PARTIE HUMAINE

Low – Coldplay



Moi qu’on appelait avant : “Matthew Skyos”

« You see the world in black and white, no colors or light. You see no mean into your life, however, you try. »

∞ Age : 19 ans
∞ Date de naissance : 3 Février 1991
∞ Taille : 1m 82
∞ Poids : 74,2 Kg

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— Histoire :
Les nuits sont froides en hivers, froid qui vous mord dès que vous mettez ne serait-ce qu’un seul pied dehors, il glace le sang et glace les os… On a du mal à croire qu’on ne se trouve pas en Sibérie ou au Canada… Les flocons dehors tombent à flot, le vent souffle et il est froid, ces flocons volent dans tous les sens, désordre incroyable, désordre pourtant si beau. La nuit, les étoiles se confondent avec les flocons tombants, et pourtant c'est pour certains uns des plus beaux moments de leurs vies. Comme pour la mère de Matthew et son père. En ce 3 février, à 22h 11 exactement, leur fils est né.

C'était un gamin comme les autres après tout, les caractéristiques génétiques de ses parents, cheveux noirs de son père, yeux bleus de sa mère...Tout ça quoi... Des amis, une famille, une maison dans un village avec pas trop de monde, mille habitants, peut-être un peu plus, peut être un peu moins ? Ce n’est pas très important en fait… Un peu tout le monde se connaissait, tout le monde est assez ami dans ce village. Les gosses du village ne détestent personne et sont avec un peu tout le monde. En tout cas, le meilleur ami de Matthew et lui, était toujours ensemble, jamais l'un sans l'autre... C'était quand il était encore gamin, dans les genres des 7 ou 8 ans, lui et son ami s'amusait à faire les quatre cents coups ensemble. Rien de bien méchant bien sur, ce n’était pas des délinquants à cet âge là ! Tous les jours après l’école, ils flânaient dans les alentours des grands champs. Seuls tous les deux et s’amusaient comme de vrai gosses. Ils s’étaient effectivement très liés, c’est pour ça qu’on s’appelle meilleurs amis non ? Friends for the life, ils s’étaient jurés de rester meilleurs amis… Une enfance normale j’avais dit ? Ah… C’était sans compter le début d’une sorte de lente descente aux enfers. Eh oui mais ça n'a pas duré, son meilleur ami à déménager parce que son père avait trouvé du travail ailleurs...Dommage...
Il restait toujours ses parents.
Su coup… Sa mère était très gentille et attentionnée, mais plutôt du genre inquiète dès qu’il lui arrive un petit quelque chose. Son père était un homme plutôt fort, un peu étrange. Il semblait distant et proche à la fois, le genre de personne qui impose le respect… Matthew restait un peu seul pendant les mois suivant le départ de son meilleur ami…
Vers l'âge de 12 ans, l'état de sa mère se dégradait, car elle était déjà malade avant, mais ce n'était pas grand-chose, seulement, elle a été déclarée incurable, un genre de cancer ou de violente maladie aux remèdes inconnus, il ne sait plus... C’était en tout cas une sale maladie, elle la faisait tousser, fatiguer à chaque petit geste qu’elle faisait. On aurait qu’elle était faîte de verre tellement, elle semblait fragile… Son souffle devenait de plus en plus irrégulier, c’était très étrange comme maladie. Ce n’était pas héréditaire, enfin on espère tout du moins, mais c’était très violent comme maladie. Finalement, son état de santé se dégradait de plus en plus, elle passait ses journées à l'hôpital sous assistant respiratoire, de lourd traitement… On savait que c’était incurable, mais on essayait de prolonger sa durée de vie. C’était comme un coup de massue pour son fils, il était devenu de plus en plus renfermé à cause de ça. Cette situation occupait ses pensées jour et nuit, sans cesse… Et le 3 février, jour de son 13em anniversaire elle mourut...
