We are young, we are crazy [Vulcane]

Vulcane

Puisqu'on est jeunes et cons, puisqu'ils sont vieux et fous...

Encore un jour se lève. Les rayons d'un soleil éclatant dardaient mon dos et ma croupe. Sur mon pelage épais, habitué aux rigueurs de l'hiver venaient se poser cette chaleur insupportable. A quand remonte mon dernier passage en ces lieux maudits et désertés des équidés ? A bien longtemps je le crois. Oui... Je me souviens d'un musculeux étalon noir avec qui j'avais cherché de l'eau. Cela remonte à si loin. Comme si ce souvenir appartenait à une autre vie... De toute façon comme tous mes autres souvenirs il finira par rejoindre cet océan noir et tumultueux, inaccessible, dans lequel se trouvent quelque part, caché, mon passé.

Devant moi les seules choses venant troubler le paysage sont des dunes de sable jaune et éblouissant et quelques petits buissons rabougris, parvenus jusqu'ici on ne sait comment. Je baissais la tête, laissant mon museau effleurer l'un de ces maigres arbustes, mais rapidement me redressais, les naseaux dilatés pour humer l'air brulant. A la chaleur de ce souffle désertique et sec, se mêlait l'odeur encore lointaine d'un équidé. J'attendis quelques secondes, le temps de faire le point, de réfléchir, puis commençait à m'avancer. Gardant le pas, économisant mes forces, et tentant de caler dans un coin de mon esprit la soif qui commençait a me tenailler, venant bruler ma gorge, et chaque souffle de cet air chaud que je respirais venait attiser ce feu qui commençait a me bruler de l'intérieur.

[Wahou, heu bien écris pour toi. Désoler mais je ne ferais pas aussi bien que toi je crois, sans compter les fautes d'ortho que je fait ]

Vulcane étais nouvelle sur Life horse, elle étais ici depuis peut de temps et ne connaissait encore personne.
Elle prenais le temps de découvrir les différentes terres qu'au-frais Life horse.
Elle voulais apprendre à ce repérer dans ce vaste endroits qui serais à présent son nouveau territoire de vie.
Elle avançais, et avançais encore parfois plongée dans ses pensées ne se rendant pas compte de ce lieux ou elle se lançais.
La jeune jument sombre sortais de ses pensées en plein désert.
Elle se disait bien aussi que la température avais augmenter.
Mais il étais trop tard.
Vulcane devais l'avouée, elle étais complètement perdue.
Il fessait chaud, s'étaie sec et aride.
Sa gorge commençais doucement à s'asséchée.
Ses sabots s'enfonçait dans le sable et la vue se troublais à cause de la chaleur élevée.
Elle avais de drôle de visions.
Elle n'avais pas le choix il fallait avancer et sortir de là.
Elle n'étais pas habituer à ce genre d'endroit.
Le sable et la chaleur n'étais pas tellement son truc à elle.
Elle repris le pas rapide espérant trouver bientôt une autre terre.
Mais cela ne semblais guère venir.
Le temps s'écoulait et elle perdais au fur et à mesure ses forces.
Ses pattes ne la portais plus, ses visions se rapprochais et sa vue se troublais encore un peut plus.
Je ne parle même pas de la sécheresse de sa bouche et de son dos qui ne supportais plus guère cette chaleur.
Au loin soudainement de l'eau.
Oui de l'eau, elle voyais de l'eau.
Une oasis avec un palmier, quel bonheur.
Enfin un peut d'eau et d'ombre.
Vulcane s'y lança désespérément au galop et plongea dans cet eau qui semblais enfin la rafraichir.
Elle ferma les yeux et se rem-plissa la bouche.
Elle écarquilla les yeux, cela n'étais pas de l'eau mais seulement du sable au gout étrange et peut appétissant.
Elle toussa et cracha ce sable chaud.
Désespérée elle se roulas dans le sable et se fit recouvrir de grain jaunes.
Elle se redressa et huma l'aire qui lui indiquais non loin une présence d'équidé.
Elle étais à présent déjà protéger du soleil par le sable qui la recouvrais.

La pesante chaleur ne semble pas vouloir disparaître, et toujours plus dure, toujours plus sèche, elle n'interrompt a aucun moment sa tâche. J'avance plus lentement. Fatiguée, assoiffée. Mais ou donc est l'eau ? Je suivais distraitement l'odeur d'équidé, ne sachant pas vraiment ou j'allais. Alors que j'arrêtais mes pas, je vis l'équidé que j'avais sentie plus tôt. Mais contre toute logique l'animal galopait... Et se jeta dans le sable. Je la regardais faire, stupéfaite, et remplie d'incompréhension. Tout a coup l'inconnue se roula, et se releva. Je fronçais les sourcils, autant qu'un cheval puisse le faire. Quel était donc cet étrange comportement ?

