Les sourires diffèrent, s'exposent, s'opposent,
Pour finalement prendre la noiceur de l'âme
Du cruel personnage l'incarnant.
Pourquoi ce fier à un sourire,
Si c'est pour ensuite souffrir ?

Un soir d'automne, la saison où les feuilles jaunissent et finissent par tomber, lassent, sur le sol dur. En cette saison les jours raccourcissent, la fraîcheur revient à grand pas, s'intensifiant chaque jour. Pétrifiant au fil du temps les ramures des grands êtres, finissant par les rendrent mort, tombant, fatigués. Ce soir là portait un nouvel être, de corps comme d'esprit. Quelqu'un venu d'un monde parrallèle, ayant incarné par mégarde le corps d'un autre. Son âme était pure, blanche tel une colombe mais en elle ne sommeillait ni le bien ni le mal, le subtile mélange des deux. Comme si la douceur et le sadisme avait fusionner pour donner son être. Abordant une pelage pie baie, un port de tête charismatique tel un arabe, elle avait tout pour faire croire qu'en elle même s'infiltrait les rayons doux et chaud du soleil comme une fleur, grandissant à son rythme. Même son nom pourrait faire penser à sourire. Chelsea Smile, ce que peut cacher un sourire est toutefois quelques chose de variant selon les individdus. Evidemment, de personne en personne les sourires diffèrent, se ressemblent, s'exposent, s'opposent. A ni plus rien comprendre. Pourtant l'âme pur bienfaisante incarnée dans ce corps scultée avec tendresse ne faisant que repousser à tort les individdus se présentants, s'inclinants, restant à son chevet, tel des soldats croyant en leurs pincesse. Ce n'était qu'un leur, une princesse oubliée, enchevêtrée dans le passé innoubliable et immobilisée dans un monde sans scrupule. Ne tenter pas de comprendre ce qui se cache sous ses sourires, où la seule chose que vous pourrez retenir c'est le fait de souffrir.

Nikita Ariana Sweft alias Chelsea Smile se tenait en un lieu qu'elle avait pu voir des centaines de fois. Que ce soit dans un musée ou dans un livre, elle savait tout de ces prédécesseurs, des civilisations antérieures, bienfaitrice et tellement cruelles. Elle avait l'impresson d'être dans un rêve où dans un film tel que "la Citée Perdue".C'était une sensation exquise, étrange mais tout de même inquiétante d'avoir l'impression de tout connaître alors qu'en réalitée on ignore tout, ne serait que sa capacitée elle même, de sa force, de ce qu'elle pouvait faire. Les petites pierres roulaient sur son passage, accidentellement poussées vers l'inconnue par les sabots hésitant d'une jument paintabian. La seul chose dans tout ce décors hostile qui puisse être empli d'un minimum de couleurs. Bâtisse, pavés, tout était grisâtre, jusqu'aux feuillages ayant recouvert la citée, eux étaient d'un vert gris étrange. On les auraient cru sculté dans la pierre noire des bâtisses. Tout dans les vieux bouquin n'étaient que mensonges. Jamais elle n'aurait pu croire à ce point que les cités oubliées étaient des tombeaux, labyrinthe dont on ne sort vivant. Impossible pour la nouvelle jument de se reperer, elle n'avait même plus conscience de par l'endroit où elle s'était engouffré dans les dédales de ruelles. Contrairement à l'ombre noire d'un équidé se glissant silencieusement vers l'inconnu, la paintabian, elle faisait un véritable vacarme. Ses sabots sur les pavés froid comme le marbre faisaient résonner dans la ville engloutie leurs son de clochette. Sa simple respiration n'était pas silencieuse, peu habituée à son nouveaux corps, l'ancienne adolescente se retrouvait souvent à hésiter sur les marches à suivres. Toutefois, elle gardait la tête fière et haute. En quelques jours elle avait pu avoir une silhouette digne de ce nom, élégante et charismatique, malgrès les nombreux défault de sa marche peu cadencée.
Se lançant dans une exploration, la jument pie commença à pénétrer dans les demeures, observant avec admiration les formes joliement scultée. Alors qu'elle pénétrait dans une grande salle, elle eu la curieuse surprise mais non désagréable, surprise, d'y trouver un étalon noir pangaré. Une agréable liste blanche perçait la noiceur de sa robe. Toutefois, Chelsea Smile restait en retrait, son petit air supérieur, tempérament des plus neutre. Presque ignorant le nouveaux venu. Au fond d'elle même, elle se demandait si lui aussi était un ancien ado' ou tout simplement un équidé banal.

[Waa ton rp est magnifique <3]

Deux armées s'affrontent,
Passé et présent se lient à chaque instant,
Pour une lutte sans merci,
Entre deux opposant.
La nature triomphe t-elle toujours du mal ?