Son père et Matthew passèrent alors plusieurs semaines tristes. C’est sûr qu’une mort comme celle-ci donnait un sacré coup de chute dans l’moral. Surtout pour un gosse de 13 ans. Il ne restait plus qu’un souvenir de sa mère : un de ses colliers, collier qu’il porte toujours, et qu’il ne voudrait perdre pour rien au monde. Son père lui en tout cas devenait vraiment bizarre. Cette mort semblait l’avoir touchée encore plus que son fils… Du coup, il ne faisait pratiquement rien de la journée, à part être assis devant la fenêtre et regarder au loin… Matthew du apprendre à se débrouiller seul car bien souvent son père ne faisait pas grand-chose, a par soupirer en regardant la fenêtre… Devenu un as de la cuisine, (à noter que ce n’était pas lui qui faisait le ménage tout de même !) il avait un peu l’impression d’être seul à la maison… Ah, comme cette situation était enviable comparer à ce qui allait se passer… Un an plus tard, son père tellement déprimé commençait à sombrer de manière lente dans la pire des choses : l’alcoolisme. Au début ce n’était pas grand-chose, il était juste un peu pompette, il racontait des histoires sans intérêts et d’autre chose de ce genre. À l’âge de ses 15 ans, en revanche son alcoolisme devenait bien sévère, Matthew s’en était aperçu bien vite, son père devenant agressif, il beuglait sans cesse contre lui pour un rien. Ce gosse lui tapait sur les nerfs parce qu’il n’avait plus les idées claires… Et puis arriva ce qu’il devait arriver, il se mit à le battre. Qu’est-ce que vous voulez qu’un jeune de 15 ans fasse contre un adulte comme ça ? Il hésita longtemps, mais bientôt la coupe était pleine, il gagna une cicatrice sur l’épaule gauche, et beaucoup de bleus. Une fois qu’il en avait marre, il fugua une nuit, mais maladroit comme il était et ne voyant pas grand-chose, il trébucha et se ramassa sur un énorme rocher pointu, résultat ? Fracture ouverte au bras droit… Découvert par un des habitants, il fut conduit d’urgence à l’hosto. Quelques semaines plus tard, quand il rentra chez lui, son père qui n’était pas toujours arrangé, lui colla un énorme claque en l’accusant d’être idiot. Approchant de ses 16 ans, il ne pu s’empêcher de réagir en lui rendant la pareil avec un coup de poing bien placé sur la joue. Bizarrement son père ne réagit pas. Ils se regardèrent longuement, un silence lourd et énormément pensant régnait. Ils ne se parlèrent plus jusqu’au soir. Le lendemain matin, des personnes retrouvèrent le corps de son père dans un champ, les veines ouvertes, il s’était suicidé. Matthew ne dit rien, ne pensa rien, ne ressentait rien. Son cœur s’était tellement endurci qu’il ne savait pas quoi penser. Finalement devenu orphelin par la force des choses, il se fit envoyer après ses 16 ans chez une de ses tantes. Il n’avait pas de grandes relations avec cette femme. Mais bon. Il n’avait plus le choix. Il poursuivait sa vie monotone et plate, une fois ses 18 ans venus, il se prit un appartement dans la ville où il étudiant et prit enfin plaisir à être seul dans sa vie. Pour réfléchir, penser, etc … Mais sa vie était en fait toujours aussi plate. Il s’en lassait, mais que pouvait-il bien faire hein ?
19 ans, il est en seconde année de fac, sa vie n’est pas plus palpitante qu’avant. Mais une nuit, Matt’ n’arrivait pas du tout à dormir, il se leva et alla au balcon de son appartement. Il leva la tête vers les étoiles, la lune. Et pour une des premières fois de sa vie depuis la mort de sa mère, il pleura. Pas à grosses larmes, mais plusieurs perles d’eau roulèrent sur ses joues. Mais il était silencieux malgré cela. Regardant toujours les étoiles. Il finit par parler une fois qu’il ne restait que des traces humides de la course des larmes salées sur ses joues :

« Si seulement, ma vie pouvait ne plus être la même. Si seulement, quelque chose, pouvait changer … Que puis-je faire ? Rien. Que pouvez vous faire ? Rien non plus. »

Soupirant, il retourna se coucher, fatiguer soudainement, il s’en évanouit presque, ce qui le surprit mais il se dit tant mieux, je pourrais dormir.
Qu’il était loin de se douter qu’à l’heure actuel, il était au milieu d’une plaine, dans un corps qu’il ne connait pas … Tu voulais changer de vie ? Tu vas être servit …


— Caractère :
En quelques mots : Arrogant, rebelle, tête de mûle, franc parleur, impulsif, ironique, sarcastique, irritable, loyal, intelligent, songeur, râleur, rancunier, chiant, rêveur, très sympa dans le fond.

