pour l'évent, demandez / proposez à un administrateur / modérateur. Sur ce, je vous souhaite un bon jeu sur Life Horse, et une belle apocalypse ! =)
Revenir en haut Aller en bas
Hemistiche
« A dancing Demon, splattering Crimson... »
Hemistiche

Féminin Nombre de messages : 5075
Age : 29
PUF : CrEpUscul
Date d'inscription : 04/03/2007

Feuille de Personnage
Nombre de topics en cours: 4
Mode Rp: Envie de rp *_*

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptyMar 9 Oct - 19:13



Ice Wing
"Au Dieu que je déteste."

Sous ses sabots, la terre c'était mise à trembler. Un grondement sourd s'était élevé. Autour d'elle les équidés avaient fuis, sans comprendre pourquoi ni comment, ses sabots s'étaient mis en mouvement d'eux même, et claquaient régulièrement sur le sol de terre sèche. Elle suivait le mouvement des équidés paniqués, ne réfléchissant même plus. Une panique intense avait pris le dessus sur toute autre émotion, et elle se contentait d'avancer, encore et encore, parce qu'avancer était tout ce qu'elle pouvait faire. Pourquoi la terre tremblait t-elle, que se passait-il ? La sueur apparut sur son poil gris, et alors que l'air s'alourdissait, une pluie fine, puis battante commença à tremper la robe de la jument qui fonça. Rapidement, de la fumée s'éleva du corps de l'animal tandis que la chaleur de son corps s'évaporait dans l'air froid. Au loin elle entendait le grondement d'une mer déchainée qui battait les falaises et les côtes; le tonnerre roulait et la foudre frappait le sol; une odeur âcre de fumée parvint à ses naseaux dilatés par l'effort de sa course. Derrière elle les arbres commençaient à bruler malgré la pluie cinglante qui ne parvenait à éteindre l'incendie. Elle sentait la chaleur des flammes se rapprocher d'elle, et accéléra. Ses muscles lui faisaient mal, mais elle continuait. Au loin les derniers cris de chevaux à l'agonie se faisaient entendre, tandis que prisonniers des flammes ils lançaient un dernier appel à un Dieu qui les avaient abandonnés.
Qu'avaient-ils faits ? Qu'avaient-ils faits pour qu'ainsi la terre se retourne contre eux ? Quel dieu cruel jouait avec leurs destins ? Était-ce une sorte de compétition d'où seuls les plus forts pourraient sortir vainqueurs ? La jument ralentit. Sa poitrine lui faisait mal, son souffle brulait sa gorge, ses jambes semblaient ne plus vouloir la porter. Autour d'elle d'autres chevaux s'étaient arrêtés; étaient-ils en sureté ? Un étalon hennit furieusement, elle entendit ses sabots fendre l'air dans un sifflement, mais était trop fatiguée pour s'en soucier. Si elle se couchait parviendrait-elle à se relever ? Écumante, fumante, l'animal se traina un peu plus loin, s'approchant d'autres rescapés. La cruauté de ce dieu qui avait pris plaisir à la torturer toute sa vie durant allait-elle jusqu'à lui faire vivre pareille épreuve ? Maintenant que tout ce qu'elle connaissait était détruit, que lui restait-il ? Comme si elle, avait une chance de survivre dans ce jeu. Elle était bien trop faible. Si la la loi du plus fort était le nouvel ordre pour sa survie, elle serait l'une des premières à tomber...





?
"Les échos du crépuscule sans fin."