La végétation avait pris les ruines, tel une armée prennait avec le temps, la plus belle des forteresses. Des lianes s'étaient ficelées, entortillées et s'étaient finalement trouvée une place devant les portes inexistantes des bâtisses de pierre brute forgée. Elle s'installait tel un rideau de perle, cachant l'intérieur à l'extérieur et l'extérieur à l'intérieur. Tout ce que la Natue voulait, elle le prennait. Avançant chaque jours, grandissant son périmètre d'anxiétée à chaque instant se déroulant. Si l'on passait une vidéo en accélérer on pourrait constater que l'armée du présent tuait à petit feu son ennemi du passé, l'enfermant entre ses murailles de lianes et de fougères. Si cet endroit était bel et bien réel c'est que les hommes avait réellement séjourné ici. Mais puisqu'aucun explorateur ou chercheur ne arpentait les environs, ont pouvait vite en déduire que cette Citée avait été oubliée ou tout simplement, qu'elle n'avait jamais été découverte. Qu'elle n'eu jamais connue le succès d'être présente dans des bouquins dont les pages sont faîtes de végétation, tout comme l'ennemie que la nature était et qui s'enroulait autour du moindre recoint, décidée à n'épargner un seul coin de sa terrible invasion.
Le bruit de sabots s'étaient stoppés, laissant place à un inquiétant silence. De petites pierres rondes roulaient encore sur les pentes que produisait les pavés à certains endroits. Seul la respiration de deux être était audible. Cloîtrés dans une salle à teint gris, vestiges des civilisations antérieures. Pourvu de frise éttonement scultés que l'ont pouvait admirer. Cette pièce d'antan devait être magnifique à l'époque de sa construction, seulement, le temps à passé et ne reste plus d'elle que vestige et poussère, s'accumulant au fil des ans.

« Je dois admettre qu'un raffut pareil aurait put éloigner le plus paresseux des fainéants... »

Chelsea Smile abordant sa robe pigmentée, incarnée dans un corps aux formes si bien scultée, n'avais pas encore l'attitude idéale d'une jument. D'ailleurs ses caractéristiques d'humaines resteraient visiblement un bon nombre de temps avant de s'estomper, ce n'est que pour mieux revenir. La paintabien avait gardée son allure fière, la tête haute l'encolure relevée. Elle se tenait immobile, antérieurs serrés. Elle se serait cru impératrice du nouveaux monde si elle avait été seule avec sa bande d'amie, perdue en pleine amazonie. Mais ce temps avait disparu, la salle blanche de l'hôpital avait laissé place à l'Antiquitée. A présent elle n'était plus qu'une âme ne peine, perdue entre deux horizons, ne sachant sur quel droit chemins s'attacher. Un sourire en coin s'était incruster sur ses lèvres. Un sourire qui ne voulait rien dire à part "je sais !". A smile qui n'appartenait qu'à elle et totu comme ses yeux était indéchiffrable. Evidemment, elle aurait préférée avoir une atttiude plus silencieuse, aussi calme et réfléchie qu'un félin prêt à bondir sur sa proie. Mais Chelsea n'était pas si mécontente d'elle. Après tout, elle pouvait en toute sincéritée, étudier le comportement de ses compagnons les équidés qu'elle ne connaissait pas si bien que celà en réalitée mais elle ne laissait rien paraitre, décidée à faire preuve d'un bon sens pour le mensonge envers son passé. Mais c'était avec son ironie qui ne faisait rire qu'elle même qu'elel s'aventurait sur les fronts, baïonette sur l'épaule.

« Pour ma part j'ai plutôt l'impression d'être face à une statue de marbre, froide et silencieuse. »

[ ]

Les mensonges ne sont que des balsphèmes,
Permettant à ceux dont ils sont signés,
De s'instruire un lourd passé,
Mais également une fière identitée.
Ces mots troublants sont à l'égard des autres des paroles inutiles qui mériteraient de ne jamais être dîtes.

Parfois ont croit qu'un mensonge suffirait, qu'une attitude des plus neutres et des plus naturelles ne puisse laisser croire qu'en cet être réside une chose tellement étrange qu'on n'a pu lui donner un nom. Mais tout le monde sait bien que même le plus discret des mensonges finit par être découvert. C'est pour cette raison qu'on nous défend de mentir mais il y en a bien d'autre. Mais c'est surtout pour cette raison unique que Chelsea Smile tente de mentir, pour fuir ce que quelqu'un découvrira un jour. Le mensonge n'est pas qu'un secret ou que de simples paroles balançées à tout vas, c'est aussi un moyen rapide et subtile de faire souffrir les personnes qui s'y attendent le moins. Une joie tordue et extravagante, ce fait de voir les autres souffrir d'une chose qui n'est réelle. A s'en tordre de rire. Bien qu'une personne ne seras pas du même avis que vous.

Nikita n'était pas assez douée dans le domaine des chevaux pour définir la race exacte de l'étalon qui se tenait devant elle. En soit elle savait qu'elle aurait dû mieux écouter en cour de biologie ou lors de l'intervention exeptionelle d'un explorateur dans son lycée. Elle aurait pu prévoir à quoi elle s'attendrait en pleine nature. Mais croyez vous que toute personnes se retrouvent plongées dans un monde aussi fou ? Extrait de son véritable corps laissé à l'abandon on ne sait où. Celà vous en arracherez les coeur si par mégarde vous ne vous nommiez pas Nikita Ariana Sweft. EN l'occurenc cette dernière n'était pas si mécontente de sa trouvaille. Elle avait acquis un bien beaux corps plu s puissant que son anciennes envelloppe. Néanmoins il lui fallait repasser toute les étapes que franchirait un poulains poussé par son instinc. Hors Chelsea Smile elle, avait atteind le degrés de maturité dans son cerveaux et était moins apte qu'un nouveaux né à s'abituée à ce qu l'entourrait.

