With Self & Creepy

Sur une grande ettandue poussiereuse un étalon tacheté de sang, peau recouverte de nombreuses cicatrices avançait. il suivait chaque courbe de cette plaine desertique avec résignation. Rien ne venait a bout de son obstination ni même l'air poussiereux et ettoufant qu'il respirait ni les quelque rocaille pointu sur lesquels ses sabots s'abimaient. Il avançait d'un pas lent et saquadé. La bete s'aquittait de sa tâche avec une volonté sourde qui défiait le jour.Il murmurait entre ses dents des mots qui s'évaporaient dans la poussière, des mots quelque peu inconprehensible.Les heures passaient ainsi dans une immense fourniere qui abolissait les couleurs. Sa robe brillante de sueur refletant la puissance des quelques fin rayons de soleil. Il n'avait croisée personne même pas un rat, mais il s'enfonça toujours plus avant dans les terres. Cette vaste éttandue laissait a supposer qu'il n'y avait pas de sortie mais l'étalon continua. A perte de vue il n'y avait que poussiere et secheresse. Il respirait bruyament, laissant echapper un petit sifflement angoissant a chacun de ses mouvements respiratoire. Il était apparement seul, mais peu importe il continua de s'affonçer toujours plus loin dans la puña. Chacun de ses ronflement de naseaux rythmaient ses pas, ses pas lent mais doux comme sonne la melodie de la mort. Il secoua parfois la tête, avec violence, histoire de faire partir les quelques bestioles qui venait le chatouiller et susotter sa sueur. On pouvais voir, au niveau de son poitrail une enorme entaille encore fraiche, assez impressionante. Le sang degoulinait sur le sable, on pouvait ainsi le suivre à la trace. Pour ce qui est de la douleur il n'y faisait même plus attention, tellement habitué au mal. Il continuait de marcher. Il avait une mine sombre mais contrairement a d'habitude plutôt fatigué. En effet il était epuisé de marcher mais tenait le coup. Lecter n'était pas du genre à dormir beaucoup, non même presque pas ou du moins trés peu. Juste un bon coup d'adrenaline et il était denouveau en forme. Bref. Il continua donc de marcher, laissant son regard vagabonder sur la ligne d'horizon, trainant le pas. Il se stoppa un petit instant pour venir lançer un hennissement legeement agressif mais surtout nerveux. Puis il repris sa marche vers ce qui paraissait etre l'infini.

Dis maman, pourquoi j'ai pas d'papa moi ?

Selfy' sembla soudain revenir sur terre, coupé brusquement de sa rêverie. Papa ? Mais si, il en avait un. Enfin, génétiquement. Peut-être n'était-il pas très présent dans la vie du p'tit, mais au fond, peut-être était-ce mieux ainsi, non ?

Il est occupé, ces temps-ci, mon chéri.

Ah bon ? Il fait quoi, alors ?

Self Deception détourna alors son regard doux et maternel sur lui. Un petit poulain qui avait bien la jasette, croyez-moi. Que faisait-il ? Bonne question. En fait, elle-même n'en avait la certitude. Simplement quelques légers soupçons. Il tuait, sûrement. De petits animaux, ou alors des chevaux purement innocents. Inconcient du danger, plutôt. Comme simple réponse à cette question, elle laissa entenre un long soupire, désespéré. Alors, elle laissa son regard vagabonder longuement sur les terres. Un paysages sans fin, sans ssue. L'horizon, sans terminaison.

Vous êtes amoureux ?

La jument s'arrêta, et coucha alors une de ses oreilles noire, venant la rapprocher de sa nuque. Et étrangement, son regard sembla s'enflammer. Ce petit poulain qu'était le siens commencait légèrement à l'énerver, avec toutes ces questions.

Cesse un peu tes questions. ¨ca d'vient saoulant, à la longue, Creepy.

L'alezan baissa la tête, en signe de soumission envers sa maman qui semblait s'énerver vis-à-vis cette question concernant leur amour. Mais quoi, il vaita quand même le droit de savoir si ceux qui l'avaient concu s'aimait, non ?

La criniere, relevée sur l'encolure, paraissait avoir été dorée autrefois. La tête, petite comme celle de presque toutes les statues grecques, était légèrement inclinée en avant et ne cessait de gigotter. Quant à la figure, jamais je ne parviendrai à exprimer son caractère étrange, et dont le type ne se rapprochait de celui d'aucune statue antique dont il me souvienne. Ce n'était point cette beauté calme et sévère des sculpteurs grecs si on l'avait comparé à une statue, qui, par système, donnaient à tous les traits une majestueuse élegance. Ici, au contraire, j'observais avec surprise l'intention marquée de l'artiste de rendre la malice arrivant jusqu'à la méchanceté malgrés ces air enfantin de poulain. Tous les traits étaient contractés légèrement : les yeux un peu obliques, la bouche relevée des coins, les narines quelque peu gonflées. Dédain, ironie, cruauté, se lisaient sur ce visage d'une incroyable beauté cependant. En vérité, plus on regardait cette admirable statue qui n'était autre que mon fils en réalité, et plus on éprouvait le sentiment pénible qu'une si merveilleuse beauté pût s'allier à l'absence de toute sensibilité. Il y a dans son expression quelque chose de féroce, et pourtant je n'ai jamais vu rien de si beau. Ces yeux brillants produisaient une certaine illusion qui rappelait la réalité, la vie.Cela était vrai, et je ne pus me défendre d'un mouvement de colère contre moi-même en me sentant un peu mal à l'aise devant cette petite chose dont j'était quelque part fier même si il ne fallait certainement pas le monter. Il avait la beauté et l'élégance de sa mere sans aucun doute, maiis ces air sournois et machiavelique venaiit surement de son pere. Un joli petit mominet malgrés tout.

