Who want a gold Angel ? ... Try forever ...

Ce que la vie fera pousser, je le cueillerais.

La jeune et sage fjord trottait allègrement, faisant rouler ses muscles discrets de façon légère. Ses membres bien batis et ses sabots solides lui permettaient de piquer de jolis sprints, et son arrière-main puissante faisait d'elle une bonne sauteuse. Ses crins colorés et fournis flottaient dans le vent chaud, ou bien se balladaient sur ses péaules et son garrot. Sa tête était expressive et ses traits bien proportionnés. Elle avait de grands yeux bruns, profond et flamboyants, des naseaux noirs veloutés, et de courtes oreilles attentives. Le soleil qui était au rendez-vous faisait briller sa superbe robe dorée. Ses allures étaient gracieuses et amples. Sans vraiment s'en rendre compte, Black' possédait un charme bien différent des PSA, trop sveltes et trop typées. Ses yeux et sa voix étaient irrésistibles, elle faisait omber de haut plusieurs étalons PRE, qui auraient du regarder le fond de ses yeux doux et bienveillant, mais subtil, avant de la narguer.

Etant d'une nature extrêmement généreuse et humble, Black' était tolérante at aidait toujours son prochain; douce et compréhensive, tout en étant étonnante et incroyablement intelligente. Elle aimait aligner les mots, laisser ses phrases en suspens, répondre à une question le lendemain, ou encore aligner bonté et perspicacité dans ses yeux bruns. Pourtant, lorsqu'il s'agissait du grand cadeau de la vie, du sentiment le plus incroyable qui puisse exister, elle ne se contentait que du parfait, ou du moins de ce qui la satisfaisait. Elle n'était pas dragueuse ou infidèle, elle laissait couler le long fleue de l'amour entre ses sabots, jusqu'à ce qu'enfin, la perle rare qui s'arrête au pied dur coher soit dénichée, et qu'un magnifique lien les unissent. C'était bien compliqué, mais Black' avait tout son temps et n'était pas pressée, car ce n'était pas son but.

Elle hennit longuement, mélodieusement, parcourant de son fin regard l'immense île.

Le soleil brillait, tout comme la robe ébène de Windskyed. Une robe que l'on pouvais cependant croire maudite, car elle semblait absorber tant de chaleur qu'elle conservait en elle et donc dans le corps de l'étalon. Mais cela ne l'empêchait pas de galoper, sans relâche avec une détermination que peu d'être sur cette terre pouvait avoir. La détermination de vivre, de vivre à nouveau malgré que l'on puisse oublier certaine choses du passé...

Le frison noir pensait à toutes ces choses qu'il avait pu vivre dans le passé, mais il revint rapidement à la réalité des choses, le présent, et son avenir aussi. Il fallait qu'il retrouve des gens à qui parler, des gens qu'il pouvais connaître sans aucun retenue, il était libre, et rien ne l'empêcherait de faire ce qu'il souhaite.

Mais alors qu'il galopait puissamment et de façon régulière tout comme le bruit de ses sabots sur le sol, ainsi que le souffle de Windskyed, il pût sentir une présence, une présence qu'il ne connaissait pas le moins du monde, cependant une étrange chose se mêlait à cette présence, comme quelque chose qui l'attirait irrésistiblement vers celle-ci.

- *Mais...que m'arrive-t'il...ce hénissement et cette...oh et puis...*

Il changea de direction, non pas par envie, mais par curiosité, cette sensation qu'il venait de sentir était étrange et il voulait en savoir plus. Peut-être commettait-il une erreur. Qui sait...

Mais alors que son regard dardait la plaine, il lui indique une forme noir qui était encore loin à quelques centaines de mètres...

Windskyed n'était pas vraiment là pour trouver un amour, ou quoi que ce soit, c'était sa soif de découverte qui l'avait mené ici. Souvent on dit que celui qui désire tout n'aura rien, et celui qui ne souhaite rien aura tout peut être était-ce le cas de ce cher frison.

Plus le temps passait et plus la forme devenait nette...

- *Qui...est-ce...*

[ Ils s'étaient déjà vus ? ]

Tu n'es pas venu ici par hasard.

Tell me about your past ...

