Self' [Priorité à Lost Dream]

La jument souria alors doucement. Hannibal Lecter, voilà donc son nom.. À son tour, elle vint éffleurer ce silence don rire bien doux. Et puis elle s'étira de tout son long, avant de se relever lentement. Cette position de coucher était un tentinet incomfortable pour elle, comme pour tout les chevaux. Bref, elle s'approcha un peu l'étalon, et cette fois-ci, elle ne se posta pas en face de lui. Non, elle vint se mettre à côté de lui, à une distance tout de même raisonable. Puis, elle secoua d'un bref mouvement son encolure, avant de venir souffler un peu d'air chaud sur l'étalon, attendant de voir sa réaction. Après tout, il était le premier cheval qu'elle avait rencontré, sur ces terres.

Là, Hannibal Lecter commençait à avoir du mal a cerner la jument à la robe d'ébène. Lorsque celle ci vint se poster a ses cotés, restant tout de même a une distance assez raisonnable, le mâle serra encore plus fort ses oreilles contre sa nuque, ses dents decouvertent entierement et grinçant. Sa queue continuait de fouetter l'air, venant parfois fouetter les flancs de la jument, mais avec legereté, sans grand mal. Il ne se doutait vraiment plus de ce que souhétait la jument du nom de Self Deception. Il la regarda du coin de l'oeil, gardant la tête droite et haute.

La jument noire resta alors immobile elle aussi, mais pas tendu et haineux et comme Hannibal. Non, elle, était complètement détendue, la oreilles balantes, le yeux mi-ouvert, mi-clos. Elle restait calme, et douce. Alors à nouveau, elle bailla. Puis, elle éffleura l'étalon crasseux de son regard si doux..

Le mâle frappa avec violence le sol humide de l'île. cette jument commençait serieusement à l'agacer. Il s'ecarta d'elle puis parta plus loin. Peut etre si il ignorait arreterait elle ? c'est ce qu'il decida de faire. Hannibal Lecter partat plus loin, poussé par le doux vent qui se levait enfin. Un vent hivernale mais pas trop froid. Il était assez loin de la jument a present. Restant toujorus muet il fit mine de l'ignorer.

La jument soupira longuement. Puis, elle baissa sa longue encolure noir vers le sol humide, avant de souffler un peu d'air chaud, qui produisit alors un nuage grisâtre. ET elle fermit les yeux. ici, elle avait la légère impression que personne ne l'acceptait. ET même qu'Hannibal Lecter semblait la détester profondémment. Mais.. pourquoi ?

Pourquoi ? Tout simplement car il la detestait, oui elle et tout les autres. Ce n'est pas compliqué pourtant, Hannibal Lecter haissait tous le monde, il ne connaissait pas le verbe "aimer" a savoir même si il avait encore un coeur qui battait en lui, peut etre était il tout simplement une machine que l'on branche seulement pour detruire, pour tuer, pour detester. Peut etre que justement, l'experience qu'il avait subit jadis, cette experience qui l'avait completement trasnformé,a jamais, était la suivante, faire de lui une machine, lui arracher le coeur pour n'en mettre qu'un artificiel et recuperer le sien pour ensuite la faire cuire ou bien l'implanter chez d'autre. Personne ne le savait vraiment, seul les hommes. Alors Lecter ignorait si un coeur battait encore a lui, mais qu'importe. Maintenant il était devenu ce fou furieu de psychopate et il le resterait. Oui, car seul ELLE avait reussit de peu a l'assagir mais ELLE n'était plus là now. Le mâle continua d'ignorer la jument a la robe d'ébene.Peut etre cela aller finir par l'agasser, marrant ...