« Disons que je compte rester en vie. Quel bon vent vous amènes donc ici? »

Un sourire s'en suivit sur les lèvres sombres de l'étalon. La paintabian n'avait pas lâché le sien qui était d'un ton plus provocateur. C'était une habitude d'emmerder le peuple à sa manière, sauf que les humains réagissaient d'une tout autre manière. Sa première phrase la laissait un peu perplexe. De quoi pourrait on mourir si ce n'est de ne plus trouver la sortie de ce dédale de ruelles et de pavé sombre ? D'ailleurs même en étant silencieux, ce n'était certainement pas celà qui lui indiquerait le passage vers la libération. Un autre, une question. Plutôt courtoise dans son genre. Chelsea Smile quand à elle était courtoise et en même temps narcissique avec une touche de cruauté et d'humour à deux balles. N'imaginez même pas ce que celà donnerait.
Mais ne tarda pas à répondre au grand étalon sombre. Ses iris à même couleurs que le charbon scrutait le regard ambré de ce grand gaillard silencieux. Même en y forçant bien, on ne pourrait voir en elle que de sombre pupilles noir dilatée. Il ne faut pas chercher à comprendre, il n'y a aucune explication.

« Le vent qui vous pousse à découvrir l'inconnu et quel est celui qui vous mena jusqu'en un si sombre endroit ? »

L'avenir n'est pas forgé dans une pierre de marbre,
Son cours peu bsculé pour la moindre étincelle,
Atisant ses flammes au cours de ses discours,
Pour finalement prendre une autre voix et s'éteindre.
Le futur est un passé lointain, les fils n'en sont pas cousus.

On pourrait croire que l'avenir est forgé sur une pierre de marbre, signé d'une croix blanche, grand jours pour chaque naissance. D'Avenir inopportun et simplement extravagant s'en suivent. On pourraient croire que tout les fils de l'histoire sont déjà tirés, qu'à la fin réside toujours l'amour ou la mort. Mais certaine fois il n'en réside que le doute, la peur, la narcissie. Et puis certaines fois, ont à l'impression que le temps s'écoule à la vitesse du ralentit. On pourrait croire que le temps est infini, qu'il ne finira jamais. Lorsque l'on ne peu rien faire, ni entendre, ni voir, ni même parler. Lorsque l'on est enfermer à vie dans une salle blanche d'un hôpital où la seul chose qui nous retienne à la vie n'est autre qu'un cable d'alimentation. Lorsqu'un médecin le débranche, s'en est finit de vous comme de votre âme, elle s'envolle dans le lointain et résonne comme un écho jusqu'à disparaître des vies antérieures.

Chelsea Smile se demandait si un jours, quelqu'un aurait la mauvaise idée de débrancher le cable qui la retenait à la vie. Car bien qu'elle soit vivante dans ce monde, il n'en était pas moins qu'elle était au bord de la mort dans un autre. Comme Nikita avait pu l'entendre un bon nombre de fois, que ce soit par la parole ou simplement dans les écrit, la vie ne tiend qu'à un fil, il faut profiter de chaque jours comme si c'était le dernier. Hors Chelsea était loin d'être pessimiste e c'était bien pour celà qu'elle profitait de sa vie à petit feu. Mais ce n'était pas la seule raison. Ce n'était pas parce qu'elle était à deux doigts de mourir qu'elle ferait tout pour trouver le plus parfait des bohneurs. En réalité la seule chose qui préoccupait la jument pie, c'était de rester elle même, de ne pas changer, sauf ses allures saccadés et nonchalente dûe à son apprentissage difficile. Mais elle n'avait pas renoncer à se dire qu'un jours elle serait un véritable jument, tel que les autres. Bien qu'elle ressemble fortement à l'une d'entre elles.

« Le risque... peut-être bien la solitude. »

Alors comme ça monsieurs silence désirait rester en paix ? Oh mais bien au contraire de ce qu'il croyait, elle n'allait pas fuir à toute jambe pour le laisser seul au contact de la nature ! Bien au contraire. La paintabian était bien décider à rester en compagnie de l'étalon noir pangaré. D'ailleurs elle n'avait personne d'autre à embêter. Le mental d'une gamine dans le corps fanatique d'une adulte. Les mystères ne sont pas encore sur le point d'être résolus ! Elle inspectait chaque fait et geste du grand mâle, s'impregnant des gestes corporel d'un équidé banal, quoique celui-ci ne semblait pas figurer comme la banale monture d'un centre équestre, bien loin de là même. Mais contrairement à ce qu'elle pensait, l'étalon pangaré ne semblait pas la renié, il accompagna même sa phrase d'un clin d'oeil pour le lui prouver. La paintabian le regardais d'un drôle d'oeil. Comment pouvait-il être aussi incohérent qu'elle ? C'était tout bonnement impossible ! En effet, Chelsea avait du mal à trouver quelqu'un pour lui tenir tête. Mais en général elle se met plus à cran que celà, vociférant en éclatant de rire sur la personne destinée à souffrir. Ce ne fut pas le cas du mâle dont le nom lui était tout bonnement inconnu. Tenant compte de ces paroles, elle secoua élégement son encolure, faisant voler sa crinière blanche et brune des deux côtés de son encolure pour finir par revenir au même endroit qu'à son habitude. Son petit sourire provocateur n'avait pas changer de place et c'était même avec ses yeux fébriles qu'elle le narguait à présent.