Eh bien eh bien… Par quoi commencer ? Bon, autant commencer par dire qu’Huralis n’a rien ou très peu de traits de caractère sociable, c’est déjà ça. Cela peut donner une approche approximative de lui. Le stéréotype de l’associable. Mais en fait, c’est beaucoup, beaucoup, plus compliqué que ça. Plongé dans son esprit relève d’une prouesse d’analyse absolument incroyable. Percer le mystère de son caractère est très difficile. Tentons tout de même de le décrire au mieux.
Huralis, Un nom qui commence par une sonorité forte et finit sur une note plus douce et fluide mais qui reste encore sifflante sur la fin. On se heurte sur les premières lettres mais on laisse couler sur les dernières, avec un sifflement de serpent tout de même. C’est un peu comme quand on lui parle. Au départ, on se heurte à lui, violement. C’est comme un mur de marbre, un mur de pierre auquel il ne semble pas y avoir de fissure ou de brèches. Rien pour le déstabiliser, il semble inébranlable. Après, vous avez deux choix : percer ce mur à la dynamite, et prendre la menace sifflante de plein fouet. Ou bien trouver l’ultime petite fissure et y creuser avec les ongles pour ouvrir une brèche, et découvrir ce qui se cache derrière ce mur de marbre. Bien, une analyse détailler de chaque phase s’impose :
La première, se heurter au mur. C’est obligatoire. Huralis n’est pas un être qui s’ouvre aux autres. Il ne dit jamais rien à personne sur sa vie, personne à part lui ne connaît sa vie. Huralis est un cheval renfermé sur lui-même, communiquer n’est pas son truc. En tout cas pas avec les sentiments. On se heurte à un mur épais, et glacé. Mais attention, cherchez seulement à lui parler, et vous verrez. Vous verrez son côté d’ironique et sarcastique. Ah ça oui, un véritable maître en la matière ! Sarcasme, ironie et autres trucs de ce genre, c’est son domaine. Accompagné de rictus agaçant, son ton de voix amusé de vous et sarcastique en a énervé plus d’un. Accompagné de son relèvement de sourcil tout aussi agaçant. Huralis est du genre agaçant à lui-même. C’est bien vrai. Il se plaint souvent, pas de lui, pas de sa vie, mais de détails dont personne ne s’occupe. Il aime bien râler pour lui-même, pester contre des choses fictives souvent, ou tout simplement contre sa vie quand il est seul. C’est là que le mur révèle son unique brèche mais qui se referme immédiatement en présence d’un autre. Huralis est également doté d’une arrogance étonnante, un sacré culot comme dirait d’autre. Ce qu’il pense ? Il le dit. Ce qui l’emmerde ? Il le dit. Peu importe les conséquences, la franchise est une chose importante dans ses principes. Mais faut dire que son arrogance pourrait lui nuire. À vrai dire cela lui a souvent attiré des ennuis avec d’autres humains. À vrai dire, il y a une chose qu’il adore faire avec certaines personnes. Provoquer. Il provoque les gens qu’il n’aime pas, les énervent, les poussent à bouts pour qu’ils perdent tout leurs moyens, et les voir rager car ce ne sont en général que des grandes gueules. Une dernière critique cinglante et hop, il se volatilise, laissant ces gens se morfondre dans leur frustration. Il refoule souvent les autres qu’il trouve collant, ou casse-pattes, il leur gueule dessus, les assomment de sermons et de critique pour qu’ils se cassent. Ah ça oui, il n’est pas facile à vivre, d’autant plus que c’est un rebelle qui n’obéit à rien. Mais comme personne n’est là pour lui donner des ordres, c’est tant mieux ! Mais les règles, il déteste ça, non pas parce qu’il aimerait commander lui-même, non, mais parce qu’il veut juste vivre sa vie tranquillement, comme il l’entend. Il se fiche de ce que pense les autres, il faut ce qu’il veut, quand il veut, comme il veut. Et si vous êtes pas content, c’est le même prix. C’est cela, la première phase de la rencontre, se heurter au mur.