En effet, la jument d'ébène avai plaqué les oreilles sur sa nuque. Elle regardait autour d'elle, se demandant où était passé l'étalon, et ce qu'il faisait. Étrangement, peut-être que sa compagnie l'apaisait un peu. Elle se mit à tourner sur elle-même, avant de dre d'une voix peu rassuré, mais toujours aussi douce et tendre.
Hannibal ? Hannibal Lecter, où êtes-vous ?
Puis, elle s'imobilisa, regardant à nouveau autour d'elle, d'un regard mal assuré. Le fait d'être seule ainsi, en pleine nuit et de savoir que cet étalon, pas très rassurant est caché, on ne sait où, rendait la jument d'ébène un peu nerveuse.

Pas trés rassurant, c'est vrai car il peu à tous moments, si une envie soudaine lui prends, vous sautez dessus et vous briser la nuque pour vous livrer directement a lucifer...MOUAHAHA. Il entendit, comme bruit de fond, la voix de la jument qui prononçait son nom. Que voulait elle encore. Seul chose de positif c'est qu'elle vouvoyer, une bonne chose car Lecter avait horeur du tutoiement. Il était caché entre une multitude d'arbres, et a tous cela venait se meler une epaisse brume. On y voyait pas a plus de 5 metres, tous cela devenait de plus en plus insuietant, terrifiant. Mais tellement agreable pour Hannibal Lecter.

Maintenant, la peur laissait place à la rage. La jument allait bientôt péter un plomb.
Non mais bon sang, vous pourriez quand même me répondre, non !
Elle frappa rageusement le sol de son antérieur, avant de se coucher sur le sol humide et plutôt mouillé, totalement épuisé. Elle s'allongea de tout son long, avant de pousser un long soupire. Puis, elle dit à nouvau de sa voix, douce à nouveau.
Maintenant, jouez seul..

Jouer ? mais Lecter n'avait aucune envie de jouer, non, juste de bouffer. Ses babines étaient dejà perlaient de sang, de son sang car il avait la facheuse manie de sans cesse se faire sauter les croutes et les manger x]. Son reagrd se changea tout a coup en un regard de psychopate ne cherchant qu'ne prois a ce mettre sous la dents. De plus, la jument était d'auatant plus vulnerable, car elle était seule et a ce moment là allongé, beaucoup plus accessible. Il fit legerement claquer ses dents et secoua avec violence son encolure. Il s'avança doucement vers la jument. Il ne fit aucun bruit, coupant presque sa respirtaion. Ce n'était plus que son âme de cannibal, psychopate qui le commandait à present.La jument ne pouvait guere le voir car la brume était encore bien presente. CHUUUUUT.

La jument releva doucement son encolure, souriant si doucement. Un coeur d'ange pour un corps démoniaque. Sa robe d'ébène ne représentait pas bien ce qu'elle était, au fond. Alors, elle souffla des naseaux produisant une légère brume qui se mêlait avec l'autre. Elle sentait une présence, préssentiment bien étrange, et pourtant, elle n'entendait rien, et ne voyait rien. Alors elle reposa sa tête sur le sol humide. Et elle laissa entendre un long soupire, avant de fermer doucement ses grands yeux noirs.

C'est alors que l'étalon surgit tout a coup, comme sortant de nul part, d'un trou noir. Il se precipita pour poser le sabot de son anterieur sur la gorge de la jument qui avait sa tête posée au sol. Il positionna son sabot a la corne tranchante de sorte a ce que quand la jument bougerait de trop, elle s'ettouferait. Il appuya assez fort pout ne pas glisser. La corne rentrant legerement dans la fine peau de la gorge de la jument. Il approcha sa bouche poisseuse, pleine de bave de l'oreille de la jument, une oreille fine et noirs comme les tenebres. Il murmura quelques mots qui vinrent aussitot s'evaporer dans l'air glacial. Ces mots il les lacha d'une voix gore, mesquine et terrifiante pour certain.
"On me cherchait ? "

La jument avait peine à respirer. Son souffle était bruyant, et entrecoupée. Mais très étrangement, elle restait calme. Des situations comme celle-ci, elle en aait connu plus d'une. Que ce soit avec des humains, ou d'autres chevaux. Et elle avait apprit que garder son calme réussissait mieux que la peur. Elle fixait intensémment l'étalon, de son regard toujours si étonnamment doux. Une douceur si étrange, si vraie.. Malgré cette intense douleur qu'elle éprouvait, elle souria doucement. Comme pour confirmer ce que l'étalon venait de murmurer froidement à son oreille. Oui, elle le cherchait. Mais plus maintenant, car là, elle le voyait, et même très bien. Elle déterminait sans avoir de faire le moindre geste les traits agressif de cet étalon canibal.