J'hésitais quelques instants, puis la curiosité l'emporta sur cette douce frayeur qui nous prend face a l'inconnu. Je trottais lentement, m'arrêtant plusieurs mètres devant l'animal sombre que je saluais rapidement de la tête. Ma gorge sèche semblait me supplier de ne pas prononcer un mot, me supplier de ne pas ouvrir la bouche, ce qui l'exposerait alors là chaleur et au souffle de braise. J'avalais ma salive. Le cheval qui se tenait face a moi avait le poil recouvert de sable. Je penchais légèrement la tête de côté. Pourquoi c'est-elle roulée ? Elle doit avoir encore plus chaud maintenant avec ces grains brulants sur le dos. Je ne lui posais pas la question. Elle aussi semblait assoiffée. Le désert est bien le pire ennemi du cheval, et le peu d'expérience que je possède de cet endroit pourrait bien m'être fatal. A moi comme a cette inconnue qui elle aussi ne recherche plus qu'une chose, de l'eau.

A présent remplis de grains de sable elle pensait s'être trouver une bonne protection contre la chaleur et les effets du soleil.
Ce rouler dans ce sable lui avais aussi permis de se gratter le dos qui la démangeais à présent depuis des heures.
Malgré la soif qui lemparais elle se sentais bien à présent.
Elle se redressa et vue l'équidé en approche.
Elle la salua à son tour de la tête et lui fit un mince sourire.
Mais ses yeux s'écarquilla, sa tête pris une grimace étrange.
Finalement elle reculas de quelques pas pour ne pas gêner sa congénère et vigoureusement se secoua de toute sa force.
Le sable lui avais brûlé la peau à certains endroit.
Au début de sable chaud lui avais fait du bien et lui avais détendus les muscles mais quelques minutes de plus et cela étais pire que le soleil lui même.
Vulcane regardait sa congénère, elle commençais à manquer d'énergie.
L'eau lui manquais, son dos la brulais et l'envie de se gratter étais plus fort que tout.
Ces mini brûlures multiples la démangeait.
Elle versa une larme et observa cette goutte d'eau se faire aspirer par le sol.
Quand soudainement lui pris une étrange idée.
Cela étais des plus loufoques mais si sa pouvais aider et promettre la survie il étais sans doutes nécessaire de tenter l'acte.
Vulcane contre tout attends s'exprima ...

" Bonjour, je suis Vulcane et sûr ce territoire depuis peut de temps. Je suppose que tout comme moi tu cherche de l'eau ? Moi j'ai eu un mirage, mon étrange attitude tout à l'heure étais car je pensait plongée dans une oasis rafraichissante. Mais l'idée que j'ai est que l'on se fasse mutuellement pleurée et que tu profite de mes larmes comme liquide pour te désaltérée et moi je profiterais de tes larmes à toi ! "

Vulcane savait que tout cela étais une proposition des plus étranges mais leur survie étais en question.

Le soleil ne semblait pas près de nous laisser tranquilles, et ses rayons dardaient notre dos avec toujours autant de vigueur bien que les minutes qui semblent des heures continuent a passer. Cette horrible soif qui tenaille ma gorge accapare tout mon esprit, ne me laissant plus de répit. L'inconnue prit alors la paroles. Sa voix était calme mais ses paroles plus qu'étranges. Je l'écoutais attentivement mais outre le fait que son idée soit très étrange je ne compris pas l'intégralité du message. Qu'étais-ce donc qu'un mirage ? Et une "oasis" ? Je la regardais légèrement perplexe, mais j'avais dans l'ensemble compris ce qu'elle voulait dire. J'étais interloquée par cette étrange proposition qu'elle me faisait et lui en fit part.

- Je suis enchantée de vous rencontrer, bien que le lieu ne soit pas des meilleur pour se prêter a des rencontres. J'avoue n'avoir pas saisis toute la teneur de votre message, pardonnez moi mon manque de culture, quand à votre proposition, elle me laisse légèrement perplexe. J'avoue que je ne comprend pas quel motif pourrait me pousser à pleurer ? Même si l'idée de pleurer pour nous abreuver l'une l'autre n'est pas mauvaise, surtout que vous avez raison, une horrible soif me tenaille.