La douce et belle ponette s'arrêta souplement dans l'herbe fraiche et verte, et se tourna face au vent qui bondissait sur les nuages et frolait la terre, sifflant à ses oreilles couchées en arrière, s'engouffrant avec violence dans ses crins fournis et colorés qui volaient dans le ciel. Les yeux plissés, ses poils épais et dorés collés à sa peau pour garder la chaleur. Le vent avait apporté une odeur inconnue qui lui chatouillait les naseaux. La jeune fjord leva la tête , naseaux dilatés, et huma conscensieusement l'air froid. elle distingua nettement l'odeur d'un étalon qu'elle ne connaissait pas. Elle parcourut l'ile du regard, scrutant de ses yeux bruns et vit alors une silhouette sombre très loin là-bas, assez grande. Elle hennit puissement et se mit à galoper souplement et sans précipitation vers lui, battant le sol de ses sabots, écrasant l'herbe qui se reformait quelques minutes après.

Elle arriva bientot à sa hauteur, le dévisagea lentement. Elle avait comme une impression de déjà vu, mais très lointaine, comme si c'était dans une autre vie, un autre monde. Il était plutot imposant, noir, c'était un frison beau et majestueux, libre. Elle ronfla des naseaux, nullement intimidée ou contrariée, ne faisant que plonger son beau et doux regard flamboyant dans les siens, fouillant dans les cascades de sa vie, mais rien ne paraissait vraiment ...

- Bonjour ....

Sa voix était incroyablement douce et tendre, pourtant ferme et chantante.

(Non je ne pense pas, enfin pas à mes souvenirs, mais vu la mémoire de poisson que j'ai...^^)

Etait-ce le destin qui m'avais mené ici, je ne sais pas, mais je ne pouvais pas résister à l'attraction de cette présence...

Windskyed continuait à galoper sans relâche, mais...voilà que la forme qu'il avait vu au loin grossissait deux fois plus vite à présent. Puis après quelques minutes de galops intensifs, les deux êtres se retrouvèrent face à face...

Un regard très doux, tout en ayant de l'intensité mais sans gâcher le reste. Quand à celui de Windskyed il était toujours aussi profond, il ne dévisageait pas le moins du monde la jument qui était plantée en face de lui était arrivée à une telle vitesse que ça l'en avait presque surpris. Non il se contentait simplement de la regarder avec sa façon habiteuelle, profonde, empli de mystère, avec un certain voile sur lui même car il n'aimait pas que quelqu'un puisse le déchiffre d'un simple regard.

Puis vint alors la première parole de la jument; Un bonjour très doux et d'un ton très mélodieux comme pouvait le constater Windskyed. Puis cette sensation de vouloir rester ici en sa présence était toujours aussi présente. L'étalon noir ne savait pas trop ce qu'il lui arrivait.

Oui il était fier et libre, un étalon qui ne se battait que pour ceux en qui il avait confiance et aussi pour ceux qu'il aimait. Il trouvait cette jument très intrigante, mystérieuse, et très élégante.

Puis il finit par saluer la jument de la tête et d'un parole très douce ainsi que bienveillante :

- "Bonjour, comment allez vous par ce jour si rayonnant?"

Son regard était à présent complètement plongé dans celui de la jument.

( Okey )

Je sens ton désir de liberté qui bondit au creux de mes hanches.

La fjord reprit calmement son souffle, sans le cacher vraiment, car elle gardait toujours le control de sa respiration. Elle baissa la tête, souffla sur l'herbe verte et luisante de rosée, sans véritable entrain, puis releva la tête vers le grand noir, les yeux pétillants. Elle ne répondit pas tout de suite, analysant chacun de ses sons et de ses expressions, prenant son temps pour le détailler comme elle savait si bien le faire. Ses oreilles pivotèrent vers lui et elle lui adressa un beau et chaleureux sourire. Elle avait remarqué beaucoup de douceur et de bonté dans la voix de l'étalon, ce qui était peu commun. Black' ronfla bruyemment des naseaux, et enfin répondit d'une voix presque nonchalante, mais déterminée et enflammée :

- Très bien, merci ...

Elle laissa sa pharses en suspens et regarda ses prunelles noires. Elle appréciait toujours le conctact avec les autres et recherchait la subtilité et la beauté des mots. Bienveillante et généreuses, elle était pareille à nulle autre et parfois presque étrange.

- Est-ce que ce ne serais pas nous qui faisons de ce jour un jour si rayonnant ? Ne serait-ce pas l'amitié et l'amour sui s'enlacent et galopent au-dessus des vagues ? Ne serait-ce pas nos paroles et nos voix bienveillantes qui se mêlent au vent de la plaine et bondissent par-dessus les collines, sifflant leur joie et leur liberté dans les feuilles des arbres ?