« Je dois vous paraître agaçante, quoique votre avis m'importe guère, mais je n'ai aucune envie de m'éloigner pour laisser Mr. au nom inconnu tranquille. Vous en doutiez ? »

Les ombres se ressemblent,
Pourtant elle sont si différentes,
S'appropriant chaque être,
Pour réfléter au mieux ses défault.
Mais l'ombre fait partie du mensonge, se déformant à son grés si tel était son désir.

Qu'est ce que les qualités et les défault, si ce n'est des paroles balançées par le plus grand des hasard. Qui eu l'ignoble idée de joindre sensibilitée et amour en tant que qualitée tandis que la narcissie et le sadisme figurent en tant que défault ?! Tout celà est absurde, réellement. L'amour fait souffrir mais il ne fut jamais répertorié comme mal. Combien de personnes sont mortes pour leurs bien aimés ? Et c'est ainsi que l'ont traite cette raison ignoble de qualitée. J'aimerais remanier le monde à ma façon, pour faire comprendre que l'origine des choses ne tient qu'entre les fils de votre histoire. Si vous les emmélés, s'en est fini de vous. Je ne fut jamais douée pour le tricot, mais pour ma part, j'ai laissé les lignes tendues, ainsi je n'aurait jamais la craintes qu'elle s'emmêlent.

Chelsea Smile n'avait pas perdu son sourire ironique. Certes elle était une petie emmerdeuse mais là, elle ne jouait pas ce rôle. Elle était plutôt dans la peaux du fanatique personnage révant de gloire, s'impregnant des caractéristique propre à ses alliés, entrant dans leurs jeux, berçés par des illusions mensongèrent. Ce n'était qu'un jeux, un jeux enfantins. Toutes les cartes n'étaient pas encore dévoilées, et celà risquait d'être fort long pour qu'elles attérissent toutes le dos sur la table. Mais si les autres joueurs ni mettent pas leurs grains de sel, c'est certain, le jeu n'en finira jamais.

« Évidemment... La nuit est peu fréquentable par ici, j'imagine que vous le saviez déjà. Quoiqu'il en soit il est sage de rester en ces ruines le temps que le jour se réveil de nouveau. »

Le sourire ironique marqués sur les lèvres fines et sombre de la paintabian ne fit que s'agrandir. Monsieur au nom non dévoilé désirait lui prouver que la nuit serait fort longue et qu'elle serait pas la même occasion rythmée par les mésaventures si elle s'aventurait au dehors. Touchant ? A peine, en réalitée, Chelsea Smile avait son petit plan en tête, rêveuse d'emmerder le peuple. Et pour ce faire, il lui suffirais de déambuler bruyamment comme tout à l'heure dans les dédales de ruelles. La paintabian avait bien envie de découvrir les lieux au lieu de rester pétrifiée dans la froideur de la nuit, sur osn pied destral, dans cette pièce ornementale. Sérieusement, Chelsea aimait s'avancer au devant des problêmes et avoir des aventures innoubliables. La compagnie d'un félin ne lui serrait pas de refus. Un peu de sang pour marquer une nuit au saveurs d'Halloween ne serait pas de refus.
Les yeux sombre de la jument se posèrent dans ceux de l'étalon. Mystérieux et impossible à déchiffrer. La pie, s'amusait bien ce soir là, décidée à être accompagnée du grand étalon noir pangaré dans toute ses mésaventures. D'un pas décidée, elle s'engugea dans l''un des deux tunnels aboutissant à la forêt. Se retournant à la moitié de celui-ci elle lança un regard fébrile à l'étalon avant de répondre avec son ton provocateur.

« La sagesse ne m'a pas encore atteinte. A moins que vous désiriez servir d'ornement à cette salle, venez, j'imagine que vous avez autre choses à faire que vous tournez les pouces en attendant que le jour se lève. »

Lorsque les passages difficiles renaissent,
L'âme humaine réapparait,
Choquant les proches au passage,
De disgrâce et d'interlligence
Pour enfin trouver la plus simple des solutions.

Le froid s'installait silencieusement, tout comme la nuit s'élançait dans sa course infinie. A chaque respiration des deux êtres, de petites fumées opaques s'échappaient de leurs naseaux, prouvant que l'endroit où il se trouvait n'était pas des plus commode en therme de chaleurs. Il faiait même froid pour l'avouer. Néanmoins Chelsea Smile ne ressentait aucune température la dérangeant. Sans son envelloppe équine, elle aurait grellotter sur place. Mais grâce aux équins, elle pouvait résister à des températures auquels elle naurait jamais pensées.
L'étalon semblait la tenir en garde, les dangers semblait rôder partout ici. Mais ce n'était pas ce qui pourrait faire frissoner notre belle pie baie. En l'occurence, elle arpentait le tunnel considérablement large et voyait bien qu'une fois le labyrinthes de ruelles, se serait autour du labyrinthe de tunnels.