Je lui souris légèrement. Oui je sais, j'ai une bien étrange façon de parler, et qui est en contradiction avec mon manque de savoir. J'ignore pourquoi je parle de la sorte. C'est normal pour moi, mais les autres on tendance a trouver cela étrange. Mes souvenirs me jouent des tours, et peut-être cette façon de parler est-elle un reste de ma vie passée dont je n'ai pourtant pas de souvenirs ? A moins qu'un de mes géniteurs n'ait parlé ainsi ? Je l'ignore. Je ne sais d'où me viens cette façon de parler, mais c'est la mienne, et bien que ma réponse puisse sembler étrange j'espère que Vulcane la comprendras.

Vulcane restait attentive à cette épaisse congénère.
Elle mâchouilla dans le vide essayant tant bien que mal de saliver un un peut.
A l a fin du discours de sa congénère elle repris ...

" Je disait que j'avais eu un mirage, j'avais imaginer voir une chose qui n'existe pas et que ce mirage étais une oasis. Une oasis est comme une marre d'eau avec souvent un palmier tout prés pour l'ombre. Il y en a parfois dans le désert mais souvent nous ne fesont que les imaginés ! Pour ce qui est de pleurer je sait que cela est étrange mais c'est une des rare solutions que nous ayons. Autrement nous pouvons toujours nous fatiguer et essayer de transpirer pour profiter de notre transpiration comme liquide. Tout cela n'est pas très attirant mais comment survivre sans eau ? "

Vulcane avais été quelques peut suprise de la façon de parler de sa congénère. Mais cela ne l'avais pas nom plus choquée. Ils était tous et toutes différents, ils fallait accepter les différences des autres et ne pas les jugés.

J'inspirais profondément ce que je regrettais immédiatement, une horrible sensation de brulure venant me déchirer la gorge. Au même moment un souffle de vent fit voleter mes crins, et j'inspirais, rafraichissant légèrement ma gorge. Je regardais Vulcane. Lécher de la sueur est en effet peu ragoutant. Pleurer donc ? A choisir entre lécher de la sueur, mourir de soif, et boire des larmes... La dernière option est peut-être la meilleure. Je cherchais un instant le regard de la jument brune, elle a pris le temps de m'expliquer ce que je n'avais pas compris, il est rare de rencontrer des chevaux qui en prennent le temps. Je pense que rien que pour cela je peut faire un effort.

- D'accord, je comprends mieux. Quand à votre idée... Je ne pense que pas que nous ayons réellement le choix, et boire de la sueur n'est pas chose attirante. Mais il vas donc falloir réussir a pleurer... Connaissez vous des histoires tristes ?

Demandais-je avec un sourire. Oui, je ne pleure pas souvent, cela ne sert à rien, cela ne fait pas avancer les choses. C'est simplement inutile. J'espère donc que Vulcane à des idées pour pleurer... Sinon je peut toujours repenser a certains événements passés... Au comportement des autres chevaux avec moi... Rien que cela peut suffire. Bah, je trouverais bien une solution de toute façon.

Vulcane remarqua rapidement le mal être de sa congénère lorsqu'elle respiras.
Elle avais voulut prendre une respiration qui semblais finalement peut agréable.
La jument de robe foncée fit une grimace compatissante.
Elle se secouas énergiquement.
Vulcane réfléchissait aussi à ce qu'elle pourrait répondre à sa congénère.
Puis elle répliqua ...

" Et bien il faut faire travailler son imagination tout en restant réaliste.
Je vous propose de marcher un peut et à pas lent pour ne pas se déshydratée davantage, mais si on reste sûr place on vas cuire !
Pour ce qui est de l'histoire je pensait à la vie d'une jeune jument maman pour la première fois. Je les imagines mère et fille heureuse prés des hommes dans un ranch jusqu'à ce que la mère atteinte d'une grave maladie ne meurt et laisse seule sa pouliche.
A cause d'une cigarette mal éteinte le feu pris quelques jours aprés la mort de sa mère dans l'écurie.
Cette pouliche qui s'étaie fait une mère de substitution la vie périr et partir en flamme sous ses yeux.
Je continue ou ... ? "

J'écoutais l'histoire avec attention. Bon, je sais que j'ai un problème avec les sentiments, mais la, je n'éprouvais pratiquement rien, pourtant une pouliche qui vois mourir ses deux mères cela devrait m'attrister, mais je ne ressent que peu de peine pour elle... Peut-être parce qu'elle au moins elle connait la vérité... Je marchais doucement, et tout en écoutant l'histoire me forçait à penser à quelque chose d'autre de triste en même temps. Les deux cumulés réussiront bien à faire couler quelques larmes de ces yeux trop secs...

- Allez y continuez...