Elle se tut, silencieuse, et le regarda attentivement.

(Désolé, vu l'incident de la disparition des messages je vais essayer de retracer ce que j'avais dit.)

Je n'ai que le désir de liberté, mais le vivre avec quelqu'un qui ressente la même chose que moi est un désir d'autant plus fort...

Windskyed regardait encore la belle qui était devant lui,
oui elle était si sereine, semblait si assagie et en même temps,
un brin de brillance était perceptible dans ses yeux, représentant souvent
l'envie de vivre, et le vécu d'une personne.
Oui car la lueur de ses yeux était celle d'une jument
qui avait une personnalité bien à elle, une sérénité intérieure,
mais aussi un côté sauvage et libre tout en incluant
la gentillesse et le calme exemplaire qu'elle possédait.

Puis il la vit lui répondre d'une façon assez calme et intense tout à la fois,
et laisser sa phrase en suspens pour laisser place à une petit pensée dont Windskyed
ignorait l'origine.
Puis vint alors sa seconde phrase, dont Windskyed buvait les paroles avec envie,
car elle était tellement vraie et sorti droit du cœur de la belle, qu'il ne pouvait
que l'écouter avec attention et de lui répondre avec sa voix si calme, et si apaisante.

- "La joie, la tristesse, la haine. La vie elle même n'est créée et modelée que par nous même.
Nos sentiments nous entrainent au delà des montagnes et par dessus les cieux,
nous rendent aussi tellement puissants que rien ne nous arrêtes si quelqu'un n'est que la proie
de notre sentiment d'amour ou amitié..."

Le regard de Windskyed était devenu si étincelant lors de la prononciation de sa phrase
que s'en était bluffant, mais c'était preuve de sa franchise ainsi que de qu'il disait l'affectait
beaucoup personnellement.
Mais ce ressenti ne troublant en rien son calme et son apaisement, c'était ça
qui le rendait si différent des autres; Son calme et son ouverture d'esprit
sans oublier la douceur qui l'animait.

- "Vous semblez comprendre tout cela, n'est-ce pas?"

Il souria de façon assez discrète, donnant un certain côté charmeur dont Windskyed ignorait complètement l'existence.

[ Oui je me rappelle plus du tout xO, je vais suivre ce que t'as écrit ;) ]

Tes voeux sont exaucés. Je t'approuve et ô combien, seul Dieu le sait.

Un frisson non pas inquiet mais serein et rassurant parcourut tout son corps de satisfaction, de long en large, impreignant son coeur d'émotion et de plaisir à vivre ce moment inattendu. Ne pouvant désormais plus quitter le regard de l'étalon mystérieux, mais si vrai, elle scrutait ses prunelles avec intensité et détermination, vive à récepter chacun de ces gestes et à écouter ses douces paroles très attentivement. il semblait très différent de beaucoup d'autres, ce qui était rare, bien rare. Pour une fois, elle se sentait reposée, comme si quelqu'un la comprenait et la laisser parler à sa place. Pour une fois, ce n'était pas elle qui menait la conversation en crevant dans la poussière pour s'assurer des autres Pour une fois, on so'ccupait d'elle et elle n'avait qu'à répondre conscencieusement, laissant ses paroles couler comme un flot. audacieuses et perspicace, elle aimait jouer avec les mots, essayer de nouvelles sonorités, tatonner entre la réalité et le rêve, semer la confusion entre le poëme et la vérité. Où sont les limites ? Là où chaque espirt décide de ne plus y croire. N'était-elle pas libre ? Oui, elle croyait. Elle croyait dur comme fer, au rêve comme au vrai. C'était ça qui était beau. La fusion entre deux contraires qui se confonfaient si bien ...

- Le vent joyeux s'engouffre bruyemment dans les arbres, hurlant et sifflant à nos oreilles nos désirs de liberté et nos sentiments confus, faisant s'enfouir sous terre nos remords et regrets désespérés. Givrons le malheur. Ensoleillons l'amour.

Elle sourit mystérieusement, en proie à une vraie transe entre elle et le superbe frison, de nouveau parcourue d'un frisson étrange. Elle souffla doucement de ses naseaux veloutés et inclina très brèvement la tête, sans le quitter des yeux, dévorant ce moment de subtilité avec un plaisir évident.

- Comprendre ?

Sa voix extraordinaire résonna doucement au creux de ses oreilles, douce, chaude, claire, belle ...