Seconde phase, au choix. Beaucoup seraient tentés d’attaquer à la dynamite ce rempart, mais ils n’ont eu droit qu’à un violent retour de flammes. Ne jamais, jamais, tenté de forcer un rempart à céder. Il peut vous retomber dessus, vous renvoyer vos propres flammes et vous faire bien plus mal que vous ne l’auriez jamais imaginé. C’est comme ça avec Hura. Il ne faut pas le provoquer. Il est facilement irritable, et surtout très impulsif. C’est facile à comprendre, vous allumez la mèche, la bombe retentit quelques secondes après, lui c’est pareil. Vous êtes la mise à feu si vous commencez à trop le titiller, à trop chercher la petite bête. Ce jeun ehomme est du genre bombe à retardement. Il voudra d’abord paraître froid, insensible à ce que vous dites, mais d’un seul coup il se jettera sur vous avec une force qui déborde de lui. Débordant de rage envers vous. Il s’attire beaucoup d’ennui à cause de son impulsivité… À vrai dire, cela se termine trop souvent en bagarre à son goût. Malgré lui, malgré son attitude m’en foutiste. Il ne peut s’empêcher de faire taire les imbéciles qui le cherchent. Laissez le tranquille, tout se passera « bien ». Énervez le, vous tomber nez a nez avec un mec plutôt grand et peu soucieux de savoir si ce qu’il va faire dans la seconde lui attirera des ennuis ou pas. Voilà encore un autre aspect de son caractère impulsif, il ne réfléchit pas quand il est énervé. Pourtant, il est très intelligent mais sous le flux de son arrogance et son impétuosité il perd le contrôle de lui-même et ne réfléchit plus à grand-chose. En ces cas-là, s’il veut vraiment être efficace et calme, il lui faut quelqu’un pour l’aider. Pour le diriger. Mais pas question pour lui de se laisser impressionner par les conséquences démesurées de ses actes. Entre insultes bazardées à tout bout de champ, engueulade, sermons, jurons, vous avez pas fini d’enrichir votre vocabulaire d’insultes avec Huralis… Mais remarquez que si vous l’avez cherché, vous l’aurez bien mérité. Huralis n’est pas un gars à prendre avec des baguettes loin de là…
Quand vous l’attaquez, ce cheval n’est pas du genre à se laisser faire, jusqu’au bout il se battra, jusqu’au bout il y mettra du sien pour vous faire bouffer la terre, jusqu’au bout. «Tant qu’j’suis pas mort, rien ne m’empêchera d’me relever. » Tel est sa devise, son libre arbitre, ne rien lâcher face à l’adversaire aussi c*n soit-il. Il n’est pas un lâche et malheur à vous si vous osez le traiter ainsi. SI vous êtes un cheval qui a dit cela, il devient une véritable furie. Ce n’est pas un lâche, aussi devrait-il se foutre qu’on l’appelle ainsi, mais non. Il fonce dans le tas, tête baissée. On dit que la furie d’un homme est terrible, celle d’Huralis est pire. Il est loyal en combat cela dit, pas de coup bas envers ceux qui sont réglos avec lui malgré le fait qu’ils l’ont énervé comme pas possible. Loyal mais sans pitié. Il ne retient pas ses coups, s’il a une leçon à vous donner, croyez-moi bien que vous allez la garder longtemps gravée dans votre mémoire. Pour Huralis, c’est œil pour œil et dent pour dent. Il est rancunier, il n’oublie jamais ce que chaque personne lui a fait. Comme il le dit si bien : « La vengeance est un plat qui s’mange froid. Fait gaffe à la mienne, elle peut être pire que glacée. » Vous l’aurez comprit, même si c’est une vengeance qui doit tomber trois ans après les faits, elle tombera. Alors un conseil, pour tenter d’apercevoir ce qu’il y a derrière ce mur, mieux vaut choisir l’option de trouver la fissure et d’y gratter jusqu'à l’ouverture, la dynamite n’aura que pour effet un violent retour de flamme.