L'odeur de la mort était partout. Hier le jour ne s'était pas levé, et aujourd'hui l'aube était baignée de sang. La foudre avait frappée les forêts, et la lumière des flammes avait remplacé celle du soleil que les nuages de cendre avaient dissimulé. Elle trottait, les oreilles couchées contre sa nuque. Elle aurait voulu pouvoir arrêter de respirer pour ne plus jamais sentir l'horrible odeur des corps brulés. La pluie n'avait pas stoppée l'incendie qui c'était propagé. Elle avait trouvée refuge dans les hauteurs des terres, résistant vaillamment aux glissements de terrains et évitant tant bien que mal les pierres qui dégringolaient les parois rocheuses des montagnes. Du sang coulait le long de sa robe noire, des plaies gorgées d'un vermeille criard décoraient son poil humide. Son esprit calme et placide avait su rester lucide dans cette difficile épreuve. Elle recherchait la vie. Elle ne pouvait pas être seule, c'était impossible, d'autres avaient forcément survécus. Mais où qu'elle aille seuls des cadavres jonchaient le sol. Ses sabots soulevaient à chaque foulée des nuages de cendre grise, parfois entachée de rouge. De la fumée s'élevait encore de certains arbres, et par endroits des flammes continuaient à lécher une écorce déjà noircie, comme pour être sûres d’ôter toute vie aux arbres. Apocalyptique. Ce mot résonnait dans la tête de la jument, et à chaque foulée qu'elle faisait, il semblait que ce mot s'ancrait plus profondément dans son esprit qui se vidait progressivement. L'odeur du sang et de la mort, l'odeur de la chair brûlée, et par endroits les cadavres gorgés d'eau d'équidés noyés. Ne penser à rien. Oublier cette mort omniprésente, c'était la seule chose à laquelle elle aspirait. Sa mémoire défaillante avait toujours si bien réussie à effacer les souvenirs douloureux, mais aussi loin qu'elle aille, elle ne pouvait chasser ces images de sa tête. Indifférente. Ce mot l'avait toujours très bien caractérisé, car elle ne prêtait que peu d'attention à ce qui l'entoure. Et pourtant, aujourd'hui elle prêtait attention à tout, le moindre détail frappait son esprit torturé comme un coup de sabot.
Elle trébucha sur le corps d'un cheval. Sa respiration sifflante prouvait qu'il était encore en vie, mais les blessures qui couvraient son corps annonçaient sa mort proche. La jument noire le regarda. Un instant leurs regards se croisèrent, mais déjà celui de l'inconnu se voilait. Elle se détourna et reprit sa route, se rapprochant de l'immense faille qui avait engloutit tant de vies. Elle se pencha, tentant de distinguer son fond, mais tout ce qu'elle put voir fut une rivière carmin, colorée du sang de ceux que la faille avait engloutie. Dégoutée la jument se détourna. Finalement, alors que ses muscles commençaient à montrer des signes faiblesses, elle aperçut un cheval. Dégoulinante de sang et d'eau, ses jambes couvertes d'une couche de cendre noire et rendue pâteuse par l'eau, elle s'approcha des survivants. Elle ronfla des naseaux. Aucun d'eux ne tourna la tête vers elle. Leurs regards étaient vides, ils étaient comme morts. Devant eux les terres détruites s'étendaient. Elle s'avança un peu, suivant du regard les chevaux qu'elle croisait. Puis s'arrêta. Un soupir las lui échappa.
Le jour allait-il finir par arriver ?


Revenir en haut Aller en bas
Lune rouge
Les mots ne vivaient que par eux.

Lune rouge

Féminin Nombre de messages : 177
Age : 25
PUF : Flickaspirit
Date d'inscription : 23/12/2011

Feuille de Personnage
Nombre de topics en cours: Pleiiiiin !!!
Mode Rp: Libre

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptyVen 19 Oct - 21:23

(Zeeeeeee m'incruste! Un topic où on est réunie toute les trois ça tente qui ? Si j'embête on me dis! Chanson utilisée : Nous sommes du hasard, Eiffel)


Moonred...



Dieu, tu laisses à désirer
Et nous prêtes à croire
Que de la tête aux pieds
Nous sommes du hasard



Le souffle du vent déchirait tout sur son passage
La force de l'eau surmontait tout en travres de son chemin
La chaleur du feu incendiait ses obstacles
La fragilité de la terre perdait le monde