- Je partage vos envies et vos émotions les plus profondes. Vous semblez tellement différent, c'est admirable.

Elle remarqua son beau sourire et en fut très séduite, non pas come si elle était amoureuses, mais elle aimait bien ce gars-là.

Allons y ensemble, rien que nous, sur la vague de la liberté et des sentiments

Windskyed s'approcha un peu plus de la jument, cette jument si attirante, mais pourquoi était-elle si attirante, quelque chose la rendait irrésistible, sa beauté semblait sans égale, ses yeux brillants étaient comparable à du quartz noir, une pierre brillante noire. Son visage doux et angélique était si harmonieux, comme si il avait été sculpté par un artiste, le meilleur artiste qui ai existé au monde.

Puis il n'y avait pas que son visage qui était irrésistible, tout chez elle l'était, elle semblait en même temps si seule, recherchant presque quelque chose d'impossible et d'innateignable. Windskyed ne voulais qu'une chose en ce moment même, lui donner cette chose qui semblait si loin. Car elle était tout comme lui, elle croyait aux rêves tout en restant dans une réalité triste et bien incomplète. Mais à deux ils pourraient vaincre tout cela.

- "Oui je vous comprend parfaitement, mais la seule personne qui m'ensoleille n'est autre que celle qui est en face de moi. Ne vous rendez pas compte ce que vous pouvez dégager, cette force, cette gentillesse, et aussi cette chose qui vous rend...unique...vous semblez rêver mais être présente tout à la fois...je suis pareil..."

Il s'était rapproché juste à quelque centimètres d'elle, la regardant intensément, dans un état à présent second et très particulier. Soufflant à chaque expiration dans les naseaux de la jument.

- "Je partagerait ce que vous voudrez, emmenez moi dans vos rêves...s'il vous plaît..."

A présent une flamme était allumée dans son regard, qui depuis longtemps n'était resté que éteinte...

Laissons le monde incertain derrière nous, voguons parmi les gerbes d'écume qui s'enlacent et montent vers les cieux. Prenons notre envol, battons de nos ailes avec ardeur.

Il est des personnes qui n'ont que faire de l'amour et du beau temps. Ils aiment l'orage et la boue, et pourtant, ils ne sauront jamais braver la pluie et les océans comme nous l'avons faits. Ils ne sauront jamais se réveiller à l'aube au chant mélodieux et saisissant des vagues, ils ne sauront jamais apprécier les multiples saveurs de la vie qui nous est donnée. ils ne ressentiront jamais cette force que nous avons en ce moment. Nous sommes prêts à tout, nous sommes prêts à choisir et à partir, sans nous arrêter de chanter nos long poèmes de notes gaies avec nos voix suaves et courageuses. Eux, ils n'ont que faire que d'assembler les mots pour exprimer leurs désirs, ils n'ont que faire de l'amour. Partons loin d'ici, laissons les misérables derrière nous. Tandis que nos navires, toutes voiles dehors, gonflés de vent, partirons loin à l'aventure, Eux, ils seront foulés par les vagues monstrueuses qui nous ont épargné, roulant pitoyablement sur le sol et mourrant au fond de la mer. Alors, nous verrons les immortels. Nous verrons clair en ce monde injuste. Patience, mon grand, allons-nous en, on verra bien ...

Lentement, BlackBerry laissa son souffle brulant glisser sur les naseaux de l'étalon, respirant son odeur et expirant sa tranquilité. Puis, tout doucement, elle alla posa son front contre le sien, fermant ses beaux yeux bruns, continuant leur échange si beau dans sa tête, quittant son beau regard expressif. Elle se sentait lointaine et étrange, sans retenue, elle se laissait aller avec élégance. Elle sentait le désir ardent de l'étalon qui brûlait son coeur, elle le comprenait e voulait le satisfaire. Elle attendit longtemps, très longtemps, pour faire durer ce moment intensif et magique.

- C'est beau, n'est-ce pas ? Ce sentiment qui s'éveille au creux de nos mains attendries, renaissant ardemment, comme si il avait toujours été là ... Cette flamme qui s'anime et à travers laquelle vous découvrez le monde que j'ai créé. Nos subtilités et nos intelligences sont nos meilleurs cadeaux, exploitons-les avec charme. Exhortons l'amour et le parfum des fleurs. notre âme exalte le jour qui se lève éternellement après la nuit.