Troisième et dernière façon de découvrir Huralis. Huralis le vrai, celui qu’il a toujours été au fond de lui-même, celui qui n’a jamais rien demandé a personne, celui qui aurait toujours voulut vivre là-bas, dans son monde avec ses anciens amis. Celui qui n’a jamais aimé le changement. On peut se demander comment faire pour découvrir cette facette de lui. Car, sachez-le, c’est la plus cachée de toute, la plus indécelable, la plus invisible a vos yeux. Oui, comment faire pour atteindre cet aspect de lui ? Ca voyez vous, c’est une excellente question… Personne n’a encore compris comment faire, personne n’a encore su comment s’y prendre pour élargir la fissure qui fera écrouler ce mur. Vous voulez un conseil ? La patience. Je ne m’y connais pas plus, Huralis est quelqu’un de très renfermé, comment voulez-vous qu’il vous dévoile sa partie la plus cachée ? Pourquoi le ferait-il ? Pour vous faire plaisir ? Certainement pas. Pour faire ami-ami ? Non plus. Les amis hein ? C’est quoi un ami ? Quelqu’un en qui vous croyez avoir confiance, et qui se résout finalement à contribuer à votre perte de liberté le jour où l’on doit se battre ? Ce n’est pas ça un ami … Huralis aimerait bien connaître le véritable sens de ce mot. La signification profonde et réelle, pas celle superficielle qui se brise dès lors qu’un ordre est donné. Le véritable ami qui mettrait sa vie en jeu pour vous, celui qui ne vous laisserait jamais tomber, jamais… Oh oui, Huralis aimerait connaître un véritable ami un jour. Au plus profond de lui, il aimerait tenter cette expérience. Mais sa trop grande méfiance et son sale caractère ont souvent fait fuir ces potentiels amis. Mais pensez à cela, celui qui sera vraiment capable d’être appelé « ami » par Huralis, sera un être qui sera dès lors de la première rencontre comment pense Huralis, comment il agit, et surtout comment il faut faire pour ouvrir la brèche. Celui-ci sera digne de se faire appeler « ami ». Alors, qu’est ce qui se passe quand on commence à voir un peu à travers le mur ? Cela vous intéresse ? Eh bien, on y voit d’abord une grande intelligence, et un grand calme intérieur. Pas extérieur non c’est sûr, mais on remarque qu’Huralis est un jeune homme intérieurement stable. On devine, certes, qu’il a souvent été bouleversé dans sa vie, mais qu’à présent, le calme est revenu en son intérieur. Cependant, il a beau être calme et stable intérieurement, il n’en est pas moins qu’il se pose beaucoup de questions. Sur lui, sur les autres, sur le monde, les humains, les chevaux, la vie… Il aime se demander pourquoi. Poser cette question. Un simple mot : Pourquoi ? Il est vrai qu’ainsi Huralis se met à flotter dans ses pensées. Le regard vide ou bien au contraire absorbé. Souvent ce sont les étoiles qui lui apportent des réponses, les étoiles, ses amies. Elles sont toujours là, présentes, elles veillent sur ce monde et dans le ciel, elles illuminent les nuits sombres et sinistres, elles sont toujours là pour lui. Et ce sont ces boules de gaz brûlantes et des billions de kilomètres qui lui permettent de trouver des réponses à ses questions. Il ne le sait pas pourquoi, mais les étoiles semblent avoir un pouvoir apaisant sur lui. Les chevaux ne sont pas réputés pour être des êtres nocturnes, mais Huralis adore la nuit. Il est moins chiant, plus calme, moins provocateur etc… La fraîcheur de la nuit, le crépuscule tombant, tout cela semble lui faire voir les choses sous un autre angle. Et puis, on découvre également Huralis sous un autre angle. Huralis le rêveur. Couché sous un arbre, adossé au tronc, vous le trouverez souvent ainsi. La tête levée, les yeux levés, le regard quelque part dans le ciel. Et il rêve à des choses diverses et variées, il imagine, il pense, il divague… C’est comme si un flottement se produisait en lui, il se sent bien ainsi. Comme si le bonheur vrai était revenu en lui. Voilà ce que l’on peut découvrir en Huralis. Mais ce n’est pas fini, passez le stade de simple connaissance pour vous retrouver à celui d’ami, et vous verrez, vous verrez… Il devient quelqu’un qui sourit, geste si avare mais si beau sur son visage. Il sourit, il rit, il plaisante, il fait l’imbécile, il retombe en enfance … Comme si sa jeunesse revenait au triple galop lui dire « Hé ! Tu te souviens comment c’était avant ? » Et où Huralis lui répond « Bien sur, c’était génial ... Et je ne l’ai pas oublié, la preuve ! » Voilà le véritable Huralis, voilà ce qui est toujours resté caché au fond de son être, Huralis, celui dont le cœur n’a jamais quitté son village de naissance, celui dont le cœur restera à jamais là-bas, là où il était heureux…