A peine son sabot n'avait-il touché le sol qu'elle avait pressentit quelque chose. Elle ne savait quoi. mais il y avait quelque chose. Son instinct lui hurlait de fuir. De ne prendre aucun risque. Surtout maintenant. Seulement, il en avait été décidé autrement. Des roches se détachèrent de leur "murs" pour venir s'écrouler à ses pieds. Encore un peu et c'était sur eux que ça s'écroulait. La terre se mis à trembler dangereusement. Ainsi qu'un grondement sourd s'élevait dans l'air. Un grondement accompagné d'un crépitement reconnaissable entre mille qui invita la peur à venir s'installer en ses entrailles. Fuir... Elle le devait... Des hennissement d'agonie lu parvinrent. Alors comme ça certains n'avaiot pu en réchapper. Une mort atroce au terme d'une journée tout aussi atroce. Le ciel était noir depuis le matin. Et une odeur mortelle régnait en l'air. Le tonnerre frappait sans vergogne ceux osant le défier. Un dieu les voyait-il et leur envoyait sa colère ? Elle n'y croyait pas. Mais que croire en ce temps ? Une pluie, d'abord fine, s'abbatait sans relâche sur les pauvres habitants de cette terre devenue hostile. Son poil collait à sa peau de pluie et de sueur. L'origine des crépitements et de l'âcre odeur lu parvenant ne s'était pas encore révélé à ses yeux, si ce n'est par une sorte de brume étant plus de la fumée qu'autre. Elle n'avait donc pas commencé à fuir comme les autres. Du moisn pas aussi rapidement. Perdue au milieu de ce brouillard sanglant. Des bruits de cavalcade de tout les côtés. Des cris d'agonie. Les flots de la mer contre la roche au loin. Toujours ce crépitement synonyme de mort. Le sol s'ouvrant en deux. Laissant apparaître une horrible blessure saignant au point d'en inonder les alentours. Des cris... Des odeurs. Mais aucune vision. Totalement aveugle au milieu de cette tuerie plus qu'omniprésente.

Je n'sais pas où je finis
Où est le bout du temps ?
Où m'évanouis-je ?
En quel amour chaud brûlant ?
Où va l'esprit
Et où se jette le bout du corps ?
En quel océan
Et au départ de quel port ?


Son coeur battait vite, le sang cognait à ses tempes et elle tremblait. Doucement elle tenta de se relever. Doucement, elle respira. L'air aussi chaud ue froid détruisant ses poumons et sa gorge enflammée. Elle venait de frôler le sort de centaine d'entre eux. Hélas pour elle, tandis qu'elle essayait tant bien que mal de se relever, le feu s'était rapprocher pour être assez proche d'elle. Elle toussa et retomba à genous sans parvenir à être de nouveau sur quatre jambes. Encore une toux... Plsu forte... Comem le crépitement se transformant peu à peu en hurlement, hurlement se mêlant à celui déjà)à présent du vent, de l'eau, du tonnerre et de la terre. Créant une cacophonie vrillant sa tête de milliard de piques acérées.
Enfin, elle était debout. Mais le feu aussi y était. N'écoutant plus que son instinct hurlant une symphonie bien plus puissante que la disymphonie la paralysant depuis son commencement, elle se mit à galoper de toute la vitesse dont elle était capable. Tout son être lui hurlaoit deux lâcher. Les deux au creux de son ventre lui hurlai de continuer. En accord parfait avec son instinct. Alors elle continua. Complètement aveugle. Résistant au vent, glissant sous l'effet de l'eau sur la roche déjà glissante en temps normal. Qu'importe où ses sens lui indiquaient, il n'y avait plus rien. Aucune vie. Mais que c'était-il passé ? Un "Dieu les avait-il abandonnés ? Ou la nature se rebellait-elle contre une action en dépendant en rien des pauvres victimes qu'ils étaient ? Pas de réponse. Comme toujours. Des questions. Pas de réponses.
Elle s'arrêta. Trempée, non d'eau, mais de transpiration, la poitrine hâletante. Ses flancs se soulevant douloureusements. Elle toussa avec difficultés et douleur. La métallique odeur du sang et l'âcre odeur du feu ayant réduit son système respiratoir à néant. La loi du plus fort allait s'installer après cela. S'ils étaient encore assez pour cela... Mais qu'importe leur nombre... S'ils étaient plus de deux, un étalon et une jument, la nature ne serait pas la seule responsable de leur fuite vers l'au-delà...
Elle devait se faire violence pour ne aps tomber. Mais elle ne le pouvait... En temps normal une telle course l'aurait rendu mal, mais elle aurait encore eu la force de survivre après. Là elle savait qu'elle n'en aurait pas la force. Elle avait à peine celle de marcher. Un hennissement puissant et rageur se porta jusque ses tympans abîmés et s'y glissa. Il n'était pas aussi doux que la symphonie du vent d'té mais il lui montrait qu'elle n'était pas seule... Une chance et à la fois le plus grand malheur. Elle savait que même avec ses deux vies palpitants avec la sienne, elle ne serait pas gardée. Un esprit rationnel aurait dit le contraire. Du sang neuf, une nouvelle génération pour recommencer! Mais là... Plus de rationnalité. Plus de raison. Survivre. Seulement.
Elle allait sombrer. C'était inéluctable. Une silhouette se dessinan en cet instant devant ses yeux rougis par les éléments. Elle hennit doucement à son intention. Elle avait aussi crû en voir d'autre. Mais celle-là lui semblait plus attentive à son univers. Plus calme. Pleine de sang-froid. Et elle l'espérait, quelqu'un non rendu fou par la rébellion du monde...