C'était la premiere foiis qu'il pouvait l'observer si minusieusement. Le mâle fut soudaiinement saisi d'angoisse quand il les vit se repparocher. Il ne bougea plus, sa respiration reduite de moitié ne faisait plus aucun bruit, elle avait cessée de siffler et son coeur d'acier battait à la chamade. Quant à ses yeux il étaient rivés sur eux, Self Deception & Creepy Nightmare. Lecter recula de quelques pas quand il se sentit comme stoppé. Il resta figé. Il en avait presque le souffle coupé. seulement il ne pouvait pas fuir toute sa vit, il devait faire face à la realité à present !

Alors, Self deception l'apercut au loin. Sa silhouette à lui, si musclé et parsemée de multiples tâches rougeâtres laissant à désirer. Ausstôt, la jument à la robe d'ébène se stoppa. Tous ses muscles, en l'espace d'un millième de seconde. se contractèrent dangereusement. Lui aussi, semblait être cloué sur place. Depuis sa mise bas, elle ne l'avait pas revu. Pour elle, le temps semblait s'être arrêté. Et pourtant, le vent continuait de souffler, et de faire danser majestueusement ses crins soyeux et noirs.

Creepy lui, haussa un sourcil. Pourquoi elle se stoppait ainsi, sa maman toute frêle ? Car éffectivement, pour ce qui était de sa musculature plutôt imposante pour son jeune âge, elle ne venait sûrement pas de sa mère. celle-ci avait de long membre bien fins et réguliers. tandis qu'Hannibal, lui, était plutôt "carré". Du muscle et du muscle, des cicatrices et du sang.

Malgré elle, elle fit trois pas de reculons. Qu'allait-il faire à Creepy ? Quelles idées, sordides ou non, lui traversaient l'esprit, à cet étalon si étrange, qui, pourtant, ne détestait-elle pas finalement. Bursquement, elle secoua la tête. Après tout, elle était là, pour le protéger, son poulain. Alors, elle se remit à avancer tranquillement, comme si rien ne s'était produit.

Mais quelle mouche t'a piquée, m'man ?!

C'est vraii que l'étalon était quelque peu lunatique, inprevisible, jamais on ne savait ce qui allait lui passer par la tête, peut etre pouvait il etre indulgent comme il pouvait etre cruel. C'était comme si se petit poulain s'était éveillé à la vie sous des astres defavorables. Quant à Lecter, lui, il serait capable de faire parler la langue de l'Etoile aux levres de bronzes si il en avait envie, mais aujourd'hui il se contenta, enfin pour l'instant, de les contempler. Cependant il y a un point où nous nous retrouvons avec lui: sous les voùtes de notre coeur et de notre cerveau, le danger guette. Toutes les alcoves ne sont pas accueillente, baignées de lumieres et d'air frais. Comme celui d'un donjon Médieval, le sol de notre esprit est parsemé de trous beants, oubliettes fetides qui sont des puits d'oubli, geôles taillées dans le roc en forme de bouteille renversées, avec la trappe au fond. Riien ne s'échappe d'eux pour nous soulager discretement. Il suffit d'un mouvement de terrain ou de queqlues trahisons de nos gardiens pour que des etincelles de memoires enflamment les gaz toxiques et que ce qui était jetés là depuis des années s'envole en tous sens, prêt à detonner dans des explosion de douleur et à nous pousser à de dangereuses extrémités.
Alors empreint d'une crainte émerveillée, Hannibal Lecter avançé d'un pas vif vers eux, mais il ne fit que quelques metres pas plus. Il esperait que l'avorton autrement dit le poulaiin ne l'avait pas encore vu.Il aurait preferé s'entretenir seul avec Self Deception mais ce n'était guere possible. Peut etre Lecter aurait il, c'ets vrai, du mal a controler ses pulsion si le petit monstre venait à trop l'enerver. Il posa plus particulierement sont regard assez sombre, comme a son habitude sur Self et essayé d'éviter de trop regarder le poulain, Porquoi ? Allez savoir...

Les deux chevaux se rapprochaient peu à peu de cette silhouette massculine et imposante, puis s'immobilis`rent tous deux.

Le petit Creepy regardait cet étalon, si sale qu'il en devenait légèrement difficile de reconnaître sa robe naturelle. Le regard à la fois dégoûté et hautain, il haussait un sourcil. Mais lorsque cette odeur noséabonde parvint enfin à ses fins naseaux bicolore, il ne put s'empêcher de dire un habituel commentaire désagréable.

"Non mais m'sieur, on vous à jamas appris à quoi ça servait, les lacs ? "

Immédiatemment, la jument ouvrit sa grange gueule, pour venir légèrement choper le chanfrein du jeune étalon, les oreilles couché. Il ne savait évidemment pas à qui il parlait, et quelle conséquences il pourrait subir, ici.

"Excuses-toi. Immédiatemment. On ne parle pas ainsi aux gens, c'est impolis."

Le poulain coucha alors lui aussi les oreilles, le regard mécontent.