« Cul-de-sac si vous comptez continuer dans cette direction. Le second couloir débouche sur un autre, et ainsi de suite... tel un labyrinthe. Je vous laisse les rênes, ce sera un plaisir de voir comment vous vous débrouillez, aussi sure de vous que vous puissiez l'être... »

Un sourire ironique éffaca l'ancien provocateur. Ont dirait bien que l'étalon au silence absolu s'était renseigné, peu même avait-il déjà eu affaire à ces tunnels. Et pourtant, il ne se doutait pas que sous ses airs d'équidée normalement constituée, se cachait la conscience d'un humain, considérablement plus douée pour résoudre les énigmes. Ce ne serait qu'une partie de pêche pour Chelsea Smile, sachant se repérer et se sortir des plus lourd pétrains. Petit à petit, sa mine décontractée et ironique laissa place à une expression travaillée. Ce concentrant comme lorsqu'elle était en cours, une fois que son professeur l'avait rappellé à l'ordre.
Dans sa tête se déroulait bon nombre de calcul qu'un équidé n'aurait pu comprendre, s'apprenant lors du lycée. Une cétagorie qui n'existait pas chez les animaux, de même que l'école et les leçons d'apprentissage. Elle avait vite comprit qu'ici chacun sauvait sa peau avant de penser à l'autre. Mais Chelsea réagissait en tant qu'humaine.

« Vous ne pouvez pas savoir à quel point il est simple de sortir d'ici ! »

dit-elle une fois qu'elle eu reprit sa mine ironique. En effet, elle avait cesser ses calculs et avait reprit sa marche, plus rapide et plus silencieuse. Ce n'était pas encore parfait mais Niki' s'améliorait vite et considérablement bien. Elle s'était éà appropprier bon nombre de caractère propre aux équidés qu'elle pouvait retransmettre facilement à sa boîte crânienne pour les répéter. Elle avait déjà franhcit trois tunnels sans tomber dans un cul-de-sac. Pour l'instant son résonnement tenait la route. Elle profita de son intelligence pour tapper la causette à son camarade d'expédition.

« Mais dîtes moi, votre nom demeure un vrai mystère, c'est aussi une énigme à résoudre ou me donneriez vous un petit indice ? »

Le vestiges n'étaient pas sa plus grande passion.
La seule chose qu'elle aimait en ces lieux était le sombre morbide.
Seulement la mort résignait partout.
Chaque pas menait vers d'étrange catacombes,
Aus senteurs de la Mort.

Rien qu'à l'odeur, Chelsea Smile pouvait comprendre qu'elle ne se dirigeait pas vers une simple forêt. Cette odeur étrange que la plupart des personnes auraient trouver épugnante ; l'odeur de la mort, du vide, des vestiges. Tout ce dont la paintabian devait se passer. Mais la logique s'était vite imposée sur les calculs. Pourquoi quelqu'un aurait-il creusé un tunnel pour émerger en pleine nature ? Celà n'avaut aucun sens. C'était donc grâce à une logique, pourtant banale, qu'elle comprit qu'elle ne se dirigeait pas ver sle lieux convoités, mais vers les catacombes insolites d'une civilisation antiques dont il ne restait que d'affreux vestiges ornementaux. Elle s'arrêta d'un coup et lança un regard sévère vers son camarade d'exploration. Elle devinait sans peine, avec son ironie marquée sur le visage, qu'il la menait droit vers la total inverse de l'endroit désiré. Elle en était à présent consicente. Laissant au dépourvu sa mine renfrognée, elle reste figé, ayant remplaçée une statue sur osn piedestral et s'enteta à écouter les paroles qui ne lui servait aucunement à résoudre son énigme.

« Cela dépend surement de ce que vous en ferez... de cette identité... je ne suis qu'une simple apparition dans votre vie. »

Il ne croyait pas si bien dire, les apparitions n'existait pas dans la vie de Nikita Ariana Sweft, pourquoi existeraient-elle dans celui de Chelsea Smile ?! Elle émit son même sourire provocateur, lui prouvant sans un mot qu'il avait tord. Tord de ce qu'il venait de dire, mais aussi tord de la mener vers l'endroit dont elle connaissait à présent les origines. Ce n'était pas si simple de lui faire croire n'importe quoi. Elle aussi était forte à ce jeux là. En parlant de jeux, la jument pie baie avait pu remaquer que l'étalon se conduisait comme s'il figurait comme l'un des personnages principaux. En effet, de par sa phrase, on pouvait nettement constater qu'il n'avait pas rencontrer deux fois la même personne. Celà changerait vite avec elle.