Automne noir...


Fils de moins que rien
Ou d’un royaume argenté
En peau de vison, peau de chagrin
On prend tous le même train

Fils de moins que rien
D’un caniveau ou bien nés
Peau d’ange, peau de malin
Quelque soit le chemin
On prend tous le même train

Avec un long soupir le vieil étalon darda son regard d'ombre sur le ciel tout aussi nour. Une éclaboussure de jaune y éclata. Puis plusieurs. Accompagnées d'un grondement annonciateur de fin. Reflet des lueurs de son propre regard. Et du hennissemnt rauque voulant sortir de sa gorge. Sans un mot, il regarda à nouveau devant lui et avança. Tout autours, des corps. Certains étaioent mort, d'autres perdus, d'autres blessés, d'autres survivants. Il y en avait qui étaient debout. Pas encore tombés sous le joug d'une puissance bien plus forte que toutes leur espérances et leur rêves réunis. Il croisa un regard, le temps d'une fraction de seconde. C'était une jument cherchant des survivants. Pas comme lui. Il se détourna bien vite pour regarder maintenant l'orange dansant se rapprochant au fur et à mesure que le temps s'écoulait. Une danse hypnotisante. Il la regarda encore deux ou trois instants avant de fermer les yeux et se concentrer pour écouter le transparent, reflet du bleu au dessus, s'échouer contrer ses frontières. Un doux son enchanteur devenu bruits dévastateur. Encore une fois au bout de deux ou trois instants il changea. Ses yeux se rouvrirent et le monde connut de nouveau le vide de ses yeux. La terre se séparait en deux, explication simple du tremblement retentissant et du grondement sourd s'élevant. Il regarda la cicatrice se rouvrir. Toujours sans bouger. Il apperçut une jument galoper. Malgré son allure pouvant témoigner d'une certaine panique il croisa son regard. Elle aussi avait en fait, au fond d'elle, un sang-froid et une raison. Il sourit doucement en l'observant? Ce n'était pas elle qu'elle sauvait. Il la laissa contiinuer sa course en écoutant, lissant les yeux de mécontentement, un grave hennissement chargé de fureur. Fureur dirigée envers des dieux d'après ce qu'il entendait. Il avait bien envie de rire. Non, il ne devait aps. Ce n'était pas approprié à la situation. Le hennissement n'était plus. Les claquements de sabots, contre le sol, l'ayant accompagné, non plus. Une odeur de omrt flottait. Une odeur de mort qui n'était en fait que celle du sang coulant en abondance de la plaie ouverte devant eux. Débordant à un point tel que, importe où on posait les yeux, l'écarlate dominait et submergeait. Doucement, il fit se tourna en la direction du jeu étalon roux ayant troublé la lancinante plainte de la terre.

Une question se posait. Mais, qui était-il ? Qui était cet étalon n'ayant dans la limite du perceptible aucune peur ?

Ho oui il avait peur. Très peur. Peur que la raison se perde et que seul le sang finnisse ici.

Je n'sais pas où je finis
Où est le bout du temps ?
Où m'évapore-je ?
En quel abracadabrant
Pays ? Sur tes lèvres tartares,
Sous ton manteau de bouche où la crainte de la mort ?
En quel château Cathare ?
Où est le dedans où est le dehors ?
Revenir en haut Aller en bas
Shades
Follow Them ...