Alors qu'il était sur le point de lui penetrer la gorge de son sabot a la corne tranchante, la hantant de son regard des plus morbide. D'appétissantes odeurs vinrent se meler a cette atmosphere si funeste. Des odeur tellement envoutantes qu'elle vous en piquent les cavités nasales. Et ces odeurs là, l'étalon les connaissait bien, oui a son plus grand malheur c'était encore ces chaleur qui venait le chatouiller et l'enerver fortement. Sa queuer ecommença a venir siffler dans l'air, fouettant le vent, dansant avec lui. Il agitta sa machoire avec violence comme pour combattre ces dernieres. Puis, laissant une legere entaille dans la gorge de la jument, mais par chance pour elle sans lui perforer l'artere, il sorta son sabot pour reculer, s'éffaçer dasn l'épaisse brume. Il ne vit plus la jument et docn elle non plus ne pouvait pas le voir. hannibal resta tout de même trés attentif, oreilles grandes ouverte pour capter le moindre bruit, mais plaquées en arriere. Il piettinna avec nervosité le sol. Seul son ronflement bruyant de naseaux se fit entendre, venant dechira ce silence qui paraissait infini.

La jument, elle, resta cloitré au sol. Ce sol si humide et démoralisant. Le souffle s'apaisant peu à peu, elle finit par lever légèrement son encolure, pour ensuite se coucher en vache. Et là, elle brisa ce silence à l'allure infini, de sa voix si douce, si mystérieusement douce..
Vous n'êtes donc pas si méchant, Hannibal. Peu importe ce qu'ils vous ont fait vivre, sachez que vous n'êtes pas le seul. Vous n'étiez pas seul.. Maintenant que vous êtes ici, vous avez le choix, oui, le choix de changer..
Puis, elle se tut. Laissant résonner ces douces paroles dans l'esprit sanguinaire de l'étalon que l'ont appelait Hannibal Lecter. Cet étalon si méchant, si.. Et pourtant, la jument ne le redoutait pas.. Enfin oui, mais.. Il faut avouer que lorsqu'il la fixait, son sabots enfoncées cruellement dans sa gorge, prêt à la tuer, des frissons de peur, et de haine avaient traversé son esprit. mais là, lorsqu'il l'avait laissé vivre, même si elle ne connaissait pas la raison exacte..

Seulement la jument n'avait en rien besoin de se meler de cela, qui était elle pour sa ? rien, absolument rien !. Il ne voulait pas changer, oui, vous avez bien compris jamais il ne changerait. Et il ne se lamentait pas de son passé lui, il en était fier, et fier d'etre devenu ce qu'il est maintenant. Oui, cette arène dans laquel il avait longtemps combattu, l'automne, les pistes jonchée de feuilles mortes était maintenant gravée en bonne place dans sa memoire, une source de plaisir innepuisable qu'il pouvait atteindre en moins d'un seconde. Revoir cette ambiance sanguinaire et même grâce à sa memoire visuelle hors du commun, il trouvait à chaque fois de nouveaux détails dans la scene, si chere à ses yeux. Tous cela lui manquait même. Seulement il arriva a surmonter pour une des rares fois ces infâmes odeur et vint se rapprocher, dans l'épaisse brumes, de la jument jusqu'à l'apercevoir. Il lma regarda droit dans les yeux d'un regard emplie de haine. Oui, la jument venait de sacrement l'enerver. Hannibal bondit et vint choper l'oreille noir de la jument entre ses dents tranchantes. Il serra fort jusqu'à un filet de sang coule dans sa gorge. Puis il tira pour faire lever la jument, et mieux vallait pour elle qu'elle se leve si elle ne voulait aps que son oreille se detache car Lecter lui n'était pas prés de lacher. Il regretta de ne pas avoir saisi sa chance tout a lm'heure, là où il aurait put l'ettoufer, la tuer. Il tira, il tira. Reculant en même temps, le sang se deversant de plus en plus sur sa langue, ses papilles gustatives en folie, de son bon gout de sang. Ses naseaux fumant et son sang noirci bouillaunant dans ses veines. L'excitation de la mort venait peu à peu le dominer.

