>> Cannibal Instinct . [Libre]

Un des anxiomes de la sciences du comportement veut que les vampires soient des êtres attachés à un territoire, alors que les cannibales, au contraires, parcourent le pays de long en large. Mais Lecter n'était guere attiré par la vie de nomade. Non cela faisait dejà un long moment qu'il rodait sur les terres de Life Horse, laissant derriere lui juste un ombre qui vient vous hanter, tel un fantôme reside dans un vieux manoir. Hannibal Lecter lui, residé votre âme aprés chacun de ses passage. Penetrant vos entrailles, les piettinant pour ensuite ne laisser quand vous horreur. Il vient creuser de noir votre memoire, petit à petit. Il vous ôte vos rêve les plus precieux leur arrachant la croute. Le vent venu de l'océan avait fircu, il soufflai rudement fort. Si des chandelles avait étaient allumés a cet instant même, la brise les aurait fouettées jusqu'à qu'elles se meurent en fondant. Le vent continuait de chanter dans les buissons, un air au hasard ou bien un cri fluté venu d'un lointain passé. Ce cri qui retentissait sans cesse dans ses cauchemars les plus terrifiant. Ce bruit qui commençait serieusement a agacer l'animal. Il marchait d'un pas lent et sourd, comme sonne la mort quand votre heure est venue. Tout en accompagnant le chant du vent, le chuintement du poumon artificiel ou pas de l'étalon, qui lui donne son souffle se faisiat lui aussi entendre. Tous ce la devenait vraiment stressant. Le mâle, de ses allures machiavelique continuait ne chanegant rien a sa posture. Il marchait. Il ne savait pas vraiment où cette demarche le menait mais il avança, sans reflechir. Déplaçant son imperial musculature.

La jument à la robe d'ébène marchait de son pas mal assuré. Ses deux grandes oreilles pivotantes de gauches à droite, d'en avant et en arrière sans arrêt. Tous ces bruits, plus inquiétant les uns que les autres. Et cet endroit pas très rassurant, aux allures sombre et inquiétante. Mais où la jument venait-elle d'attérir, d'un coup ? Et alors, elle entendit un martèlement sourd de sabots. Ce résonnement qui résonne à l'intérieur de vous, juste après une heure de silence total. La jument sursauta. Ce n'éait qu'une feuille morte, qui avait été prisonnière de la neige tout l'hiver, et qui enfin reprenait son chemin vers l'horizon. Alors elle soupira, se calmant un peu. Mais au loin, elle apercut cette silhouette. Ce cheval crasseux et sans ptié. Hannibal Lecter. Elle recula d'un pas, avat de s'imobiliser à nouveau. Peut-être lui donnerait=il le chemin pour un endroit moin sombre ?

Une aube affaiblie, bersé par les forets, la mélancolies des soleil couchants, la mélancolie bercé de chants de desespoir, fantomes vermeil defilent sans treve. Parmis ce paysages tenebreux une silhouette epousant parfaitement les lignes de l'horizons vint perturber ce silence infinit, ce silence angoissant, le vent s'était tue, Oui cette ombre était bien celle d'Hannibal Lecter comme l'avait remarquée la juemnt. D'un pas resonnant et stressant, Hannibal Lecter avançait le regard plongé dans l'obscurité de la melancolie hairante, encore. Sa queue dreadeuse fouettant sauvagement l'air, le faisant claquer tel un fouet que l'on agite indefiniment. Ses crins en bataille et delavés dansant avec le vent. La legere brise venant ecorcher sa robe grisatre zebrée de cicatrices et d'entailles, tachetée de sang. Le mâle venait de mener un sacré periples, marchant sans cesse pendant des jours. Quelques cadavres ornés le sol du moulin abandonné et Hannibal de sa machoire puissant et sa bouche sentant la charogne saisi un os, juste pour s'occuper, retrouver l'atmosphere de son passé hanté. Il le croqua, le cassa en deux puis le laissa retomber aussitôt. Il continua d'avançer sa cadence rythmant la tristesse qui reignait dans ce calme, plenitude. Juste un ronflement de naseaux feroce emit par la bête. Chance pour elle, completement hypnotisé par cet atmosphere morbide mais tellement reposante pour lui, Lecter n'avait pas encore vu la jument, ni même sentit sa presence, insupportable oui.