Shades

Féminin Nombre de messages : 323
Age : 26
PUF : Nonoo
Date d'inscription : 01/11/2011

Feuille de Personnage
Nombre de topics en cours: Beaucoup mais pas assez. :D
Mode Rp: Envie de rp *_*

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptySam 20 Oct - 15:53

« SHAÐES. »
Partout, des morts. Ils jonchaient le sol comme l'herbe tapisse la prairie. Une ambiance d'apocalypse régnait. Était-ce donc la fin ? Ne sont-ils donc pas trop jeunes pour partir. Les survivants étaient là, perchés près de cette faille, qui fendait les terres en deux parties. Les terres du Nord étaient ravagées par le débord des fleuves, par les pluies incessantes et par les tornades et les rafales de vent qui retournaient tout sur leur passage, happant le paysage sans une once de douceur. Les terres du Sud, elles, étaient envahies par les flammes et par la terre s'agitant frénétiquement. Life Horse devait être placé sur deux plaques tectoniques, ce qui provoquait donc la rupture des roches lorsque celles-ci rentraient en contact. Bousculant le monde tout entier et agitant sévèrement ses habitants, les quatre éléments se déchainèrent, arrachant les équins à leur commun et bouleversant leur vie, gravant dans leur cœur une éternelle cicatrice, marque du vécu de l'Apocalypse elle-même. Et pourtant, vous verrez, un jour de vieux chevaux vous raconteront comment ils ont failli mourir, à cause de la colère des dieux. Soulevant tout son corps dans une seconde levade majestueuse, Shades coucha ses oreilles en arrière et se tourna vers le peuple.
« Remontons-nous contre nos propres créateurs, et abattons-les. Nous ne céderons pas. »
Il entendit le hennissement de sa douce, et il la rejoint sans plus attendre, l'enlaçant et lui promettant tout bas, en un murmure, qu'elle, les petits et lui même, survivraient. Il lui promit que les trois quarts de ceux qui étaient encore là survivraient. Il ne manquerait pas à sa promesse...
Revenir en haut Aller en bas
Cato.
Les mots ne vivaient que par eux.

Cato.

Féminin Nombre de messages : 18
Age : 29
PUF : sparki
Date d'inscription : 17/12/2012

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptyMer 19 Déc - 14:31

    « Tout ce que la nature nous a donné, la nature nous le reprendra. »


    L’obscurité était flagrante. C’était une de ces scènes d’apocalypse comme on en voit dans les films, des scènes sombres où il y a trop de morts, où il y a trop de blessés. C’était exactement ça.
    La panique se faisait ressentir partout, tout ces chevaux paniquaient et se rassemblaient en un seul et unique endroit. Dans cette horde de chevaux qui paniquaient, il y en avait un en fond de peloton, limite même en retard sur les autres. Il se trainait même un peu, pas trop pressé. Ce petit cheval n’avait rien de bien très impressionnant et pourtant il n’avait pas peur. Ce jeune arabe était arrivé il y a quelques jours sur ces terres, et déjà elles tournaient au chaos. Il ne savait pas trop quoi en penser, mais il n’avait pas encore envie de partir ailleurs, il en avait marre de partir, il voulait se poser. Dans son ancienne vie d’humain, ce petit cheval avait déjà éprouvé ce sentiment plus d’une fois, devenu un étalon, il s’était intensifié encore plus. Cato foulait le sol sans trop de soucier de ceux qu’il perdait en route, il continuait à son rythme, un petit trot cadencé et rythmé dans lequel il ne se fatiguait pas. On ne sait jamais qu’il faudrait vraiment prendre la fuite, là, lui aurait encore de l’énergie alors que tout les autres seraient à la traine. Les éléments se déchainaient, les Dieux semblaient furieux. A chercher, le jeune alezan aux crins lavés ne savait pas pourquoi ils étaient comme ça. Enfin… Dans sa vie d’humain il n’avait jamais été vraiment croyant. L’existence des Dieux était pour lui quelque chose de complètement flou.
    Au loin, le jeune alezan voyait le rassemblement des chevaux, ils s’étaient tous réunis autour de quelques uns, des dominants ? Il n’en savait rien, il ne savait pas du tout qui ils étaient. Il lui sembla voir un alezan au milieu du tas qui semblait assez nerveux mais sûr de lui vu comment il cabrait. Le jeune arabe panacha sa queue et allongea son trot, il sentait quelques perles de sueurs qui commençaient à lui venir. Il accéléra l’allure et se retrouva vite au milieu du peloton. Il sentait quelque chose de pas net dans son dos du coup accéléra encore jusqu'à prendre un bon petit galop soutenu.