La jument noir avait un visage crispé par cette douleur. Quyelques larmes ruisselaient sur son visage d'ébène. La cruauté. Hannibal ressemblait à un humain, selon elle.. Une bête étrange que l'ont déteste.. Alors, d'un mouvements si brusque, elle se releva, et fonca à la fois lourdement et bêtement dans le corps crasseux de l'étalon. La gueule ouverte, la lèvre supérieur retroussé, lui aussi, l'énervait..

Alors qu'elle parte tant qu'il en était encore tant, si il l'enervait. Car là, la bête au pelage grisatre taché de crasse n'était pas a l'apogée de son excitation, de sa nervosité, le mal ne l'avait encore que térs peu envahi. Un humain ? Alors qu'on le compare a un humain était une drole de chose car d'habitude c'était plutôt a un monstre, oui ou tout autres de chose. mais bon cela ne le preoccupa guere. Lorsque la jument se leva brusquement Lecter se retrouva oubligé de lacher prise et fut legerement desequilibré en arriere. Il encaissa avec violence le coup de la jument qui venait de foncer sur lui. Il ne s'y attendait point, trop imprudent a cet instant là, et glissa legerement sur le coté mais se rattrapa en forçant sur ses membres posterieurs. Il repris vite appuie sur ses quatres colonne d'os qui lui servaient de membres et revint face a la jument. Il la regarda fixement, voulait elle se battre ? Oh oui se serait avec plaisir que Lecter menerait le combat qui pourrait se reveler sanguinaire et terrifiant. Il piettinna avec nervosité le sol, laissant la boue venir eclabouser ses flancs. la brume continuer de s'abattre sur eux. Il était prés a lui bondir dessus ou bien encaisser une eventuelle attaque de la part de la jument.

Avec un bon bain,vous seriez peut-être mignon..
Et oui, elle ne pouvait s'empêcher d'ouvrir sa grande gueule lorsqu'il ne le fallait pas. Lui dire qu'il pouvait être mignon, là, alors qu'il était prêt à la tuer ? Il n'y avait que Self' pour avoir une idée aussi ridicule.. Bref, elle s'avanca à son tour, venant coller son chanfrein d'ébène au siens, grisâtre. Puis, elle souffla calmement un peu d'air chaud sur ses naseaux bien sombre. Les oreilles toujours plaqué, elle fouetta légèrement l'air de sa queue bien fournie. Et elle tapota le sol bien humide et froid, de son sabot lourd mais petit. Une brise froide parcourait maintenant cette vaste île. Cette île qu'on surnommait l'île des célibatire. Oui, ces deux chevaux étaient célibataire, mais je ne pense point qu'ils finissent un jour en couple.. Cette brise glaciale parcourait dangereusement le corps des deux chevaux, seuls sur cette île dans cette nuit noir.. Leurs seuls accompagnateur n'étaient que ces miliers d'étoiles, et cette grande lune ronde..

