ANOTHER DAY IN PARADISE
Libre

Non tu ne peux pas m'attendre
J'ai encore trop à apprendre
Oh non tu n'as même pas idée
Comme j'ai envi de rester

Non tu sais même les anges
Sont quelques fois un peu étrange
Ecoute-moi pour la dernière fois
Non je ne t'aime pas je t'adore

N'importe où dans le monde
Chaque seconde je pense à toi
N'importe où dans le monde
Je suis ton ombre où que tu sois

Non je ne peux pas rester
Mon rêve a un prix à payer
Oh non je ne peux m'en tenir
A te regarder souffrir

Non je ne suis pas si forte
Mais je vais franchir cette porte
Mais regarde-moi pour la dernière fois
Non je ne t'aime pas je t'adore

N'importe où dans le monde
Chaque seconde je pense à toi
N'importe où dans le monde
Je suis ton ombre où que tu sois

N'importe où dans le monde
Chaque seconde je pense à toi...
Je pense à toi...
N'importe où dans le monde
Je suis ton ombre où que tu sois

N'importe où dans le monde
Chaque seconde je pense à toi
N'importe où dans le monde
Je suis ton ombre où que tu sois




Mes jambes m'entrainant au grand galop toutes seules, sans que je ne fasse rien à par respirer doucement l'air frais de la plaine ; mes oreilles en revanches étais plaquées completement en arriere. Je sentais encore ce liquide couler entre mes jambes avec une odeur assez desagréable pour moi, apparament agréable pour les étalons. Je n'avait pas encore envie d'être mére, pas avec n'importe qui mais certains mâles malheureusement nous obligent.

Continuant ma course folle, je regarder aux alentours pour reperer la moindre forme équine. Mes crins se soulevaient à chaques fines brises de vent qui souffler dans cette " Ile des saillies ". Au loin je pouvait appercevoir un ruisseau dont l'eau étais crystaline, un spectacle magnifique en cette soirée. Le soleil n'allez pas tardé à se coucher, donnant encore plus de charme à cette île souvent banale.

[ Avec grand plaisir =) ]

C'est que la vie se riait de peu, c'est qu'elle creusait d'entre ses joues dégarnies un absolu incompris.
Ses poumons se secouaient de rires affables et s'excusaient de leur manque de délicatesse proéminent.
En fait cette vie ne s'excusait de rien, elle avait emplâtré ses règles dans ce si peu de monde.
Ainsi fût-il.


Fire survolait de son regard enclin la plaine vide. Une soirée fraiche et frêle, douce et humide. Et d'ici peu, cette place serait emplie détalons et juments, se cherchant mutuellement, s'esquissant et se frôlant.
Et d'ici peu arriveraient les jeunes proies indécises, ces belles juments aux couleurs havanes délattant sur un sobriquet coincé d'un éventail de couleur.
Bientôt tout ce petit monde se réunira au pied de la vie, et assurera sa descendance comme il en convient.
Doucement il se découla vers un ruisseau limpide et froid. de son pas leste il y plongea ses sabots ébènes, puis son museau velouté et chaud. Tout aussi sereinement il but de longues goulées, se laissant transpercer par ce liquide souple et gelé.
Pourtant sa tête au noble port se releva, ses yeux se fixèrent sur la forme qui s'avançait.
Ses naseaux décélèrent alors cette odeur sensuelle des chaleurs, mais aussi son contraire même: celle de la peur.
Et qui sait à quel point ces deux odeurs ne vont pas ensemble, à quel point il est horrible de voir des étalons saillir des juments qui ne se sentent prêtent à rien.
Alors il fouetta l'air de sa longue queue en panache gris, et s'avança de peu vers cette forme qui arrivait.

C'était precisement ce que je craignais, qu'on me force à avoir une descendance sans même connaitre le pére. Combien de juments avait déjà étais saillies par un étalon de grande lachetée qui disparait une fois l'acte fait. Je n'aimait pas vraiment cella, surement que ma grande mefiance venait de là.
14 années de ma vie étaient déjà passée et aucune descendances, beaucoup me disaient qu'il serait temps mais je ne voulait pas avor un poulain avec n'importe qui, avec un de ces lâches.