"Mais m'man t'as pas senti c't'odeur qu'il dégage ?! Faut bien que quelqu'un prenne la responsabilité d'lui dire franchement qu'il fait peur à voir, c't'espèce de sala*d."

L'étoile du matin commençait à palir dans la lumiere montant à l'Ouest quand Hannibal Lecter s'engagea vers Self' ainsi que la petite creature, assez, hum...arogante ? x). Un vent glacial hérissait sur les eaux du lac qui bordait l'Altaî. Les moindres bruits étaient emplifiés par le silence grandiose des sommets. D'un naturel negatif et argneux, Lecter fut de peu contrarié par ce que venait de lui livré le morveux. Ses dents étaient decouverte pretes a se planter dans la chair fraiche du petit, mais heureusement, Self intervena. Hannibal Lecter ne put alors s'empecher d'esquisser un petit sourire malicieux en coin de levres lorsque Self Deception demanda au petit morveux de s'excuser, mais toujours discretement. Il sentit alors son coeur artificiel legerement se gonfler en la comtemplant dans sa robe noire. Une brise naissante balayait des volutes de poussiere ainsi que les petits gravillons. Les traits habituellement pâle de Lecter s'empourprent quand il recrait les râles ettouffés du torturé. Il quitta alors la douce penombre pour venir s'avancer vers Self, il semblait tout de même encore envoutés par cette évocoation infernale. C'est alors qu'il entendit denouveau la voix de la petit chose. De suite Hannibal fut sortit de toutes ses pensées emplie d'euphorie. Il lança un regard noir et tellement froid qu'il vous en glace le sang au poulain avant de faire mine de le charger. Mais il ne put resister a cette envie soudaiine et vint choper l'oreille du petit avec ses dents pourris et serra de sorte a ce qu'il sente la douleur, laissant les quelques goutelettes de sang tomber sur le sol. Puis il relacha en faisant un pas vers l'arriere, continuant de le menaçer. Il frappa avec violence le sol legerement humide de son anterieur, laissant echapper un ronflement rauque. Seulement, il avait oublié que cette petite chose était la sienne et celle de Self. Alors cette arogance venait-elle de son pere ?. Il avait les oreilles bien fermement plaquées en arriere mais ces dents n'étaient à presents plus voyantes...

Étrangement, Selfy' ne put que sourire envers la "punition" que venait de lui donner Hannibal. Peut-être l'étalon assumerait-il un jour son rôle de père ?

Creppy', lui, mécontent et à la fois surpris, coucha la oreilles, puis partit dans un élan, l'encollure basse, se cacher entre les postérieurs de la jument.

" M'man, t'as vu c'qui ma fait ? "

Et voilà, maintenant, le poulain pleurnichait sur son sort.

" Excuses-toi pour tes paroles blessante, et ensuite, le monsieur s'excusera à son tour de t'avoir mordu comme un jeune poulain l'aurait fait"

La jument, un sourire en coin posé sur ses lèvres, regardait du coin de l'oeil Hannibal

Seulement Self Deception le savait pertinament, les escuses n'était pas le fort de Lecter. cependat il mença une derniere fois le poulain du regard avant de le laisser filer entre les pattes de sa mere. Pour ce qui est d'assumer son rôle de pere, il ne fallait pour l'instant pas torp en demander car non il n'avait pour l'instant guere l'envie de s'occuper d'un morveux pareille. Quoi que ?! Il reposa alors son regard sur Self et sur un ton assez neutre et froid il demanda:
- Quel est son Nom ?
Il voulait bien entendu parler du petit mâle. C'est alors qu'Hannibal reprit son air malfaisant. Encore et encore, le fracas de cette porte résonnait dans sa tête comme le premier écho d’une défaite amère, celle d'etre pere peut etre biien ?. Le tourbillon des feuilles mortes à ses pieds accentuait encore sa rage et sa ténacité à accomplir cette mission. Jamais, oh non, jamais, il n’avait connu de défaite. Que devait-il faire, maintenant ? Pour atténuer sa colère, comme si il s'en voulait, ce qui était plutôt rare pour un étalon fier comme lui. Il ne pouvait bien evidement pas changer comme sa, du jour au lendemain, et il n'en avait guere trés envie pourtant ... Il regarda Self sans aucun autre mot.

Désolé, gros m'sieur qui pue !
Creepy' regardait Hannibal Lecter, de son regard arrogant. Ce gros monsieur ne lui inspirait guère confiance, et bien sûr il ignorait que celui-ci était son papa.

Self Deception ouvrit grand sa gueule, et vint choper la croupe du poulain, l'incitant ainsi à aller trottiner un peu plus loin. Son regard lui démontrait à quel point elle était d'humeur à jouer la méchante maman. Et ensuite, elle reposa son regard sur l'étalon grisâtre. Suite à quelques secondes à réfléchir à cette questions qu'il venait de poser, elle se décida à répondre.
Tu l'aurais nommé comment ?
Étrangement, un sourire se posa sur ses fines lèvres d'ébènes. Un cauchemar éffrayant. Oui, ce nom si particulier qu'elle avait choisi pour ce polain à l'air innofensif. Mais au fond, il ressemblait grandement à son papa, le p'tiot. Elle ne voulut lui annoncer immédiatement. Elle préfèrait voir si lui, aurait choisis le même nom, aussi particulier qu'elle avait désiré le nommer. Surement que non, mais avec lui, qui sait ?