« Je n'ai aucune intention de me mêler de votre identitée, encore moins de la partager. Croyez vous franchement que vous soyez digne que je transmette votre petite maniguance jusqu'au plus profond des âges ?! J'ai autre chose à faire que de jouer les portes paroles soyez en sûr ! »

Elle avait dit ces phrases avec un ton de vulgarité, lui à de la narcissie, le tout empieter d'un jolie sourire qui refletait son ironie. Chelsea Smile n'était pas du genre à foncer à bras ouvert vers le premier venu et celà, l'étalon noir pangaré semblait l'ignorer, à moins qu'il cherche à découvrir certaines choses. Maheureusement, ce ne serait certainement pas une partie de plaisir pour lui comme pour elle. Les deux équidés étaient bien décidés à gardés leurs "secret" au fond de leurs entrailles et de ne jamais les faire ressortirent. D'ailleurs, pour Chelsea c'était préférable. La haine et la rancoeur lui aurait ronger l'être. Elle n'aurait supporter son propre comportement, le lendemain de son anniversaire tout de même. Mais tout celà, elle tenait bien à le cacher. Rien au monde ne lui ferait dire qu'en réalitée elle n'est pas un équidé banal.
La paintabian rebroussa chemin et commença à faire le chemin en sens inverse. Un sourire agaçé sur les lèvres noircies. Elle ajouta dans sa marche rythmée résonnante.

« Je comprend que vous aimez égarez les personnes. Celà est aussi drôle que de les faire souffrir. VOus êtes néanmoins mal partit avec moi. Je préfère encore chercher la sortie de la Citée plutôt que de m'engloutir dans ces dédales de tunnels qui finissent sur d'horribles Catacombes, pas vous ? »

[Désolée mes rp empirent >.<]

Ces Catacombes mortelles,
Etaient-elles plus belles que la forêt aux milles danger ?
Etait-ce l'un des rares lieux des plus morbides ?
Pour le savoir, plus qu'une solution,
Suivre cet arrogant jusqu'aux portes de la Mort.

Mais qu'est ce que les catacombes en soit ?! Celà n'a rien d'attrayant pour un équidé banal. Mais au contraire, pour les deux êtres déambulant dans ces longs tunnels peu éclairés, ce lieux pouvait représenter une sorte de élivrance qu'il ne connaîtrais qu'une fois poignardé par la douleurs, que leurs corps s'immobilise et finisse en vulgaire cendres. Le temps n'était pas venu, mais une expédition nocturne en des lieux tels ravivait la flamme qui scintillait au fond de ses entrailles. L'étalon à qui elle tenait tête n'était pas n'importe qui, elle en avait conscience. Silencieux, imperturbable, même invulnérable. Chelsea Smile, elle, n'était pas réellement comme lui, bien qu'elle aurait souhaiter, avoir en plus de tout, un silence extrème et une ambition que personne ne pourrait perturber, faire s'échapper de la balance. Le mâle s'était arrêté mais avait négliger un mouvement de volte-face. Il n'avait pas l'intention de faire dmi-tour. La paintabian s'était elle aussi arrêtée et le regardait avec un petit sourire naïf. Certes elle n'avait rien à se reprocher, mais l'étalon tenait la première place dans le jeu, ce qui pouvait la perturber. Heureusement, Chelsea Smile n'avait aucun mérite à être première ou deuxième. Le résultat en serait de même. Elle se contenta de regarder avec insistance l'étalon qui ne voyait qu'une partie de ses faits et gestes.

« Certes vous êtes perspicace. Mais n'était-ce pas vous qui guidiez la marche?. »

Peu être, peu être pas. En réalitée en jaugeait plutôt son camarade. Bien qu'elle guidait, indirectement, la marche quelques minutes plus tôt, Chelsea Smile ne regrettait pas de la laisser au mâle qui serait sans doute un meilleurs guide qu'elle ne le fut. La jument pie avait comprie que l'étalon n'avait aucune envie de s'installer au abord de la Citée "extérieure". L'intérieur de cette dernière lui semblait plus appréciable, avec son odeur douce et fraîche de mort. Sans aucun doute, elle savait maintenant ce qui lui restait à faire. En attendant, elle écoutait pietrement, les dernière paroles de son congénère.

« Cherchez ce qui ne vous sera utile que demain. Pour ma part, je me joins à ceux qui ne sont plus. J'espère que mon périple sera plus palpitant que le vôtre. »

Sur ce, l'étalon noir pangaré détourna le regard pour s'enfoncer dans la profonde noirceur des tunnels. Ce dernier n'aurait aucun mal à comprendre que la femelle avait pris sa suite. Les claquements de ses sabots sur le sol dur et froid comme le marbe s'entendait à dix lieux à la ronde. Et cette dernière en était consicente. Elle ne pu percevoir qu'un silhouette noire s'enfonçant vers les profondeurs de la terre. Sans aucun doute, ni aucun mouvement de recul ou je ne sais quoi, elle s'élança derrière l'étalon, lui répondant par la même occasion.

« Espérons le ensemble alors ! »

[Merci. <3 c'est que, quand je suis fatiguée j'écris n'importe quoi. =/]

Plus que mortelle, les Catacombes étaient de loin,
La seule chose ayant parcourut les siècles sans être changé.
Pour preuve, ont pouvait nettement distinguer,
Les filament épais de poussières,
Asfictiante fumée des époques lointaines ...