Une odeur vint faire fremir doucement mes naseaux doux et chaud, une odeur d'étalon surement. Malgré ma peur interieure je me remit progressivement au pas, balançant mon encolure de haut en bas au rythme de mes foulées lentes et souples.
Mes yeux ébènes parcourait toute l'île rapidement, je ne pouvait pas voir les details, je voyait seulement les ombres ; quelques chevaux étais déjà là, pas de quoi s'attarder dessus --'


En continuant un peu ma marche je réussie à appercevoir un étalon s'approcher de moi lentement, pas de risques à premieres vue. Je me stoppa, le fixant attentivement, decrivant ces moindres gestes, les moindres mouvements de son corps musclé. En signe de bienvenue je laissa échapper un leger henissement qui résonna pendant quelques instants dans la plaine.

" Bonjour mon cœur"
Et la douleur se déversa des derniers mœurs.


C'est que cette eau qui flattait ses membres était froide; c'est que cette soirée qui s'exécutait ne promettait rien de vraiment bon.
Pourtant la belle voix chantante de la jument lui fit redresser la tête. Il ronfla légèrement des naseaux et s'avança dans sa démarche svelte, puissante et à la fois fluide.
Son beau corps aux aspects grisonnants et pommelés se laissait couler vers cette silhouette fine et qui paraissait bien trop fragile au beau milieu de cette grande plaine.
Il ferma les yeux pour apaiser sa conscience, mais garda ce pas qui se rapprochait toujours et encore, puis les flux d'odeurs qui se perchaient le long de ses sinus, travaillaient vélocement et faisaient palpiter chacun de ses nerfs durs et froids.

Ses yeux oppressant se posèrent avec délicatesse sur les courbes équines et flatteuses de la jument. Il se posèrent sur elle avec une telle légèreté qu'il aurait été dur de ne pas le remarquer, puis doucement ses grandes prunelles d'un gris sombre bleuté se figeaient sur les formes et détails.
Exaltation du corps et découverte parfaite de l'harmonie de cette présence.
Il reposait un intérêt fascinant et très peu indiscret sur ses rencontres, ce qui lui valait un tempérament sage, calme et non pas dénué d'une certaine pulsion.
Et alors il se rapprocha toujours, la fixant avec cet intérêt qui fait que l'on n'est pas fixé dans un cas péjoratif.

Son pas altéré ralentit et se posa en arrêt à quelques peu de mètres de sa nouvelle interlocutrice.
Enfin il pouvait la définir sans pour autant s'en vanter, car oui, c'était une bien magnifique jument qui posait pied devant lui, pour ne pas dire resplendissante, immanquablement resplendissante.
Sa voix grave et profonde décupla ce silence et creva au mieux cette odeur de peur qui flottait dans les lieux.

- Il n'est pas bon de se promener si tard et si seule.

Un sourire doux courra sur ses lèvres.

- Permettez mon impolitesse, je suis Fire Light et il me ravirait de vous escorter.

Et rien dans ses paroles ne pouvait prononcer un intérêt tout à fait masculin de se promener avec une jument en chaleur; seulement un vif entrain de protection et de ne pas laisser une si belle créature se promener à sa seule présence.

[ Magnifique ce que tu écrit *__* ]

Au fur et a mesure des pas de l'étalon je peut le detailler encore un peu plus. D'apparance generale il a une allure souple et musclée. Son regard se remarquerais entre milles, il a quelque chose de special, je ne pourrait dire qu'elle est cette chose si étrange mais cella est vraiment magnifique tout comme le mâle dans toute sa personnes ; tout sa m'enlever un peu de mefiance envers lui mais je n'accordait pas ma confiance comme sa, il avait juste l'air gentil.

Le temps de decrire l'étalon dans les moindres details des courbes de son corps que le voilà à quelques metres de moi, il perçe le silence de sa voix chaude, de sa voix envoutante, de sa si belle voix. Je repond à son sourire par un sourire doux et confiant.

- C'est avec grand plaisir Fire Light, trés beau nom au passage. Mon nom est XFiles Giny.