Creepy' trottinait joyeusement, enfin c'est l'air qu'il donnait. Seulement lorsqu'on se rapprochait un peu plus de lui, on s'apercevait que son regard sombre n'était guère joyeux ou accueillant. Au contraire. Les oreilles plaqus, il fixait ce mâle étrange qui tenait compagnie à sa douce maman. Pourquoi elle lui parlait ? Pourquoi s'obstinait-elle à parler à ce mâle guère rassurant ?

Il le cacha au plus profond de luii maiis il était en quelque sorte, comme heureux de la revoiir aprés un si long moment d'attente Il machait plus d'un coté que de l'autre ses incisives qui craquaient legerement dans sa bouche infectée de puanteur.Puis il regarda le petit poulaiin. Il faut que les blessures qu'il pourra voir soient un avant-gout de celles qu'il pourra lui faiire. Blessures symboliques evidement. Puiis il reposa ses yeux sur la jument noire envers qu'il il eprouvait une certaines admiration qu'il avait du mal à admettre. La nuiit allait bientot commençer a tomber desormais. C'est alors que la réponse de Self l'interpela. Il ne sut alors trop quoi repondre, même si une multitudes de noms communs lui passa par la tête :
*Imbecile...? ôO*
Maiis il finit par repondre d'un voix assez neutre:
"Euh...pas trop d'idées à vrai dire."
Il esquissa alors a cet instant un petit sourire malicieux en coiin de bouche, maiis assez fin et discret. Il fit ensuiite un pas de plus vers Self Deception, attendant une reponse tout en continuant de n'avoir d'yeux que pour Elle.

Lorsqu'il fit un pas vers elle, elle fit semblant de rien. Elle savait qu'au moindre mouvement de sa part, il reculerait alors, ou lui présenterait ses dents rougeâtre. Alors, elle se contenta de lui donner enfin la réponse à sa question. Le nom de leur fils.
Creepy Nightmare.
Elle ne put s'empêcher de rire nerveusement. Pourquoi ce nom ? Au fond, elle-même ne savait pas. Nom éffreyant, pour cette petite chose si mignone et à l'allure si innofensive. Et pourtant..

Voyant ce mâle s'approcher un pas de plus vers sa maman, il s'immobilisa. Les oreilles plaqués, il ronfla bruyemment des naseaux, en fait il voulut ronfler bruyemment, mais aucun son n'en sortit. Il soupira, et brouta quelques brins d'herbe bien vert, grâce à la plui du matin.

Self regarda alors derrie`re elle du coin de l'oeil. Le soliel, déjà, partait se coucher. Et bientôt, la lune apparaitrâit. Son regard, si doux, se reposa alors tranquillement sur ce corps si plein de cicatrices dont nul ne savait l'origine, sauf lui. Elle baissa alors doucement son encolure, quitte à se risquer à effleurer du bout des naseaux le genoux de l'étalon.

La nuit venait de tomber sur l'Altaï. Les nuages se dissipèrent et la lune devint visible. Alors que la nuit continuait de les envelopper chaque fois un peu plus, Lecter hocha la tête lorsque la jument vint lui donner enfin le nom du petit garnement. Il ignorait bien evidement ce que cela voulait dire, peut etre quelque chose d'angelique, ou biien au contraire de malefique ?! C'est alors qu'il jetta un coup d'oeil sur Creepy Nightmare. Une petite chose qui en effet paraissait si inofensive, Hannibal avait biien peur que son fils deviennent comme lui, mais d'un coté celà ne lui déplaisait pas forcement, alors avait-il un heritier ? Cela ne plairait peut etre pas a Self qui devienne ainsi...C'est là que Lecter put trouver amusant de lui apprendre à se battre ou biien d'autre chose guere sage, seulement Self Deception n'était peut etre pas du même avis.Il aspira une nouvelle bouffée d'oxygene. La machine à tuer reposa son regard sur le poulain. Le toupet de Lecter epongeait son front surchauffé qui transpirait. Les moindres bruit de la nuit étaient emplifiés par le silence grandiose de l'Altaï. L'animal resta la, presque immobile, on aurait presque dit que seul son regard bougeait, qu'ilvagabondait sur les courbes accidentées du terrain, ainsi que sur Self et le poulaiin au nom de CReepy Nightmare.

[Pas trop D'inpiw', Désoloé ><']

La jument, elle, vint frôler son corps du siens, pour venir choper malicieusement sa queue dreadé, du bout des lèvres. Souriante, elle le regardait malicieusement. Surement n'apprécierait-il pas.. Mais bon, mieux valait essayer, non ? Elle, avait envie de jouer un peu. Pas de rester là, immobile, à scruter l'horizon patiemment. Et alors, elle vint projeter sa queue bien noire sur lui, sur ses ganaches.

Creepy' avait les oreilles plaquées sur sa nuques, le regard glacial. Mais qu'est-ce que sa mère faisait ? Cet étalon était trop bizzare, trop.. étrange pour elle. Il avait des cicatrices tout plein le corps, et du sang séché recouvrait sa belle robe grise. Bref, il serra les dents, attendant de voir la réaction de l'étalon avant d'intervenir à sa façon.