Elle se tut, redevint silencieuses, ses naseaux tout proches de ceux de l'étalon. ses yeux fermés restaient impassibles. Une bourrasque de vent violente accompagna ses paroles et fit voler ses crins dans l'air frais. Mais elle ne sentait plus le froid. elle ne voyait que la chaleur, l'humanité qui dégageait de l'être en face d'elle. Elle soupira de satsifaction et murmura à nouveau :

- Accueillons notre liberté à bras ouverts comme nous aurions du le faire au début. Effacons le tableau de nos erreurs et traçons notre chemin à la craie blanche. Je veux bien vous enmener.

Battons de nos ailes sans que même le soleil de ses rayons dardant ne puisse nous brûler, car seul notre sentiment est plus brûlant que n'importe quel feu...

Windsked avait vécu tellement de mal, de tristesse et peu de choses bonnes et positives dans sa vie. Puis est venu le jour ou il a oublié avec cette chute, ce jour là ce fût la chute de tant de chose. La chute de ses souvenirs, la chute de sa vie, mais aussi la chute de son être et de sa manière de faire. Une seule chose était resté. Tout comme le désir ardent du feu de bruler, Windskyed voulais ressentir de la joie autour de lui, et il était prêt à tout pour celà, et lorsque que quelqu'un le surprenait comme cette sublime jument devant lui. Quelque chose l'envahissait, une chaleur tellement présente, qu'il voulait à tout prix augmenter cette sensation. Cette sensation de planer au dessu des nuage, avec un soupçon de bienêtre. Tout celà il voulait le partager avec elle ici et maintenant.

Puis lorsqu'elle posa sa tête contre son front, quelque chose se déclencha, un tilt. Il arriva à regarder la jument droit dans les yeux, et vit que celle-çi avait les yeux fermés, elle devait etre tellement dans ses propres rêves ainsi que ses ressentis, mais c'était ça qui était fantastique pour Windskyed, il était lui aussi, avec la jument dans tout les sens du terme. Et le temps passait, Windskyed était si bien comme ça, pour rien au monde il ne voulait faire cesser cet instant, mais la jument se mit à parler de sa voix suave et chaude et à nouveau Windskyed buva ses paroles avec attention et un désir encore inconnu...

Pusi vint l'envie de lui répondre avec une douceur et une attention incroyable :

- "Oui, c'est beau, mais pas autant que la vue d'un être qui ressent tant de choses à cet instant même. Emenez moi...s'il vous plaît à vos côtés...."

Puis le vent se leva, comme pour exprimer son sentiment lui aussi, cet endroit était spécial, et une chose était sur Windskyed ne l'oublirait jamais, car il venait de trouver l'être qui semblait pouvoir le comprendre comme personne...

Il ne voulais faire qu'un avec la jument, c'était la seule chose qu'il voulait a présent : Sa présence...

- "Tu es ma liberté, et je me donne entièrement à ton esprit ainsi que tes ressentis..."

(Désolé à côté de toi je suis pauvre en écriture, si j'avais plus de temps...)

( Arrête donc, c'est un plaisir de partager ce topic, de plus c'est vrai qu'on a pas toujours le temps =) )

Le jour se lèvera toujours après la nuit. Le soleil dissipera les ténèbres et fera briller la vérité. Cet espérance nous suffit, n'est-ce pas ?

Et si tout s'éteignait, et si la lumière disparaissait, et si le soleil ne revenait plus ? Et si la Terre explosait, et si le ciel trébuchait, et si les roches dévalaient la pente vers nous ? Aurais-tu toujours confiance en moi ? J'espère que oui. J'aime l'attention que tu me prêtes, le bonheur que tu me donnes sans retenue, j'apprécie ta compagnie dans mes rêves heureux et sans limites.Le temps nous est compté, le compte à rebours déclenché. l'amour que nous avons reçu en même temps que le don de l'existence, donnons-le en double autour de nous, faisons des malheureux des bienheureux. Nous aurons beau crever dans la poussière à distribuer notre amitié, nous serons ensemble, et c'est ça qui compte. le bonheur, on s'en fout, nous on en a pas besoin, il faut qu'on le redonne, il faut qu'on le redonne ... Là-haut, sur le dome céleste, les anges nous acclameront aux sons de leurs chants joyeux. Nous, on sait comment croire et espérer. Nous, on est déjà heureux. on est pas des égoîstes, on est pas des sal***, viens mon grand, je trouve en toi celui qui peut m'aider. Nous allons battre de nos ailes blanches, toujours courageux, sans succomber à la mort. Mon paradis, tu me demandes de te le montrer, tu me supllies de t'y enmener. Et bien, voilà, on y est. Mon Paradis, c'est toi et moi ensemble, c'est les autres, c'est le flou entre la réalité et le rêve, c'est l'espoir et la croyance de la vie éternelle.