Qu'il serait beau....Certainement pas. Son crosp était bouffé de l'interieur et parsemé de cicatrices des plus horrible à l'exterieur. Oui, peut etre il aurait était, peut etre. Mais ce n'ets point ce que Lecter voulait. Non, il ne voulait surement pas devenir comme ces minables de pur-sang arabe, se preoccupant toujorus de leur beau derriere, pathetique. Hannibal Lecter ne deviendrais jamais, oui oh grand jamais, comme eux. Pourquoi ne l'avait il pas tué, desuite, tant qu'il pouvait ! Il le regretta fortement. Elle devenait de plus en plus agaçante et Lecter ne cessait de la detester de plus belle. Celibataire....Quel mot bidon. Car cela était tellement evident, genre un jour Lecter connaitrait le sens du mot "aimer" jamais car celui ci lui donnait des boutons. L'oreille de la jument saignait encore, et cette simple vue de sang le rendait de plus en plus enervé. Lorsque la jument vint poser son chanfrein contre le sien il en profita pour lui balançer un violent coup de tête. Puis en suivant il se cabra, ne lui laissant aucun temps de reaction, et vint de ses anterieurs lui boxa de toute sa puissance la machoire, on put entendre un crac. Il retomba ensuite lourdement sur le sol le faisant legerement trembler sous leur pieds. Puis il recula d'un pas, face a elle toujours, ne la quittant pas du regard. Non mais OH, pour qui se prenait elle celle là, oser approcher Hannibal de si prés et même pas pour combattre. Qu'elle petite pretencieuse. Et il en avait horreur.

Lorsqu'il vint battre des antérieurs sur la mâchoire délicate de la jument, celle-ci recula, et bercé par cette affroce douleur, s'éffondra brusquement au sol. Les yeux fermé, elle laissait le sang venir s'échouer sur ce sol humide. Les yeux parfois mi-clos, parfois complètement fermé. Elle n'était que mi-consciente. Elle, la petite jument aux cicatrices inexpliqué, elle cette jument qui venait de l'autre bout du monde.. ET luis, cet étalon sanguinaire et sans pitié. Alors, elle essaya de se relever, posant son antérieur élancé sur le sol. Mais en vain, elle s'éffondra une nouvelle fois. Alors, de son souffle rauque, elle brisait chaque seconde ce silence. Et de sa voix douce, elle parla à l'étalon.
Je sais que vous me détestez. Mais qui êtes-vous, pour ne pas avoir besoin d'un peu d'amour, d'un peu de réconfort. Qui vous à soufflez que jamais, je n,avais été semblable à vous, mis à part cet amour que vous éprouvez pour le sang ? Allez-y, Hannibal Lecter, achevez-moi, maintenant.. Profitez de ma faiblesse, de mon corps presqu'inerte sur ce sol humide. Amusez-vous, maintenant..

Alors que la jument reposait sur le sol, le grand mâle approcha sa bouche poisseuse des fines oreilles de la jument dont une blessée et murmura quelques mots. Ces mots prononcé d'une tel voix qu'ils en auraient presque hanté l'esprit des fantômes.
"Je suiis, tout siimplement, Hannibal Lecter, trés chère..."
Puis il se recula legerement pour pouvoir voir la jument en entiere, de son globe oculaire privé de paupiere, et de l'autre bien entier. Ce regard toujours aussi noir figé sur la jument. sa langue acérée jaillit entre ses machoire et lacha denouveau de puissante paroles, envoutante, terrifiante.
"Je ne mange pas n'importe quoi..."
Ce fut ces dernieres paroles. Non a quoi bon se fatiguer a achever une proie si ce n'est pas pour la manger ensuivant. Rien de passionant. Et puis c'était bien trop facile elle ne se debattait même pas. Il ronfle avec violence des naseaux et jetta un dernier coup d'oeil a la jument pour s'éffaçer peu à peu dans la brume, lui tournant le dos, marchant dans une direction opposé a celle dans laquelle il était arrivé. Plus rien d'interressant a faire ici.

[Out ^^]

» [Lost Dream] I Call You...
» [Lost Dream]Dont' Forgot Me...
» .S.n.O.w. (Lost Dream)
» Lost Dream devient Hannibal Lecter.
» Q u a n t u m . O f . W i n d [Priorité à ?]

Self' [Priorité à Lost Dream]

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