— Physique :
La définition du beau ténébreux peu très bien s’appliquer dans son cas … En effet, Matthew est premièrement pas mal grand. Il mesure exactement 1m 82, et ses épaules sont larges, même si le reste de sa carrure est qualifiable de normale. Il a des cheveux longs mi-longs et très éméchés, noirs, qui font superbement ressortir ses yeux bleu clair. Sa peau en revanche est plutôt blanche, les ombres lui accordent un teint de peau paradoxalement plus foncé que ce qu’elle est vraiment … Il faut se dire que Matt’ a un air souvent sérieux, froid, dur … Mais ce n’est pas toujours le cas, en effet, il peut très bien sourire ! Mais malheureusement, c’est plus souvent un sourire moqueur et ironique qui s’affiche, que quelque chose de vraiment sympathique. Son sourire franc et sincère est très rare, mais également très beau … Son visage est fin, et il est très facilement qualifiable de beau gosse. Faisant défaillir plus d’une de ces dames, il ne reste pas moins stoïque face à ses prétendantes. Son expression toujours un peu rude en décourage bien d’une … Si on revient sur sa carrure, Matt’ est bien musclé au niveau des bras. Un athlète sans exagération, il est tout de même bien fort dans ses bras. Voilà quelque chose qui lui procure un avantage lorsqu’il se déplace en combat (il pratique de nombreux art martiaux), vu qu’il prend beaucoup d’appui sur les bras pour faire par exemple des roues, des équilibres, des saltos pour les esquives. Si ses bras sont forts, ses jambes le sont moins mais plus robustes. En effet, c’est surtout de ses longues jambes que sa taille immense se reflète. Légères, elles lui permettent de courir rapidement, de faire des mouvements vifs et d’avoir également un excellent jeu de jambes. Il peut sauter de grandes hauteurs pour en retomber très souplement, ses articulations sont très faciles à utiliser et ont un bon cartilage. Ses jambes peuvent le soutenir pendant des heures dans une posture debout sans qu’il ne se fatigue. Son seul problème est qu’il est proche de la maigreur. Pourtant il mange a sa faim, on n’a jamais su l’origine de sa presque maigreur.