    Cato déboula près des autres chevaux en ne ralentissant pas sa vitesse. Il en avait vu des horreurs dans sa vie et rien ne l’étonnait, même pas les cadavres qui juchaient le sol. Il se contentait de sauter par-dessus ou de les contourner mais il ne ralentissait pas l’allure pour autant, en bonne machine de guerre. Le jeune alezan ramena ses postérieurs sous lui et freina sèchement sur une bonne dizaine de mètres et s’immobilisa enfin, la queue toujours en panache. Il releva la tête et arrondit légèrement l’encolure tout en scrutant un peu ceux autour de lui. Il repère très vite l’alezan qui se cabrait tout à l’heure. Il se contenta de l’observer quelques minutes, puis s’attarda sur deux juments dont une noire. Pourtant son air hautain repris assez vite le dessus.
    Il savait que quelque chose allait devoir l’unir à d’autres chevaux pour pouvoir survivre à tout ça, et il avait horreur de dépendre de quelqu’un d’autre que de lui-même, mais il devait faire avec. Il se contenta de rester immobile et d’essayer de comprendre ce qui était en train de se passer.
Revenir en haut Aller en bas
Lune rouge
Les mots ne vivaient que par eux.

Lune rouge

Féminin Nombre de messages : 177
Age : 25
PUF : Flickaspirit
Date d'inscription : 23/12/2011

Feuille de Personnage
Nombre de topics en cours: Pleiiiiin !!!
Mode Rp: Libre

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptyMar 25 Déc - 20:32

Moonred...


Avec un long soupir de soulagement Moon se laissa aller contre Shades. Qu'il soit là lui faisait le lus grand bien. Au moins lui était là. Et pas au fond de cette blessure de la terre. Il avait essayé de prendre les choses en sabot. Elle ne doutait pas de ses capacités. Mais, la situation ne pouvait être prise en main. Pas avec cette terre qui se révoltait. Pas avec cet instinct de survit remontant. Même le meilleur des meneurs ne pourrait y arriver. C'était peut-être égoïste, mais il était avec eux et c'était tout ce qui comptait. La loi du plus fort. Un claquement de sabot lui fit rouvrir les yeux contre l'encolure musclée du roux. Un grand étalon noir s'approchant d'eux. Et un jeune arabe semblant assez prétentieux. Oh, elle était bien une des première à dire qu'il ne fallait pas juger sur l'apparence mais là, avec cette situation, les principes et les pensées passaient au second-plan. L'arabe passant avec les autres, elle se concentra plutôt sur l'imposant noir s'approchant. Elle le détailla d'un oeil. Evaluant la menace. Bien qu'avec Shades contre elle, aucun être vivant ne pourrait l'approcher à moins de quelques mètres. Le mâle était grand et musclé, avec une robe noire que l'on devinait brillante sans cette poussière, de longs crins emmêlés, certainement par un long voyage. Si l'on suivait la typologie bipède, c'était un frison. Ce qui l'attira ensuite fut ses yeux. Des yeux noirs. D'un noir profond. Intense. Comme l'encre de la nuit. Comme les siens.. Un long frisson la parcourut. Il... Il... Complètement fascinée, elle ne pouvait détacher son regard du sien. Elle y lisait une grande sagesse. Une douleur sans bornes. Un chagrin remplis de larmes non versées. Et... cette lueur si familière. Il lui était tellement familier. Elle avait l'impression de le connaitre. C'est pourquoi, faisant abstraction de son compagnon, et de ses protestations qu'elle était sûre qu'elle aurait, elle se dirigea vers lui. Il s'était arrêté et les fixaient. La fixait. Il devait au départ être venu pour Shades. Mais là, impossible de faire fit de ce sentiment. Ils se connaissaient. C'était sûr. Plus que sûr. Plus qu'une certitude. Ils se connaissaient ! Un grondement venant des entrailles de la roches coupa cet étrange lien entre le vieil étalon et la jeune jument. Instinctivement, elle écarta un peu les jambes pour se stabiliser. Punaise ! Ca n'allait pas recommencer ! Pour le l'instant, le feu n'était pas encore là. Encore merci ! Il ne manquait plus que ça ! Il ne tarderait pas, ce qui les obligeraient à bouger, mais en attendant il était encore assez loin.
Le tremblement calmé, la jeune baie ne reprit pas le contact visuel et décida plutôt de lancer un léger hennissement à son compagnon pour qu'il la rejoigne et finisse d'arriver au noir avec elle. C'était bien pour lui que celui-ci c'était approché au départ !
Enfin d'après ses suppositions.
Un mouvements dans ses propres entrailles la sortit de ses pensées et réveilla son instinct maternel. Elle avait beau être un monstre, l'instinct maternel chez elle était indéniable ! Rassemblant ses pensées, dans le moment de lucidité accordé par son cerveau grâce au mouvement des jumeaux, elle se mit en mode "Assassin aux aguets". C'est à dire que le moindre bruit, le moindre mouvement, la moindre respiration, le moindre clignement de paupière, était pris en compte et réfléchit. Malgré l'amour de Shades. Malgré ses jumeaux. Les vieilles habitudes étaient récurrentes. Après tant de temps à avoir dût rester tout les sens en éveils chaque secondes. Après un an en temps qu'assassin. On ne pouvait rester plus d'une minute sans tout prendre en compte, analyser, calculer, et conclure. Elle s'était laissée submergée par son instinct. Pas le bon instinct. Celui qui faisait perdre toute raison. Elle cligna des yeux. Juste le temps pour bien se reprendre.
Lorsque Moon rouvrit les yeux, ce ne fut plus la jeune jument baie devenant parents dans quelques mois avec son compagnon. Ce n'était plus la jeune jument paniquée. Ce n'était plus elle. Les sentiments étaient partit. Il ne restait que Monred. Lune rouge. La tueuse Exempte d'émotion. Exempte de limite. Froide et calculatrice. Shades n'aurait pas à tenir sa promesse. C'était elle qui le ferait. Ils allaient tous s'en sortir. Peut-être pas grâce à elle, elle savait qu'elle ne serait pas la sauveuse. Que seule elle n'y arriverait pas. Mais elle allait bouger. La terre faisait sa révolte ? Très bien. Elle voulait jouer ? Elle voulait se battre ? Que la danse commence.