Mon regard couleur ébène croisa le sien l'espace d'une dizaine de seconde puis sans vraiment hesiter un de mes sabots se souleva, puis l'autre ; j'avancer doucement vers lui jusqu'a ses cotés, un leger sourire au coin de mes levres douces ; je commanca à marcher dans un pas ni trop lent, ni trop rapide et souple. Je ne savait pas vraiment pourquoi mais cette créature pres de moi ne m'inspirer aucune peur, aucune crainte, je ne voyait pas en lui cette envie de lachetée, de reproduction. Ce magnifique étalon, je me souviendrait longtemps de lui aprés le moment avec lui que j'aller passé.

"C'est que vous aviez l'air un peu morte ce soir, simplement.
C'est que je ne voulais plus rien écouter en cette soirée, de peur de vous entrecouper,
et que votre âme si frêle et délicate, aurait de peu à se blesser sous le poids de mes paroles égarées."



Il releva doucement sa tête, gardant ce léger sourire suspendu à ses lèvres, comme une preuve du contentement qu'il recevait à la réponse de la jument.
Alors il laissa glisser ces belles paroles mielleuses et sûres entre ses oreilles prêtées à l'écoute.

- Je peux très allègrement vous retourner le compliment, c'est un style de nom que l'on entend plus alors que son entière contenance est magnifique.

Ses yeux ne s'empêchaient pas à couler sur ces magnifiques prunelles ébènes qu'arborait cette jument.
Et alors il glissa harmonieusement son pas dans un rythme pareil à celui de Giny, suivant adroitement sa démarche élégante, douce et parfaite.

Giny était une magnifique jument noire aux formes arc-boutées telles des des sculptures grecques et angéliques.
Elle resplendissait de ce coté légèrement dur de son physique, puissant, noble et d'une grâce sans précédant;
et pourtant, se conservait toute la fragilité inexplosible de cet être fervent.
Puis lui vint l'idée que cette jument aurait put prendre rencontre d'un autre étalon qui aurait tiré tout autre escient face à ce corps si pur.
Cette idée lui tira un vif mouvement de la queue et il se dériva sur des pensées plus souples.
De nouveau sa voix secoua le silence froid et splendide des sentiers.

- Puis-je sans toute indiscrétion demander ce que fait une si belle jument sur des terres aussi austères ?

Il gardait ce sourire tout en écoulant ses yeux sur elle.

[ Merci beaucoup =) Je commence à galerer pour trouver encore des differentes paroles qui vont bien avec le sujet^^ ]

Il aurait mangé père,
avec ses longs crocs blancs et dégarnis,
il l'aurait mangé cru et froid;
mais alors, nous ne l'aurions plus revu.



La soirée était d'une douceur sans précédents, allègrement il vint délatter son pas pour finalement s'arrêter. La belle voix épurée de Files fluctuait entre ses tympans, il ne put s'empêcher de sourire, d'un sourire sincère et fin.

- Il est vrai que je ne pensais pas faire meilleure rencontre en cette soirée.

Le vent froid creva son pelage grisonnant sans pour autant l'atteindre. Il restait de marbre, mais pourtant ses yeux se relatèrent de nouveau sur les formes exquises de Giny, s'en détachant noblement pour ne pas courroucer l'indiscrétion.
Il reprit un pas svelte et défait, ne cherchant plus qu'à avancer, toujours avec ce sourire retenu par les deux commissures de ses fines lèvres.

- Il est vrai que je n'aurait jamais pensé que l'on pouvait avoir la chance de rencontrer de si belles juments dans des lieux aussi dangereux. C'est un peu ici que se relate toute la beauté de votre présence, le simple fait que votre silhouette fragile et somptueuse se découse de cette place que j'ai pour habitude de très mal voir.

Sa voix grave laissait paraitre l'ombre nuancée de son expression calme et contentée, attentive et intéressée.
D'alors il effilocha son regard sombre d'entre les prunelles de la belle jument.

Le soleil ne reviendra pas, la nuit seras maîtresse
Vu que tu es partie cette nuit.