— Manie de langage : Il parle comme un québécois dans le sens où il incruste des mots en anglais dans ses phrases françaises.

— Chiffre favori : 42

— Goût culinaire : Il aime le sucré et l’épicé, déteste l’acide.

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PARTIE EQUINE

« Everything I know is wrong, everything I do it just comes undone »

∞ Nouveau Nom : Huralis ∞ Prononciation: U-ra-lisse ∞ Nouveau Âge : 7 ans ∞ Race & Robe : Selle Français croisé Espagnol - Baie ∞ Taille : 1m 82 ∞ Carrure : Musclée mais maigre

∞ Physique Détaillé :
Matthew, enfin pardon, Huralis, est premièrement un grand cheval. Ses gènes équins sont visiblement en compétition, il semblerait qu’il soit un mélange d’un Pur race Espagnol et d’un Selle Français. D’où la grande taille : le gène SF ressort énormément et le toise à 1m82 au garrot. Ce qui est drôle c’est que c’est exactement la même taille qu’il faisait étant humain. Mais en fait, en regardant bien, on voit qu’il a gardé beaucoup de traits de ressemblance avec son apparence bipède : donc tout d’abord la taille, grande, et aussi sa carrure. Musclée, comme il l’était, mais à la limite du maigre. Il a une bonne musculature, développée surtout au niveau de l’encolure, du poitrail, et de l’arrière-train, caractère de sa part de sang de P.R.E. Son dos est très légèrement creux, mais lui donne une jolie courbure gracieuse, reliant les deux parties les plus musclées de son corps. Sa colonne vertébrale est souple, mais sa cage thoracique ferme, ce qui limite sa souplesse latérale mais lui donne une bonne souplesse longitudinale. Ah, aussi, en parlant de cage thoracique, on la devine plutôt bien, comme la plupart de ses os. Ils sont solides et larges, ce qui fait qu’ils ressortent pas mal, mais lui donne de très bonnes articulations. Ses jambes, parlons en, elles sont à la fois fines et robustes. Ses articulations ressortent beaucoup, ce qui permet de les qualifiées d’adjectifs contraires. Ligaments solides et souples, comme la plupart de ses muscles, il est assez polyvalent physiquement dans le sens ou il peut aussi bien faire d’impressionnant sprint, que de longues distances d’endurance.
Côté robe et couleur, ses crins sont noirs, comme ses cheveux, éméchés, comme ses cheveux, mi-longs, comme –enfin bon vous avez compris quoi. Ses crins sont limites une greffe de son ancienne chevelure. Ils sont soyeux, brillants, divisés en de nombreuses mèches, mais très souvent emmêlés. Ah par contre, ses yeux ne sont pas du tout les mêmes. Envolés les superbes yeux bleu clair frisant le bleu acier … Place à des iris bruns sombres, mystérieux, envoûtants … Ensuite, sa robe, elle est d’abord baie, le poil court et brillant, un très joli baie clair, avec de superbes reflets cuivrés. Éclaircit par plusieurs balzanes blanches, ainsi qu’une liste sur son chanfrein long et large. Balzanes qui sont aussi bien blanches que noires, comme si un côté sombre et clair s’opposait.
Ah aussi, Il a une petite particularité bien à lui : il a très, très souvent les sourcils froncés. Quand il parle, quand il réfléchit, quand il mange, quand il marche… Bref, quasiment tout le temps. De ce fait il a toujours la marque de la « fronçure » des sourcils quand il ne les a pas froncés justement.


— Adore : Regarder les étoiles
— Aime : N’en faire qu’a sa tête, chaparder des trucs, s’entraîner, la neige, avoir raison, se reposer à l’ombre des arbres, espionner, provoquer, être arrogant, la pluie, braver les interdits, dire « Tseuh. »
— N'aime pas : Parler, son passé, les chieurs, le soleil, les règles, les gens stupides, les préjugés
— Déteste : Avoir tort
— Phobie : Thanatophobe (Peur de mourir)

— Phrases favorites :
• « Tseuh . »
• « Rien A Foutre. »
• « C’est ça, c’est ça ... »
• « Hm ... »

« When you try your best but you don’t succeed. When you get want you want, but not want you need. When you feel so tired but you can’t sleep… »

— Code Règlement : Ok by POK

— Que penses-tu de LH (à première vue :) ? Y’a pas beaucoup d’anciens humains T-T *Auto-kick* Non mais ça à l'air très sympa

— D'où connais-tu Life Horse ? Top Site I guess

— Autre ? : Il me reste juste l’histoire, je suis en train de la faire =)
Hm sinon on peut jouer le réveil de l'humain en cheval en rp ou il faut obligatoirement que se se soit déjà passé avant ?

Merci :P !
Ah d'accord pour la plaine, j'avais pas vu ^^
Bon je finis ce soir je pense, ou tout du moins j'avancerais =)

Edit : Physique fait, manque plus que l'histoire

Voilà, fiche finie =)

bienvenue. ton avatar me dit beaucoup quelque chose. Enfin, il faut dire que c'est une photo connue tout de même. Bon bref, faut attendre de pouvoir jouer mais j'epsère que tu t'amuseras sur le forum! (:

> Kyoko : Ah la photo est connue mais c'est la première fois que je l'utilise donc tu dois penser à quelqu'un d'autre ^^

> Black' : Merciii \o/

Bienvenue !
Belle fiche *.*