BlackBerry ouvrit prestemment ses yeux, découvrant ses prunelles noires et profondes, son regard vif et bienveillant. Elle recula légèrement sa tête dorée, l'observa attentivement, avec tact, sans briser le charme qui s'était installé dès les premiers pas. Ses courte oreilles étaient pointées vers lui, son encolure arquée naturellement, un sourire mystérieux et vrai sur ses lèvres noires. C'était beau, c'était beau. Pouvoir ressentir tant d'émotion face à un simple tête-à-tête, face à une évaporation, une fusion entre deux êtres sui semblait durer une éternité. C'était beau, beau à en mourir.
On aurait pu distinguer, deux gouttes humides au bord de ses beaux yeux, brillant avec détermination et joie. La fragilité n'existait pas. L'amour, qui est notre plus grande faiblesse, est également notre plus grande force. On ne peut pas peser le pour et le contre. On a juste à faire un choix, à donner un sens à notre envie. Si on a foi en quelquechose, si on se bat, si nous avons des raisons et des buts, la vie, c'est beau.
Je veux que nous fassions prendre conscience aux autres, que ce moment avec toi, c'est possible. Que tout le monde peut connaitre l'amour et l'espoir. Ne jamais gâcher la chose la plus précieuse que nous possédons.
Allez, viens, je t'enmène ...

- Si tu le veux, marche avec moi. Cours avec moi, défie le vent, confonds liberté et amour. On se bat jusqu'au dernier souffle, jusuq'à la dernière seconde. On se battra toujours.

On aurait pu voir plus belle détermination, plus grande puissance. Je vous l'avais dit, elle est étonnante ... Et vous ne savez surement pas à quel point, puisqu'il n'y a pas de limites ...

Ce qu'il me suffit, c'est de voir un bonheur s'évaporant avec douceur de ta tendre personne. Mais voir ainsi le soleil dissiper les ténèbres et ramener la vérité, est exactement la chose que tu viens de faire pour moi....

Le regard sombre, l'esprit comblé par le vide du néant. Un néant aussi noir que ténébreux, sans espoir de retour. La tristesse était omniprésente bordé de quelque fines gouttelettes fictives de colère et une noix de désespérance qui ne cessait de s'étendre tout comme une armée des ténèbres prête à envahir le vide qui s'était installé.

C'était en effet ce qu'il se passait, et ce qu'il commençait à se produire dans l'esprit torturé de Windskyed depuis qu'il avait perdu la mémoire. Non seulement tout son bon être avait disparu, mais aussi ses souvenirs qui faisaient de lui un être heureux. Ce qui avait survécu à sa perte de mémoire, c'était la peine enfouie ainsi la souffrance mortelle et brulante à petit feu la personne qui en était victime, qui restait dans son esprit.

Mais tout cela s'était envolé, évaporé littéralement balayé comme un brouillard du matin dégagé par un vent intense. Désormais Windskyed y voyait clair, c'était le regard de cette jument qui l'avait éveillé, qui avait ramené ce bien être, cette force d'aimer, cette force de se battre pour ce que l'on veut et non pour ce que l'on doit être. Cette force de tout faire pour procurer cette même joie pour ceux que l'on aime et que l'on chéri à cœur d'âme. C'était elle, ce concentré de sentiments positif ainsi que de beauté sans comparaison qui l'avait ramené à la raison à le seconde même ou son regard avait croisé le cristallin de la jument, non pas cet organe situé dans l'œil, mais ce regard de cristal et pur qui dévorait tout mal en l'étalon frison.

Windskyed voulait partir avec elle, leurs prouver à tous que le proverbe dis vrai : Ce sont les 5 première minutes qui, souvent, dicte la relation qu'entretiendrons deux êtres dans un proche avenir. Dans la situation présente, c'était tellement fort, que l'étalon ne pouvais plus la quitter du regard, comme ébloui par une lumière nouvelle et forte, la lumière du bonheur. Je te suivrai où tu iras, jusqu'au bout du monde, qu'il soit plat ou rond, même si il s'arrête brutalement et qu'un gouffre sans fond annonce l'imminence de la fin d'un temps. Toujours avec toi désormais...je serais...