Je l'invitais ainsi gentiment à poursuivre, me concentrant sur ce récit, et sur autre chose... Ma quête de souvenirs, la quête de mon passé perdu. Ce noir total dans lequel j'avance lorsque je décide de plonger dans les tréfonds de ma mémoire... Cette obscurité et ce manque sommeil lors des nuits que je passe à réfléchir... Pourquoi n'ai-je pas le droit à sa ? Un peu de bonheur, quelques souvenirs ? Est-ce donc trop demandé ? Mon coeur n'aurait-il pas le même droit de battre que ceux des autres ? Pourquoi dois-je vivre sur un rythme désaccordé ? Ma souffrance et mon ignorance n'auront-elles jamais de fin ? Je m'efforce d'avancer mais tout me retiens, et rien ne me permet de véritablement progresser, car avancer dans le brouillard est inutile si l'on à jamais connu la route... Et le seul chemin que l'on empruntera celui du ravin...
Quelques secondes s'écoulèrent, et tout à coup une larme, perle salée qui me brula la peau, vint rouler au coin de mon œil noir. Je me tournais rapidement vers Vulcane, tandis que la souffrance de toutes mes nuits sans sommeil s'écoulait doucement le long de mes ganaches.

Vulcane avançais toujours à pas lent prés de sa congénère.
L'une étais fine et plutôt de petite taille tandis que l'autre étais épaisse et assez grande.
Les deux jument avançais l'une prés de l'autre pour plusieurs raisons.
Se tenir compagnie, s'entraider à trouver la sortie de ce lieux et pour se désaltérer. Mais aussi et éventuellement pour se porter secours en cas de besoins.
Et seules chacune de leur côtés elle aurait sans doutes plus de chance de mourir et de se faire prendre par ses étranges mirages.
Vulcane qui réfléchissait à une éventuelle suite à l'histoire de cette pouliche malheureuse redressa soudainement la tête en comprenant que sa congénère la regardais.
Car la jument épaisse venais de détournée la tête en sa direction et plutôt d'un geste rapide.
Vulcane observa la jument et sans plus attendre ni sans prévenir elle poussa sûr ses antérieures et se souleva de quelques centimètre pour atteindre les fines larmes de la jument.
Cela étais étrange, un gout salé mais peut importe cela fessait du bien à son corps.
Elle eu un mince sourire et lança un ...

" Merci, je continue mon histoire et ensuite on trouveras un moyen pour que vous puissiez profitez cette fois de mes larmes ! "

Vulcane donna quelques petits coups de langues à ses lèvres pour les dé-séchées.
Puis elle repris son histoire ...

" La jeune pouliche pris au piège de l'incendie due subir les hennissements de ses congénères entrains de succomber.
Elle trouvas finalement une brèche dans son boxe pour se faufiler et s'évader.
Mais seule elle n'avais que peut de chance de survie.
Une quinzaine de jours de solitude pour elle s'écoula.
La santé en mauvais état, le moral qui n'étais plus et ses côtes apparente fessait comprendre qu'elle n'avais rien manger ou presque depuis ses quinze jours.
Elle étais trop jeune pour savoir quoi manger et comment se nourrir.
Mais elle eu la chance de trouver un petit troupeau de chevaux libre qui la prie en charge comme si elle étais des leurs.
Mais malheureusement pour elle le mal dominant qui étais porteur d'une grave maladie contagieuse et qui avais saillie toutes les juments de son petit troupeaux les avait par conséquent contaminés.
Un mois de bonheur avec ce troupeau, un moi pendant le temps ou jour après jour une victime de ce virus était compter.
Ainsi le groupe disparut et seule elle se retrouvas à nouveau.
Elle avais cette réelle impression d'être une porte poisse.
La pouliche avais tout de même repris du poids et récupérée une meilleure santé.
Les beaux jours arrivait et elle fit la découverte d'une plage. Elle n'hésitât pas à se baigner attirer par l'eau mais pourtant elle n'avais jamais appris à nager et les vagues parfois plus hautes qu'elle étais dangereuse.
Elle manqua de se noyer sans parvenir à retrouver le sol de sable.
Mais pire encore, elle se fit entrainer vers le fond de l'eau par un grand requin blanc.
A la surface on pus apercevoir l'eau prendre une étrange couleur rougeâtre.
Une courte et triste vie de pouliche."