-Toi. L'arabe aux crins lavés là. Viens ici s'il-te-plais. J'ai à te parler.

Elle n'était pas une dominatrice. Les ordres, elle n'aimait pas les recevoir. "Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse." Elle n'en donnait donc pas. Mais, là, ce jeune mâle semblait maître de lui. Avec assez d'esprit pour comprendre. Et assez de contrôle sur soi pour exécuter ce qu'elle allait lui demander. Ainsi que l'étalon noir. Elle ne doutait pas que Shades et lui allaient décider de grande chose pour leur avenirs.
Et oui. Elle savait danser.


Automne noir...


Je vis la jument rouvrir les yeux à mon approche et me détailler du coin de l'oeil. Je venais tout d'abord pour son compagnon, mais ses yeux m'absorbèrent. Il sembla que ce ne fut pas la première chose qu'elle remarqua chez moi. Mais lorsque son regard se pose enfin dans le mien, elle se retrouva aussi fascinée et démunie que moi. Je la connaissait. Je connaissais ces yeux... D'un noir d'encre. Deux puits sans fonds. Rien de plus noir que ça. Le vide complet. C'était les yeux de sa mère... Et ceux de sa cadette... Fleur rouge... Ainsi que sa fille, sa petite-fille, son arrière-petite-fille, et maintenant elle... C'était... Improbable... Mais tellement vrai... Si cette petite était bien celle à qui je pensais... Mon voyage prenait fin. Ma quête était finie. Je l'avais trouvée... La fille de Lys noir. La petite-fille de Fleur de Saule. Elle même la fille de Fleur rouge. Ma soeur. Une grande bouffée d'espoir et de joie m'envahit. Une bouffée que je n'avait pas ressentit depuis bien longtemps. Elle s'avança dans ma direction. J'eus tout le mal du monde à retenir un sourire. C'était elle. Ca ne faisait plus aucun doute. Je l'avait trouvée. Malgré tout le malheur et la mort autours de nous, je voulais hurler ma joie. La crier, la chanter. Je l'avait trouvé elle. On se retrouverait avec les autres et enfin, on serait bien. Tranquilles. Ces terres survivraient. Je le savait. Ce n'était pas la première fois que la terre faisait ceci. Ce serait un long et très mauvais moment. Mais il passera. Je ferais tout pour que Moonred survive. Elle et son compagnon bien entendu. Oh, je n'oubliai pas les autres. Mais elle restait ma priorité. Après tout ce que j'avais vécut, j'y avais bien droit. Au bonheur jusque ma fin.
Je fronça les sourcils. Le sol sous nos sabots se mit à trembler. Rompant notre contact visuel. Je ne me mit pas en colère. A quoi bon et contre qui ? Ca ne servirait à rien. Je la vis appeler son compagnon une fois le sol calmé. Je reporta mon attention sur celui-ci. Son comportement était admirable. Il tentait de résonner les autres. De les sauver. Courageux. Bienveillant. Et remplis de douleur. Pensais-je. Je tenais à lui parler. C'était bien pour cela que je m'approchais au départ. Je remua une pensée en attendant que le roux arrive jusque Moonred. Pourquoi tout à l'heure l'accrochage de regard que l'on venait d'avoir ne s'était pas produit ? C'était bien Moon que j'avais vu galoper. Elle sauvait les petits qu'elle portait. Oh. je l'avais bien vu ça. Il faut dire. J'étais vieux. Oui, mais pas assez pour rester loin de la danse.