Une parole vint illuminer le visage de Windskyed pourtant déjà tellement bordé de chaleur et de douceur, ainsi que de détermination, comme celle de la jument en face de lui :

- "Je marcherai, je courrai, défiant toute chose même si elle n'est pas réelle et qu'elle dépasse l'entendement. Jusqu'à mon dernier souffle, je resterai à présent...au bout du temps et de l'espace, je ne veux que votre regard et votre présence à présent..."

Windskyed n'était plus vraiment lui même, il se laissait à présent complètement emporter par ce sentiment si fort et puissant que lui donnait la présence de la jument...c'était si puissant...mais si tendre. Windskyed n'avais jamais été comme ça auparavant, jamais...

Allons donc, tais-toi, et écoute.

Le silence est d'or, n'est-ce pas ?

Je ne suis pas une sorcière, je ne suis pas une vile manipulatrice qui empoisonne ton coeur pour parvenir à ses fins. Je sais, tu as vu plus en moi que tout ce qu'on a pu t'offrir sur cette terre, tu as partagé mes souvenirs et mes rêves sans retenue, tu t'es introduit dans mon monde sans payer de ton sang, je t'ai laissé scruter les moindres rebords de mon univers. Mais pourquoi t'attacherais-tu tant à moi ? Pourquoi ? Il y a des merveilles que je ne pourrais jamais t'offrir, ne me les demande pas, ne me suis pas. Je t'ai renconduit sur le chemin du bonheur, je t'ai remontré l'espérance. Mais moi, je ne marcherais pas sur le même sentier. Non. Va, à présent, cours, file avec le vent qui t'hurlera mes pensées agonisantes. Je te l'ai dit, tout le monde a un but sur terre. Ton destin n'est pas avec moi. Je suis seule, pour toujours. Marche dans mes pas, mais j'aurais toujours une longueur fininie d'avance. Ainsi va la vie, les déceptions que je t'inflige sont pour ton bien et je n'oublierais jamais, jamais ce qu'on a vécu ensemble pendant quelques minutes qui me parurent plusieurs existences. Mais, tu dois comprendre, le temps nous est compté. Je t'ai tout appris. C'est l'heure des adieux, je te reverrais là-haut, dans très longtemps, je t'attendrais sagement, et tu me parleras de tes subtiles aventures.

Ainsi se termina le rêve, ainsi renaquit la vie.
Le fils du Ciel et l'Ange des Océans s'éloignèrent, les yeux brillants, le coeur gonflé.

Une bourrasque de vent s'engouffra brutalement dans les arbres. les troncs se tordirent, les feuilles lachèrent prise, le ciel gronda. L'Automne arrivait, prenant le relais de son cadet, lissant le terrain pour son aîné. Il colora les feuilles, assécha les racines et les herbes, gonfla les nuages d'eau et encouragea le soleil à disperses ses derniers rayons chaleureux. Alors, le monde devint orange. Tout change, tout change toujours.
Je t'ai laissé espéré jusqu'à la dernière seconde, je ne pense pas que tu m'en veuilles. Je t'ai dit, c'est pour ton bien. Je t'oublierais pas ...

Lentement, BlackBerry détourna son regard enflammé de celui de l'étalon, silencieuse, et fit quelques pas en arrière, pour finalement se déporter lourdement sur le côté et lui tourner le dos. Une douce chanson, claire, semblait sortir de sa fine bouche. Portée par le vent, elle bondissait sur les reliefs et semblait toujours aussi présente et forte. Claire et belle, elle nous transportait tous vers les rêves qui nous étaient si chèrs ....

Ainsi va la vie ...

[ désolé c'est une peu nul >.< =) ]

(Méeu c'est pas gentil ça^^ mais bon en même temps chaque rêve à une fin.)

Oui en effet, chaque rêve avait une fin, mais pourquoi comme ça. Pendant quelques minutes il avait cru que toute sa peine et toute sa souffrance s'était envolé grâce à la fusion de l'esprit avec cette jument qui était en ce moment même avec lui. Mais quelque chose se passa. Tout redevint noir, et tout redevint normal. Le lieu où ils étaient était de nouveau là, la magie s'était envolée pour de bon, puis il avait cru ressentir à ce moment, une sorte de pensée de la jument qui semblait dire qu'il était mieux qu'ils restent séparé, que leurs destins n'était pas ensemble. Soit, il n'insisterait pas, ce qu'il voulait c'était le bien être de cette jument qui était en face de lui, maintenant le dos tourné pour se préparer à partir. Mais il savait pertinemment qu'elle ne serait pas tout le temps seule, vu sa personnalité plus que particulière, elle ne serait surement plus seule très longtemps.