Elle se mit alors à reculer, gardant son encolure haute et arqué, pour mieux garder son regard fixement sur lui. Son souffle était court, elle avat tellement peur, maintenant. Oui, là, elle comprenait que cet étalon étiat vraiment un monstre. Regarder, comme preuve.. IL venait tout juste de prendre un os, et de le craquer en deux.. Quel autre cheval en aurait été capable, dites moi ? Aucun, du moin c'est ce qu'espérait la jument..

Aucun ? peut etre ... il n'en savait rien. Mais ce qui était sure c'est que dans ses veines coule un poison, qui a un nom, la haine, comme un serpent dans vos âme, la haine qui vous fait juge mais vous condamne. Oui, la haine qui brûle dans vos yeux une fois qu'elle vous pénetre, qui fait de vous un malheur. La haine, la haine, au nom du pere, au nom du fils, qui fait de vous le complice du mal. La haine, la haine, c'est le courage qui manque au lache. Vous n'êtes qu'un pantin entre ses mains. Vous en oubliez même le plaisir, le seul qui compte c'est de haïr. Regardez-vous, elle vous enchaine cette p*tain de haine qui vous prends. Comment peut on faire a son nom, tant de crimes et de victimes...La haine elle vient pondre dans son vos âme. Et cela faisait déjà un bon moment qu'elle sétait installé dans Hannibal Lecter, depuis même son plus jeune âge, elle avait toujours ronronner en lui. Le mâle continua de marcher. Pour le moment la jument d'habitude arrogante s'était faite discrete et s'était tant mieux...

La jument noir en reculant, vint alor buter un cadavre. Et brusquement, elle se retrouva sur le popotin. Assise, immobile, le souffle coupée. L'étalon si étrange la remarquerait-il ? Complètement immobile, seule son souffle rauque et court résonnait dans cet atmosphère lourd et sanguinaire. un atmosphère lourd de souffrance, qui mettait la jument dans un de ces états..

Un bruit, venant du l'est se fit entendre. Il vint penetrer dans les oreilles de l'animal et lui en chatouiller les tympants. Qui osait le derranger en pleine meditation ? Il sorta de toutes ses pensées noirs pour remettre pieds a terre. Il se stoppa, observant les alentours. Oui, c'est là-bas qu'il vit une silhouette, assez fine et a la robe sombre. Qui était-ce ? Il s'avança d'une marche macabre et lente vers l'ombre au loin. c'est quand il fut a quelques metres a peines qu'il put reconnaitre une oderu familiere, enfin presque, qu'il avait déjà rencontré.Il gronda violement, tel un chien enragé.

La jument émit alor un couinement de peur, avant de se relever brusquement, en reculant. Puis, elle s'arrêta, et baissa sa longues encolure noire, en signe de soimission. Oui, elle se soumettait à cet étalon sanguinaire, qui al'avait déjà presque tué à deux reprises. Mais étrangement, et heureusement, il l'avait épargnée.
Je.. je ne voulais pas vous déranger, cher Hannibal..
Puis, les oreilles ballantes, tous ses muscles crispé par cette peur imminente d'être ainsi face à face avec cet étalon, qui au moindre moment, pourrait la tuer..

Non le mâle ne lacha pas un mot. Aprés ces quelques paroles prononcé par la jument, le calme retentit. Seul le hurlement des loups et le hululement des chouettes se faisaient entendre. L'atmosphere devenait de plus en plus pesante mais cela ne derrangé en rien Lecter. Il foudroya la jument du regard, un regard noir comme a son habitude. Mais il ne s'arreta pas devant elle. Il continua de traçer sa route, de cette même demarche. Ce ne fut qu'un regard qui lui adressa rien d'autre, sauf un gricement de dents.

La jument soupira, tout ses muscles maintenant détendue. oui, comme si un tas de choses vous pesant sur le dos depuis quelques années venait, en quelques secondes, de dsisparaitre. Alors, Self' Deception soupira longuement, l'encolure toujours baissé, ses oreilles toujours ballantes. Puis, elle se remit à marcher, vers on ne sait où, à la recherche d'un endroit un peu plus.. joyeux..

Lui aussi continua sa route mais pour s'enffonçer toujours plus loin vers le moulin abandonné au allure horrifiante. Il resta tout de même mefiant vis à vis de la jument amsi ne lui adressa plus un regard.

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