[Pas trop d'inspi' non plus xD]

Up' ^^

L'étalon était en train de scruter avec une pointe d'admiration la jument à la robe d'ébene quand il sentit un vent de frisson lui parcourir le corps. Son premier reflex fut de lever le posterieur droit, prêt a décrocher un eventuel cout. Mais lorsqu'il s'aperçut que ce n'était autre que Self Deception qui vint grignoter ses crins du bout de ses fines levres, il reposa son posterieur, agreablement surpris. Rare que le mâle se retracte et laisse flaner la passion, qui était autre que le Mal cette fois-ci. il ne put s'empecher alors de contracter sa croupe et de faire un pas vers l'avant. Là, Self jetta sa queue sur les ganaches de Lecter. La bête huma alors la douce odeur qui embellisait la jument. Il en avait presque oublié la presence de Creepy Nightmare qui se trouvait etre leur Fils. Hannibal ferma doucement les yeux laissant ce parfum si delicieux lui encombrer les cavités nasales. Il piettina doucment le sol, et c'est quand il fut sortit de son petit nuages au couleurs sombres qu'il secoua virilement son encolure et decolla ses anterieurs du sol afin d'affectuer un charmant petit cabré, même si cela n'allait guere avec son allure disgracieuse. Il retomba lourdement sur le sol, avec peu de grâce et deploya chacun de ses muscles avec puissance pour former une ronde autour de la Belle, en ne quittant jamais son regard de ses yeux toujours sombre, aux lueurs legerement petillantes. Il s'aperçu, alors qu'il se mordait l'interieur des joues jusuqu'au sang lui laissant un agreable gout dans la bouche, ce qui laissa egalement une etincelle d'excitation l'envahir soudainement, Non il ne pouvait s'en empecher... x). Il laissa errer son regard un instant et tacha de dompter son coeur artificiel qui battait a coups sourd, emettant des pulsations irregulieres, mais plutôt rapides. Puis il aspira une grande bouffée d'air qu'il ammena directement a ses poumons d'acier qui sifflottaient doucement a chacun de ses mouvements respiratoires. Hannibal Lecter laissa alors la brise d'air frais faire valser leurs crins.

*De quoi as-tu si peur ?
Oui, dis moi, de quoi as-tu si peur ? À quoi bon, avoir peur d'aimer ? Laisse toi aller, un peu. Ferme les yeux & ouvre ton cœur. Dis moi, juste une fois, tes sentiments. Sans mensonges, sans détour. Crache moi la vérité, même si elle n'est pas rose. Dis moi que tu m'aime, ou que tu me déteste. Je veux savoir. Cesser de vivre dans le doute. Allez, juste une fois. Ferme tes yeux & ouvre ton cœur.

La jument souriait, venant elle-même à en oublier l'existence de leur poulain. Oui, ce lui qu'ils avaient fait, ensemble. Tous les deux. Quand il s'éloigna, elle souria de plus belle. Panachant sa jolie queue noire, élevant élégamment son encolure d'ébène. Pointant son museau vers le ciel, poussant un hennissement enjoué. Et alors, elle se mit à trotter. Autour de cet étalon. Autour de *Lui. Le fixant avec malice, sans prononcer mot. Tu es là, tout près de moi. Nous sommes là. Et alors, elle lui tourna le dos. Baissant doucement la tête, comme elle avait fait, lors dew leur première rencontre. Effleurer du bout des lèvres le gazon vert, sans le manger pour autant. Souriant, sans être si heureuse. Et alors, elle fouetta avec rage l'air de sa queue. Faisant attérir celle-ci sur ses flancs bien noirs. Viens. Viens vers moi. Je suis juste là. Près de toi.

Non Non Non, Il ne voulait pas. Il ne voulait pour rien au monde qu'on lui parle de Sentiments, et d'Amour encore moins. L'affection était belle et biien le point faible de Lecter. Il ne devait rien ressentir c'était ainsi, pourtant...Elle...Non ! Il ne pouvait se livrer ou il le regretterer, c'était comme se trahir lui même. Mais Elle...Le mâle recula alors qu'il se trouvait face à la belle, secouant avec violence sa tête de droite à gauche comme pour dire Non, comme pour dire Stop, comme si ce qu'elle disait lui donnait Mal à la tête. C'est alors que son souffle devaint brusque plus desséchant et plus mortel que le vent de feu du désert.Il La regarda mais d'un regard à la fois noir et desespéré. La bête ne cessa de gigotter, piaffant, ronflant, avançant, reculant...Puis il se stoppa un instant. Tout demeura Muet. Plus un Bruit, seulement leur deux souffles mélangé. Il reçut en plein visage un souffle d'air froid qui le glaça jusqu'aux os. C'est alors qu'il emetta quelques mot, sur un ton froid mais legerement supliant, aprés avoir montrer de peu le jaune de ses dents...
- Self Arrete ... Je t'en prie.
Il la regarda encore et toujours. Il aurait voulu, mais il ne put. Ces mots là, pourtant si simple, si doux, venait lui effleurer les levres et les faire trembler, ces mots dont il avait horreur. Lecter avala avec difficulté sa salive. Il aurait voulu. Peut etre n'était il pas fait pour ce genre de chose, peut etre n'y avait il pas le droit, il était bien different des autres. Son coeur artificiel battait a coup sourd et son souffle en suivait le rythme.
Ce n'est qu'un petit moment qu'il put changer ce mal en une Passion qu'il lui était inconnu. Son Sang rougeatre venait à bouilloner dans ses veines, comme un poison. L'amertume du passé reprenait le dessu, il ne pouvait se controler, tel un monstre. Pourtant Elle était là, il ne voulait pas lui faire de Mal. Oh Non ! Seulement elle le savait pertinament, il pouvait lui etre dangereux. Le mâle ferma les yeux et baissa son encolure comme pour essayer de resister a cette haiine. Seulement tous ces jolies mots qu'Elle avait prononcé lui avait été fatals.
- Je T...
Il reouvrit les yeux, yeux noirs et rouges. Il la regarda, Déchiré entre deux desirs contradictoire. Il avait le sang chaud et la tendace à s'enerver trés vite. Ses naseaux bouillonaient de vapeur blanchatre, il ronfla bruyament. Il ne pouvait rester là. Il murmura éperdu...
- Désolé, Mais...
C'était un lâche, un bon à rien...Il la regarda une deniere fois, son visage d'une beauté lumineuse gravé dans sa memoire. Puis il lui tourna le dos, frappa violement le sol de son anterieur et partit plus loin toujours sur une cadence saquadée. Au passage il croisa Creepy Nightmare et lui affligea un des regards les plus froids et derroutant qui soit, les dents legerements decouvertes de nervosités. Lecter lui dit egalement avec autorité...
- Hôtes-Toi de mon chemin et Depêches-Toi d'aller rejoindre ta Mere, morveux !
La bête se stoppa plus loin, dos à Eux, l'esprit vide, le visage pâle. Puis, dès qu'il sommeillait, vaincu par la fatigue, il entendait Sa voix qui le faisait bondir sur ses pieds. Il tresaillie de rage. Alors tout ce qui lui restait de raison fut emporté par la terreur. Il poussa quelques gemissements lugubres. On dit que la vertu mystérieuse et terrible qu'ont les âmes des morts est de hanter les vivants...