J'écoutais à peine cette histoire. Trop préoccupée par mes propres souvenirs pour me soucier de ce qu'on me racontait au sujet de cette pouliche. Oui, certes, cette histoire était tragique, mais après tout, ce n'était qu'une histoire. Moi ce n'est pas une histoire, c'est ma vie, ma vie triste et inutile. Non je ne suis pas morte, mais est-ce que me sort vaut beaucoup mieux que la mort ? Pas de souvenirs, et une fâcheuse tendance à oublier les choses que j'apprends ? Non, cela ne mérite pas de pleurer, mais c'est tout de même tragique... Pourquoi le destin m'as t-il ainsi laissé pour compte ? Pourquoi la chance ne m'effleure t-elle pas de ses ailes soyeuses ? Je lançais un regard à la jument qui buvait. Des larmes... Cela désaltérait-il ? J'en doute... J'inspirais doucement.

- Finissez de boire, je trouverais de l'eau ailleurs, je ne puis supporter l'idée de devoir rester encore ici sous ce soleil. Je boirais plus tard, quand je trouverais de l'eau. En plus tu vas te re-déshydrater en pleurant.

Lui déclarais-je doucement. La laissant finir. Je trouverais bien à boire plus loin... Je survivrais bien le temps de trouver un autre endroit ou boire...

Vulcane stoppa sa parlote et sourit à sa congénaire. Lorsque soudainement un mal de tête étrange apparut. Une migraine intense qui la paralysait sûr place. Son regard devenais flou. Vulcane se sentais étrange, et à la fois elle avait cette impression de ne plus rien ressentir. Son cœur se mettais à battre la chamade et ce soleil qui cognait toujours. Cela ressemblais bien à une insolation. Vulcane essaya de parler mais rien de réellement compréhensible se fit comprendre. Elle observa la jument qui lui fessait face mais elle ne la voyais presque plus. Ses pattes ne la portais plus. Doucement elle se couchas sûr le sol.

Je suivis la jument du regard. Une vague de peur m'envahit. Que lui arrivait-il ? Mon cerveau me cria que quelque chose allait mal, mais quoi ? Et tout à coup la jument se coucha, son regard semblait trouble. Quel était donc ce sentiment qui me traversait ? Pourquoi autant avais-je aussi peur ? Elle c'est juste couchée... Mais en plein soleil de la sorte, ce n'est pas normal. J'effleurais son épaule du bout du museau. Je soufflais doucement, la jument était si chaude, sa ce n'était pas normal. J'inspirais précautionneusement mais aucune odeur de maladie n'émanait d'elle.

- Vous allez bien ?

Demandais-je d'une voix hésitante, presque tremblante. Je ne comprenais pas cette sensation qui me parcourait, cette peur qui me hérissait le poil et me donnait froid dans la chaleur du désert, je ne comprenais pas ce qui arrivais à la jument. Pourquoi ? Est-ce la mon destin ? Regarder les éléments agir sans pouvoir rien faire car j'ignore quoi faire ? Est-ce la mon destin de la regarder ainsi si mal sans pouvoir l'aider ? [/b]

Vulcane se secoua la tête et tenta de s'efforcer de trouver ses dernières forces.
Elle observa sa congénaire et ne tarda pas à s'exprimer ...

" Reste pas là, c'est une insolation, vas tant, c'est trop tard pour mi mais sauve ta peau. Je ne te vois même plus ! "

Vulcane étais essoufflée d'avoir parler si peut mais déjà beaucoup de trop pour les forces qui lui réstait.
Elle étais épuiser, sa lourde tête se posa sûr le sable chaud. La jument fermas les yeux mais respirait encore et plutôt bruyamment.

J'étais là, immobile, inutile. Non, je ne peut pas la laisser là. Je dois rester avec elle. Je ne sais d'où me viens ce soudain sentiment mais je ne veux pas l'abandonner. J'irais chercher de l'ombre plus tard. Je baissais mon museau jusqu'à Vulcane.

- Ne dit pas de bêtises, je ne vais pas te laisser là !
Lui dis-je gentiment. Quelle idée saugrenue, jamais je ne me le pardonnerais de l'avoir abandonnée ici.

[Coucou, pardon pour tout ce temps sans réponse de ma part. Bon tu savait que je ne voulais plus de mon perso de toute façon mais c'est pas une raison. Le problème est que j'ai eu une panne informatique. Vas lire au tchat, sujet " Quelle galère !". Voilas, autrement, tu veux le finir ce topic ou il s'arrête la ? De toute manière je n'ai pas encore de signature pour mon futur personnage. Je suis coincée !]

[Nan, tans pis, on va arrêter le topic ici =) Mais je veux un topic avec le nouveau personnage dès que tu le joue =D]

[Pas de soucis. Je vais faire une signature toute simple moi même mais je vais me faire ça ce weekend le temps de trouver une image qui me plait !]

» Vulcane [F] [terminé]
» Young Moon
» Forever Young . Private .
» Crazy
» » Crazy Temptation

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