Les Catacombes était en réalité un lieux bien plus morbide qu'aurait pu l'être la forêt jonchée de cadavre. En effet, cet endroit millénaire, avait gardé toute son existance et n'avait en aucun lieux changer. Les corps pourrissant depuis des siècles apportait en cet endroit une odeur nauséabonde, n'était pas des plus agréable à réspirée. Avec ceci, s'ajoutait de petit voluptes de fumée blanchâtre qui, s'envolant à chaque pas fait, ce mettait en route vers les naseaux des deux éuiqdés, tentant de les asphixier au passage sans pour autant réussir sa lourde tâche. Discrètement, Chelsea Smile n'avait pas quittée des yeux l'embouchure par laquelle ils étaient entrés, non pas inquiète, mais pour une fois, reliée à la lourde réalitée. S'il se perdait en ces lieux il ne faudrait pas que les épaule du fier étalon pour les sortir de ce pétrain, elle devrait y mettre elle aussi du siens, sans quoi, on la prendrais pour une sotte, incaoable d ece repérer. Sentiment dont elle n'avait pas l'envie particulière de partager avec un équidé aussi dévouer que Mister Inconnu. La honte, bien que ne la touchant pas, et l'incertitude n'était pas des sentiment aimés de quiconque et encore moins de la paintabian qui faisait tout pour se montrer des plus hautaine et des plus intelligentes. Il en restait toujours un certain doute à propos de ce lieux, empli de grisaille, de poussière et d'arachnide fort peu agréable à admirée. L'étalon qui se trouvait en sa compagnie, chose rare il faut le rappeller, avait l'air non pas inquiet mais plutôt douteux des évènements à venir. Sa phrase ne fit qu'augmentée la pression de la jument, bien qu'invisible aux yeux de tous.

« Si mon jugement est bon, il ne devrait y avoir aucun désagrément de ce côté ci. Cependant, quoique vous puissiez voir, ou n'importe où vous puissiez aller, méfiez vous.... »

Méfiante, c'était pourtant son attitude depuis quelques longues minutes déjà écoulées mais c'était une bonne chose ne soit que l'étalon le lui rappelle. Celà ne fit qu'accentuer ses regard vers le couloir qu'ils avaient quittés. Elle ne le quittait pas des yeux depuis qu'il avaient pénétrer les Catacombes tout comme l'étalon qu'elle surveillait de crainte qu'il ne disparaisse tout comme le couloir qui semblait l'appeller. Mais Chelsea Smile n'était pas une petite créture, elle n'était pas fébrile, inconsciente et délicate. C'était une battante, du moins c'était ce qu'elle voulait prouver et ne ce serait défiler pour rien au monde. Son sourire s'était changer en sourire d'espoir grâce à la première phrase de l'étalon. ' Aucun désagrément ' c'était ce qu'elle souhaitait bien qu'intèrieurement elle aurait bien voulu pencher pour un drame se produisant, approtant une touche de piment à cette soirée aux tournures hostiles et morbides.
Elle ne fit que provoquer avec humour l'étalon noir pangaré, sans vouloir l'embêter, juste pour le plaisir de dire quelques chose.

« Faisons confiance au guide ! »

La vie et la mort ne reposait que sur un jeu,
Un simple jeu enfantin rapportant à une sorte de torture.
Vous connaissez sans doute le jeu " cache-cache" ?
Rien qu'en l'utilisant en ces lieux,
Vous pourrez découvrir des choses que vous n'auriez jamais supposé.

Le jeux de cache-cache était l'un des jeux favoris de la jument pie. Il était simple de disparaître et de réaparaître soudain, éffrayant son adversaire où l'agaçant encore plus. Plus on cherche les personnes, plus on les trouve, où plus on découvre à quel point ils sont sensibles. Les secrets viennent d'eux même, il suffit juste d'avoir la passience et la persistance nécessaire. Néanmoins lorsque le chasseur se fait chasser, c'est une controverse qui s'installe et c'est dans un nouveaux jeu que l'on rentre. Incroyablement étrange et indigne. Un jeu auquel personne n'aurait penser mais ce serait ajouter sans resistance. Mais pour celà, cette personne était l'une des narcissique, sadique et puissante aussi bien mentalement que physiquement. Tout cet assemblement donné était bien rare, mais c'était l'une des grande qualitée des deux équidés se tenant ici.
Regardant trop en arrière, Chelsea Smile ne put avoir le temps de voir disparaître l'étalon sombre. Celui-ci s'était faufilé dans l'un des couloirs avoisinant, dans le plus grand des silence. La paintabian émit un bruit pareil au moteur des voitures, se demandant ce qu'avait en tête le grand gaillaird noir pangaré. S'il voulait l'éffrayé il était mal partit. Automatiquement, les oreilles de la jument se déplaçèrent vers l'arrière, faisant un bruit minime avec ses sabots pour écouter le moindre bruit s'infiltrant dans ses fines oreilles. Depuis qu'elle était entrée dans les dédales de couloirs des Catacombe, elle avait bandé ses muscles, prête à faire face à n'importe quoi. Elle ne pouvait se douter de rien. Elle n'avait jamais vraiment visiter de Catacombe, ne serait ce qu'une fois. Lorsqu'elle était humaine, pendant un voyage en Italie. Malheureusement, elle n'avait fait alors que suivre avec obsession le guide, préssée de sortir alors de cet endroit morbide. Hors là Chelsea Smile n'avait ni guide, ni corps d'humain. Elle n'était pas non plus dans des catacombes sécurisée et elle se tenait dans la plus parfaite des vigilances.