Ces mots. Ce regard. Il la suppliait. Lui, suppliait Elle. Elle se recroquevilla sur elle-même, ne sachant trop que faire. Ses yeux s'emplirent de quelques larmes, lorsque qu'il prononça sa deuxième "phrase". Lorsqu'il dit désolé, elle souria. Avec douceur, avec toujours cette énorme tendresse. Lorsque, par contre, il décida de s'enfuir plus loin, tous ses muscles se décontractèrent. Elle soupira, avec ce sourire toujours collé aux lèvres. Il avait fait un effort. Lui.

"Merci. D'avoir au moins, essayé. Merci. "
Elle se parlait ainsi, seule, à elle-même. Elle le suppliait, de fermer les yeux & d'ouvrir son cœur. Alors que peut-être elle-même ne le ferait jamais. Elle aussi, avait peur. Avait été trahi. C'est drôle, mais on n'oublie jamais ceux qui nous font souffrir. Alors, elle regarda dans la direction d'où il était parti. Et elle apercut son poulain. Leur poulain. Ell l'avait complètement oublié, le pauvre.

T'as pas d'ordre à m'donner, espèce de tarré!

Elle souria, cette fois-ci, un peu tristement. Ce poulain, qu'elle avait élevé tant bien que mal. Et pourtant, regardez à quoi il ressemblait. Ce language, si vulgaire. Cette haine, en lui. Cette haine incessante & inexplicable. Bref, Self s'avanca, pour marcher en sa direction. Aller s'approcher de son poulain & par le même instant, de Lui.

Quel genre de monstres était-il vraiment, au-delà de ces pauvres malheureux qu'il avait manipulé ? Pourquoi ne voulait il rien dire...à Elle, si tendre, si unique...Elle qu'il aurait voulu proteger à jamais...
Son coeur s'affola dans sa poitrine. La colère monta de plus belle en lui lorsque Creepy Nightmare prononça ces mots, un rien et il pouvait demarer au quart de tour. Il n'avait jamais accepté qu'on lui parle de la sorte, alors venant de son propre fils...Ils avaient deux caractere fort, trés fort et egalement trés ressemblant, emplie de hargne et un entêtement terrible, un volonté sourde a défier le jour. Lecter était déjà derriere le jeune étalon quand la folie lui pris. Il vint attraper Creepy par le cou avec une force effrayante. D'ordinaire, il ne l'avait que intimidé, rien de trés méchant, mais là toute sa haine remonta d'un suel coup avec ces simples paroles. Il avait horreur qu'on lui manque de respect, oui Lecter était un bel abrutie...Nauséeux, suffoquant était l'air qui les entourait, presque a vous en éttouffer. Hannibal vint alors à lacher le cou du jeune, se postant face a lui. Son regard haineux venait hanter celui de Creepy. Il le defiait. Le petit poulain d'autrefois avait grandit et Lecter en avait decidé ainsi, il avait à present l'âge de jouer dans la cour des grands, alors pourquoi pas le tester maintenant ?! Maintenant que son père l'avait decidé et qu'il était prés a lui apprendre, qu'il avait besoin de se defouler pour tout evacuer. Bien evidement il aurait préféré que Self ne voit pas celà car elle n'apprecirait certainement pas de voir son fils recevoir des coups de son propre pere. Mais n'est-ce pas le rôle d'un père d'apprendre a son fils à se battre et à devenir plus fort, tel un vrai étalon ? Self ne voulait-elle pas que Creepy ets un père ? Hannibal Lecter continuait de defier Creepy, formant une ronde macabre autour de lui, ne le quittant jamais du regard, ses dents de carnassier menaçantes. Chacun de ses pas, calculés au millimetre prés résonnaient dans sa tête. Sous la lune et les ombres mouvantes des nuages, L'Altaï semblait tantôt d'argent, tantôt de suie. Son corps recouvert de boue et de transpiration mélée a des taches de sang seché ainsi que de multiples cicatrices. Les feuillent bruissent sous ses sabots abimés et le vent dans les arbres. Il respire profondement, plusieurs fois laissant entendre, a chacunes de ses bouffées, un petit sifflement agassant. Il était repoussant, puant et sale. L'obscurité lourde de menaces s'insinuait dans ses veines et venait accelerer son poul. Il avait bien l'intention de pousser Creepy dans ses derniers retranchements, ou presque.