Je le vis immédiatement lorsque son regard noir changea. Une légère contrariété m'envahit. Elle avait souffert elle aussi. Je l'avais vu immédiatement. Mais au point de devenir une tueuse. Je connaissais ce regard. Cette détermination. Cette dureté. Ce sang-froid. Cette absence d'émotion. Mon père avait le même. J'avais le même. Toute la famille l'avait. Mais ceux qui le portaient presque permanence, c'était Larmes de Crystal et tout les siens. Le regard des assassin. De la mort. J'en frissonnais. Elle héla un jeune arabe alezan crins lavés arrivé un peu plus tôt. Je l'avais vu arriver celui-là. Hum, sous son attitude pouvant sembler un peu prétentieuse, je devinais qu'il pourrait nous être d'une grande aide. Bien. Moonred s'en chargeait. Moi, de mon côté, j'allais parler avec le roux. La jument noire cherchant des survivants pourrait aussi m'aider. Rien qu'en un regard, elle m'avait intrigué. Et je ne savais pas pourquoi, mais je voulais qu'elle danse avec nous. Un fin sourire s'étira sur mes lèvres. Un sourire froid. Comme je l'avais déjà dit, moi aussi, j'avais ce regard. Cet état d'esprit. Le tueur.
Bienvenue dans la danse.



(Ha là là. Qu'est-ce-que ça m'avait manqué d'écrire comme ça...)
Revenir en haut Aller en bas
Hemistiche
« A dancing Demon, splattering Crimson... »
Hemistiche

Féminin Nombre de messages : 5075
Age : 29
PUF : CrEpUscul
Date d'inscription : 04/03/2007

Feuille de Personnage
Nombre de topics en cours: 4
Mode Rp: Envie de rp *_*

« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT EmptyVen 28 Déc - 15:07

L'évent entame sa deuxième étape, que vous pourrez trouver ici.

Après avoir assistés, témoins impuissants, à la destruction de l'endroit sur lequels ils avaient vécus en paix pendant si longtemps, les équidés doivent se mettre en quête de nourriture pour survivre, mais rien ne subsiste. La mort est partout sur leur chemin, et les conflits éclatent au sein du troupeau de réfugiés. Déjà certains équidés sentent leurs forces s'épuiser. Les prédateurs affamés rodent, la peur s'ajoute à la faim... Quel sort attend ces équidés ? Quel destin sera le leur ?

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




« La mort est dans le pré » • EVENT Empty
MessageSujet: Re: « La mort est dans le pré » • EVENT   « La mort est dans le pré » • EVENT Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

« La mort est dans le pré » • EVENT

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» — Apocalyspe Now (Event)
» ... Un .. Mort ?
» Sent la mort le rattraper...
» Le saut de la mort...
» # Distorsions ( Libre )
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
l i f e h o r s e — Le RPG. :: NO MAN'S LAND :: Il n’y avait pas d’oisifs.-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit