Eyzless. Pourquoi suis-je moi ?

Invité

Eyzless
« Dans la vie, mieux vaut rire que pleurer,
car tu auras peu d'occasion pour rire... »

∞ Âge :
Je ne suis pas précis, et je ne sais pas vraiment quel âge j'ai. Mais je pense que j'ai environs cinq ans.
∞ Sexe :
Voyons, je sais que je suis dans un sale état, mais tous de même !
∞ Lien sociaux sur LH ? :
Comment pourrais-je en avoir, je ne connais même pas ce monde ?!
∞ Race :
Normalement, j'aurais du être un célèbre cheval de course...
∞ Robe :
Regard bien, c'est moi le borgne dans l'histoire me semble-t-il !

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Histoire
Plic, ploc, fais le tintement de l’eau sur les toits d’acier. Clac, cloc, font les pas des hommes dans l’allé. Pataclope, pataclope, font les sabots ferré des beaux chevaux. Broum, bram, fait le tonnerre dehors. Brrr, brrr, fis-je en tremblent de froid et de peur dans mon box avec ma mère, mon pelage encore mouillé…

Je suis né en début de soirée. Le tonnerre avait surprit l’éleveur, et tous ses employé avaient du rentrer les beaux pur-sang paniqués. Tous se bruis avais blessé mes fines oreilles, et l’éleveur me réconforté avec des douces paroles et me conduisez vers les mamelles de ma mère. J’ouvrais lentement les paupières. La lumière artificielle des lampes me fit mal aux yeux, et je détournai le regard vers l’homme. Mais j’eu soudainement peur. D’un côté, je voyais, et de l’autre, ce fus le noir total. L’homme contemplât mes yeux un moment, puis se leva et partit, visiblement déçus. Je regardai ma mère. Elle fut légèrement surprise, mais elle me un grand sourire, et m’encouragea à boire du lait. Je m’exécutai, et finis lentement par sombrer dans un profond sommeil.

L’homme était revenu au petit matin avec un monsieur vêtu bizarrement. Ses objets auscultèrent tous mon corps, mais surtout mon œil droit. Puis, il partir et parlèrent devant mon box :

« Ce poulain est né borgne, et je ne peux rien faire monsieur.
- Mais vous savez combien ma couté cette saillie ? Les semences de sont père valent des millions, et vous m’annonçait que ce poulain ne courra jamais dans un champ de course ?
- Peut-être, mais les saillie d’un des fils de cet étalons faut cher aussi.
- Oui, mais les éleveurs ne regardent pas que le pedigree, ils regardent aussi les résultats sur le terrain !
- Je sais, mais je ne peux rien faire pour vous aidez. »

Les deux hommes parlèrent encore un peu, puis partir.

Deux ans passèrent tranquillement. Mon futur n’étant pas encore décidé, je passais mes journées au près. Un jour, un cavalier vint avec un harnachement. Docile, je me laissai faire. Doucement, il m’amena dans la carrière et monta sur mon dos. Le pas, le trot et galop se passèrent bien, dans la carrière. Après, il m’emmena sur le terrain de course. Les œillères furent mises sur ma bride. Au début, tous allé bien, mais dés que je sentis la pression sur la rêne pour tourner à droite, je paniquai, car je ne voyais pas au j’allais. Je me cabrai, m’agitant. Mon cavalier tomba à terre. Dans son mouvement, je faillis tomber moi aussi, je me réceptionnai sur le côté, évitant l’homme allonger par terre. Je m’approchai de lui quand plusieurs palefreniers arrivèrent et me virent partir en agitant leurs antérieurs.

Plusieurs jours passèrent, et je m’ennuyer fortement. Puis, je ne sais plus quand, un camion arriva. L’éleveur me fit monter dedans. A l’intérieur, une odeur de nauséabonde régnais, mais docilement, je montai, même si je trembler de tous mes membres. Le cavalier que j’avais fait tomber allé mieux, et c’est lui qui conduisait le van. Le voyage était long, mais il fessait plusieurs pauses pour que je récupère.

Au bout d’un moment, on s’arrêta. Il me fit descendre, et m’installa dans un petit enclos sans herbes et partis. Mais il revint trente minutes plus tard, ma longe dans sa main et m’emmena très loin, dans une belle clairière. Puis, il m’adressa ses mots :

« Je risque que de le regretter, mais je refus que tu finis dans une assiette. Je sais quand te libérant, je risque de te condamner à mort et que j’aurais plein d’ennuis, mais je pense que c’est mieux comme ça. »

Il déposa un baiser sur mon front, m’enleva mon licol. Son regard était triste et, brusquement, et me donna une claque sur la croupe en criant, et je m’enfuis.

Je galopai très loin. Mes flancs se creusèrent et mes côtés saillir sous ma peau fine. J’étais de plus en moins beau et affaiblie. Puis, un jour, j’arrivai ici. Mon seul œil valide était bleu. L’autre était d’un blanc crémeux, semblable à ceux des chevaux aveugles. Cet étrange regard fixa la plaine prudemment, puis, j’entrai dans ce territoire, entament ma renaissance.

Caractère
Je ne sais pas si j’arriverais à me d’écrire. Bon. Je suis gentil… ? Non, ça ne vas pas marcher de cette façon là ! Alors, bah déjà, je suis assez mystérieux. N’étant pas très bavard, il est difficile au autres de me cerner, de bien me connaitre. Mais sur une relation à l’ont terme, je suis près à faire des efforts, mais vraiment un petit peu… L’amour avec un grand A ne m’attire pas, tous comme je n’attire pas les juments. Après tous, je suis maigre comme un clou, vulgaire, de temps en temps, pas beau, et le romantisme… Bref, très peu pour moi ! Mais je ne comprends pas les gens qui ce lance des fleurs, du genre « Je suis le plus beau ! » Si je te fou la tête la première dans ton propre fumier, seras-tu aussi beau ? Suite au prochain épisode ! A vous les studios !

Physique
Alors là, je sens que je ne vais pas aimer cette partie…
Ma robe est alezane, mais plutôt d’un alezan foncé. Et physiquement parlent, je ne m’aime pas du tout ! Mon corps et certes musclé, mais mon voyage ma fatiguait, et je suis assez maigre maintenant. Mes côté sont voyante sous ma peau fine. Sinon, je ressemble assez à un pur-sang anglais. Maintenant, passons à mes yeux… Ses yeux en question, bah je ne les aime pas non plus. L’œil gauche est d’un bleu très claire, tandis que le droit est tous crémeux, sans pupille. Vous l’aurez deviné, je suis borgne. Ne me demandais pas pourquoi, je ne serais pas vous répondre. Bref, j’espère que vous ne vous attarderez pas sur cette partie de ma présentation, car c’est celle que j’aime le moins.

EN QUELQUES MOTS
Bah, euh... C'est assez comme mots ?

AIME
Aimer est si vague comme mot... Et puis, il y à temps de chose à aimer !

N'AIME PAS
Déjà, pour commençer, je ne m'aime pas. Sinon, je ne déteste que peu de chose dans ma vie.

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Code Règlement :
Ok By Pocket' !

Que penses-tu de LH ? :
Le forum m'a l'air pas mal, et je m'investirais plus.

Autre ? :
Non.

D'où connais-tu Life Horse ? ( membre ou autre ? ) :
Pub sur un forum dénommé Horse-Wild.[/list]