Creepy' sentit tout ses muscles se crisper en un millième de seconde. Enfin, ce gros sala**d avait eu une réaction. Lui qui pensait que la crasse empêchait ses insultes de parvenir à son oreille. Lorsque celui-ci le lâcha, il secoua sauvagement son encolure, fesant voler dans tous les sens ses crins alezan. Il était encore osus le choc. Pour une fois, sa mère n'était pas là pour le défendre & l'empêcher de souffrir. Voyant cet étalon si imposant le défier du regard, il ne retint nullement ce sourire narquois sur ses lèvres. Était-ce donc lui ? Le beau diable ? Il haussa l'encolure, et plaqua ses oreilles sur sa nuque déjà bien musclé. Et il vint tapper violemment son antérieur sur le sol, les brins d'herbe s'y toruvant, souffrant.

La petite jument à la robe d'ébène, immédiatemement, s'immobilisa. Elle haussa bien haut son encolure, le regard terrifié. Mais, que fesaient-ils ? Elle restait immobile, figée sur place. et elle regardait le spectacle. Ses deux étalon préférés, réunis. ~~Pour le meilleur &~~ pour le pire.

Tu penses vraiment que ma mère pourrait aimer une bête aussi affreuse ?
Sérieusement,vieux. T'as aucune chance.
Tu devrais te contenter chanceux qu'elle ose t'adresser la parole, non ?
Les paroles aussi, blesset. Qu'on le veuille ou non, elles nous atteingnent. Telle u poignard, un coup de ocuteau dans le dos. & on souffre, sans souffle.

Le Beau Diable ? L'adjectif beau n'était pas trés approprié à Hannibal Lecter malgrés son corps athlétique ses allures était mediocre et refletaient le chant de la mort. Pour ce qui est du Nom Diable, cela pourrait lui correspondre car il s'est juré de faire regner Mal et Terreur. Il s'amuser de voir ce petit morveux se la jouer "Grand Etalon", mais c'est bien la reaction qu'il attendait de la part de son fils. Pour l'instant tous se passait comme il aurait put l'imaginer. Il ne voulait en aucun cas que son Creepy prenne la fuite, NON. Pour lecter mieux vallait mourir au combat que de perdre son courage et sa volonté de vaincre, alors il avait bien l'intention de le faire comprendre à ce petit garnement. Il continua de le defier du regard, faisant claquer ses dents dans le vide. Lorsque le jeune lacha un sourire des plus narquois, Hannibal ria de plein fouet, d'un rire plutot sarcastique, moqueur, rien de tel que la provocation pour declencher une guerre. lecter ne jetta pas un coup d'oeil à Self, ne preferant pas voir son visage terrorisé. C'est alors que le petit lacha quelques mots, et lecter continua de rire de plus belle, et sur un ton provocateur et legerement agressif il dit:
- Qui te parle d'Aimer, Morveux... ?
Il tourna encore et encore autour du petit mâle à la carrure déjà bien formée, un corps imposant mais un visage fin, des yeux expressifs sa Mère. c'est alors que Hannibal commença à s'impatienter et vint bondir sur la petite chose en lui chopant le naseaux de ses dents tranchantes. En effet c'était toujours ou du moin souvent l'attaque premiere de Lecter. Leur deux fronts étaient presque collés, leur regards entremélés, ceux-ci emplie de haine et d'amertume. Lecter lacha d'un ton machiavelique:
- As-tu peur de la Mort ?
Il laissa la petite riviere rougeatre du sang de son fils couler dans sa bouche déchirée et puant la charogne. Un Gout legerement Amer mais bien appetissant qui lui ouvra l'appetit et l'envie de revoir cette si belle couleur qu'est le rouge couler de nouveau, cette odeur qui vous petille dans les naseaux venir vous penetrer, cette sensation que tous s'arrete pour vous laisser le temps de deguster le moment où vos crocs sont pleinement planter dans la chair de votre adversaire...Tous cela qui était si cher a lecter au moment du combat. Tous çà que son fils apprendrait à connaitre. L'Art du Combat.

& toi, as-tu peur de la vie ?
De son antérieur, il vint râper celui de l'étalon. Passant sa corne bien usées sur sa peau si sale. Son regard était encore & toujours sombre. Haine. Haine & Rancune. La lèvre supérieur retroussée, il laissait entre voir ses dents qui commençaient à jaunir. Les oreilles bien plaquées contre sa nuque, ses crins mince & soyeux les cachant. & alors, il vint chope du bout des dents la peau du chanfrein de l'étalon. Il serrait & serrait toujours sur sa proie. et le sang commençait doucement à ruisseler, jusqu'a ses papille gustative. Sa première fois. Cette première sensation de sang dans sa bouche. Un sourire pas très sain se dessinait maintenant sur ses lèvres. & il fixait l'étalon Cet étalon. Son père.