« Soit. »

Ce son, cette voix qu'elle avait déjà entendu. C'était celle d'un grand gamin voulant l'éffrayer. Mais au lieux de celà, Chelsea Smile envoya une parfaite ruade vers l'étalon. Evidemment, elle ne l'avait pas fait par pure volontée, par automatisme. Celà aurait pu être quelqu'un d'autre les ayant suivit après tout. Ses sabots noires et luisant frôlèrent le mâle qui devait être fière de sa farce. Il avait uen certaine chance, la paintabian n'était pas si lauvaise humeur et accomoda ce geste avec son typique sourire moqueur. Comme pour lui dire : Penses tu une seule seconde m'avoir éffrayer mon grand ? Les sabots noires retombèrent lourdement sur le sol froid et humide, soulevant un monticule de poussière jaunâtre et provoquant un bruit résonnant qui n'aurait pu échapper à personne se trouvant en ces lieux.
Grâce à l'intervention de son camarade équin, Chelsea Smile savait à présent qu'elle ne pouvait que sur son aide propre et que celle de l'étalon ne lui serait que d'un ultime secours, si vraiment elle était une petite écervellée. Malheureusement pour ce dernier, elle n'était pas le genre de fille à lâcher prise. Rancunnière certes, mais pas inconsciente. Ce fut avec ce même sourire provocateur qu'elle fit volte-face et se retourna vers le pangaré.

« Je croyais que vous m'aviez définitivement laissé la place de second dans la marche. Regrettez vous votre choix mon grand ? »

On aurait pu croire que toutes les horreurs du monde était alors à découvert.
Mais elle ne se doutait certainement pas,
Que la mort, la dcomposition, les fumée toxiques et toutes ces hostilitée,
Etait en réalitée la première phase vers le Mal lui même.
Continuer cette expédition, était-ce un bon choix ?

On voyait bien à ses attitudes que la provocation devenait un outils lassant aux yeux de l'étalon, qui, pouvait largement faire croire qu'il avait subit toute les horreurs du monde et que cette petite jument pie n'était qu'une banale parmi les autres, se permettant avec obscetion de tenter de le démasquer. Comprennant ce fait, que l'ont s'ennuie en sa compagnie, Chelsea Smile opta pour une nouvelle stratégie, bien que similaire. Mais elle même trouvait cette expédition nuptiale ennuyeuse, pas à en mourir bien sûr, mais dans ces environs. Aucun désagrement n'avait encore fait ravage en ces lieux, rien n'étaient arrivé. Ce qui laissait à penser à la paintabian qu'en réalité, à par l'odeur et les fumée jaunâtres, rien n'était réellement dangereux en ces lieux.
A son mouvement de défense, l'étalon avait pris une posture atypique, reculant en levant bien haut son encolure pour former un axe vertical. D'un côté Chelsea ne comprennait pas réellement sa réaction. Avait-il peur du petit coup de vent qu'aurait pu engendrer le geste de la jument pie ? Celle-ci n'y avait mi aucune force, juste une pression suffisante pour faire reculer, ce qui devait être, un ennemi.

« Croire est un peu vague ma chère. Soyez sur que ce vous croirez de sera pas toujours vérité. Vous continuez...? »

L'étalon s'était rapproché d'elle, il n'était alors, qu'épaule contre épaule. Alors, instinctivement, il recula d'un pas avant d'énnoncer de sa voix claire et présice les quelques mots précédent. Il ne manqua pas, une fois son petit remu-ménage fini, de frôler la paintabian. Un courant d'air chaud, le seul en ces lieux, qu'elle avait pu ressentir. Mais sa dernière phrase était suspecte. Insinuait-il qu'elle ne serait pas apte à continuer l'expédition ? La considérait-il comme une jument trop sensible et peureuse pour continuer le chemin vers les bas-fond. Si elle était réellement une peureuse née, une âme au coeur sensible, ce dernier aurait déjà lâché. Et si bien même qu'il n'aurait pas lâcher, si elle était cette petite souris éffrayée, elle ne se serait pas jettée d'elle même dans le gouffre de enfers. De plus, la pie se trouvait en compagnie de quelqu'un, bien qu'étranger, il restait toujours une âme équine sur qui elle pouvait se poser. N'est ce pas ? Comme à son habitude, le pangaré s'élança en avant, reprennant sa position de tête, enfin, le guide était revenu.
Nénamoins, Chelsea Smile était légèrement nerveuse du fait que l'étalon se croit tout permis ou presque. Sans que sa volonté en soit tel, elle pivota sur ses postérieur, levant haut son poitrail, pour frapper un mur avoisinant. Une erreur qu'elle n'aurait pas dû commettre. Bien que sur le coup il ne se passa rien, un bloc de pierre se décrocha pas là suite de la voute, entraînant un épais nuage de fumée jaune. Contournant le débris sur le sol et toussotant, elle se remit en marche derrière l'étalon pangaré, ignorant totalement que par son effet, la voute était fragilisée et qu'une seconde ribambelle de coup ne ferais que détruire les fondations élevées. Prennant cette fois ci un ton des plus neutres, de sa voix naturellement christalline sans son air moqueur, elle continua le dialogue, obstinément.

« Vous me croyez capable de faire demi-tour ? »