Self Deception restait toujours figée sur place. Non, c'en était trop. Les larmes commencait, peu à peu, à ruisseler sur son visage d'ébène. & alors, elle leur tourna le dos. Et partie, loin. Où elle ne les verraient plus.

Il ne put s'empêcher de rire aux éclats quand il entendit la question du p'tiot. C'est qu'il avait du répondant heiin le morveux. C'est alors que le mâle sentit un frottement desagréable sur l'anterieur, son Fils était enfin passé à l'attaque. Lecter se recula brusquement, toujours son regard figé sur celui de Creepy.
- Ne jamais baisser les yeux, Morveux, Ou tu seras fais comme un Rat.
Là, il vit la petite bête venir lui bondir dessus en lui chopant le chanfrein de ses petites dents déjà bien aiguisées. hannibal Lecter ne broncha pas, pas un mot, juste un sourire narquois pour couvrir le petit piquottement qui lui afligée la Blessure. Il laissa le sang couler doucement le long de ses joue pour venir former une riviere qui se separait en deux, une partie venant s'eclater contre le sol legerement humide, et les autres goutelettes vinrent se glisser entre les dents du jeune étalon. A l'occasion Lecter en profita pour jetter un coup d'oeil à Self Deception. Il la vit partir au loin, il ronfla alors bruyament des naseaux comme si il avait voulu qu'elle se retourne. Hannibal se jetta sur le coté se decrochant des dents de Creepy, laissant sur son chanfrein une sacrée marques parmis tant d'autre. Sa queue dreadeuse fouettant sauvagement l'air, le faisant claquer tel un fouet que l'on agite indefiniment. Ses crins en bataille et delavés dansant avec le vent. La legere brise venant ecorcher sa robe grisatre. Il ecoutait continuellement sa respiration saquadée, que son poumon artificiel faisait aller irrégulierement. L'armure du Diable, d'Hannibal Lecter, était zebrées de cicatrices, chacunes d'elle des plus impressionantes. Son caractere diabolique est assuré par son physique repoussant, mais aux allures parfois gracieuse. Ses sabots étaient usés et fourchus comme ceux de satan. Et ce n'est pas mourir qui est tragique, c'est d'avoir été sacrifié en vain. Quand le renard entend un lapin brailler de douleur, il arrive en courant n'est-ce pas ? Et ce n'est pas pour lui venir en aide.Il avait encore plein de notions à apprendre à son Fils, même si celui-ci croyait déjà tout savoir x). Puis, comme dotée d'une volonté autonome, la pointe de sa langue ecorchées apparut, tel un minuscule serpent rosé qui aurait cherché a s'extraire de son visage, sa langue qui venait attraper une goutelettes de son sang qui s'apretait a s'eclater au sol. Il aurait put lui briser le cou ou bien faire jaillir ses intestins si il en avait eu envie, mais il ne le fit pas. Non, pas a son propre fils. Il prefera le concerver et lui apprendre plus tard. Il recommença à lui tourner en rond, ne le quittant pas des yeux. Peut etre s'avait il attaquer, mais s'avait il aussi bien se defendre ? Lecter s'eleva dans le ciel brumeux, ne restant que debout sur ses posterieur, puis il vint retomber de tout son poids sur le petit mâle, le plaquant au sol. Le sabot de l'anterieur droit de Lecter était positionné juste au niveau de la gorge de Creepy, ne laissant qu'une petite entrée d'oxygene à ses poumons. Il n'était pas là pour lui faire de mal ou bien l'achever, mais pour lui montrer, pour qu'il apprenne. Il approcha sa bouche puante de l'oreille de Morveux et lui souffla...
- Et Maintenant, tu fais quoi ? Morveux !
En effet, il pouvait s'en sortir comme Lecter ne mettait pas tous son poids sur la gorge du jeune. Mais il fallait tout de même réflechir, ne pas se laisser submerger par la panique. Là, lecter voulait tester l'intelligence de son Fils, son temps de reflexion, apprendre à se metriser était essentiel pour un combat et pouvait vous sauver la vie. Le mâle attendit donc une quelconque réaction de la part de Creepy Nightmare, son regard toujours accroché au sien.

Mais non, elle ne se retourna pas. Elle resta de dos & continuait à marcher, sans regarder. Car dans certains cas, vaut mieux faire la sourde oreilles & faire comme si on ne voyait rien. Pourquoi. Tant de pourquoi & si peu de parce que. Pour quelles raison avait-elle choisi cet étalon, dites-moi ? Au fond, elle savit bien pourquoi. Le coeur. Sentiments.

Il avait peine à inspirer. Il souffrait. Agonisait à petite feu. mais ne baissait pas les yeux. Non, ne jamais abaisser les yeux.Première étape. Premier conseil. Il fixait de son regard haineux son père. Son géniteur, dont il ignorait le rôle. Car pour lui, cet étalon était un étalon, comme un autre. Pas son père. Non, ça, il l'ignorait encore. Alors, il fallait réfléchir. Il esseya de relever la tête, mais ainsi la douleur s'intensifiait. Allez, réfléchi, réfléchi. Il laissa entendre un grognement. Il était mécontent, le jeune étalon. Alors, de son sabot postérieur, il vint frapper avec force celui d'Hannibal. Et une deuxième & troisième fois. Avec force, puissance. Haine.

» Hey, Creepy...
» Creepy'
» Creepy' Alone <<
» Qui..?(Creepy)
» Te voilà. (Creepy Nightmare)

With Self & Creepy

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