Mais le seul bien que j'ai eu dans ma vie était simplement ce temps, ces quelques minutes que j'ai passé en ta présence, personne ne m'avais donné tant de merveille dans ce monde, personne lors de mon retour ne m'a donné tant de force, tant de choses à partager en quelques minutes, qui comme tu le penses si bien, firent l'impression de plusieurs existence. Tu m'as déjà offert ces merveilles que tu m'a si bien fait ressentir...

Part si c'est ce que tu souhaites, je ne marcherait pas sur tes pas, mais un jour je saurai si tu es dans une situation de peine, et j'accourrai pour t'aider au prix de ma vie si il le faut....

Windskyed ne bougea pas, attendant le moment propice pour qu'elle s'en aille, elle voulait de la liberté, seule, c'était pour le moment la seule chose qui semblait la rendre si forte. Alors Windskyed ne s'opposerait pas à ce choix, et il ne lui en voulait pas du tout, c'est juste que tout ce temps sans une présence aussi apaisante que la sienne, sera maintenant un temps si long...

- "Adieu, douce Blackberry, puisse la vie te profiter, mais je ne serai jamais loin et serai toujours prêt à t'aider si jamais il t'arrive quelque chose."

Windskyed regardait l'horizon à présent, l'esprit redevenu aussi vide qu'avant, laissant tout de même une place pour le souvenir de ce qu'il venait de se passer...jamais il n'oublierait la vue d'un être aussi beau, la gentillesse omniprésente et la force des sentiments qui sommeillait en elle...c'était si beau à voir...

Mais à présent, il semblait que chacun faille devoir faire sa route...

( Qui parle de fin ? )

La fin n'existe pas. Le début persiste à nous donner raison.

Une fin ? Qui parle de fin ? Qui parle d'ombre et de retour au vrai ? Je n'ai jamais mentionné cela, jamais je n'ai voulu t'infliger de douleur. Tu verras, plus nous serons séparés, plus je serais présente avec toi, dans toutes tes péripéties. Je serai là pour te relever lorsque tu trébucheras, je serais là pour essuyer tendrement tes larmes, je serai là pour t'empêcher de dévaler la pente. Mais je ne choisirasd pas à ta place, je ne t'imposerai pas un chemin. Ton coeur, je l'ai ouvert, il est prêt, tu es prêt, je t'ai donné les plus belles choses que j'ai, je t'ai offert tout mon amour. Ce n'est pas la fin. Ce n'est que le début, mon âme bienheureuse te souhaite beaucoup de bonheur, mais ... Je n'ai pas fini. je n'ai pas de limites, je ne veux pas m'arrêter là. Tu sais, toi, tu es tellement différent, tu es tellement beau et pur. C'est comme si j'avais pus, pendant un instant, me confier, me reposer sur ton épaule, délivrer mes secrets et mes buts. Je ne compte pas partir pour toujours. Mes chansons allégrantes viendront toujours sonner doucement à tes oreilles, mes notes claires et gaies éclaireront ton esprit. J'ai en vu en toi plus que tu ne le crois, va donc, mon grand va donc, n'aie pas peur. je te retrouverais plus tôt que tu ne le penses. Alors qui sait ce que nous deviendrons ? Allons donc, laisse la vie couler comme il se doit, je t'aime bien, tu sais ... J'taime bien ptit gars ...

BlackBerry, les yeux brillants d'émotion, et remplie d'un étrange sentiment, intensifia brusquement sa voix et la laissa jaillir sublimement de sa gorge, déversant des cascades de sons et de mélodies merveilleuses ... Elle se sentait vibrer d'amour et de bonheur, regardant loin l'horizon, percevant presque une grande et belle tête noire d'étalon sauvage au loin ...

" Je ne doute pas de toi. Et bien ... Au revoir."

sa gorge se serrait presque, elle était paratgée entre une certaine tristesse et une émotion merveilleuse, elle se sentait légère, libérée. Alors, refusant de laisser un mystère qu'elle seule comprenait, péréfréna tse laisser aller doucement dans ses bras ... Peut-être pouvait-elle attendre jusqu'à la nuit ... Après tout, pourquoi se presser ainsi ?
Lentement, elle s'arrêta, tourner sa belle tête dorée, le contemplant de ses grands yeux bruns, un regard vague et rêveur dans les yeux.

Douce espérance. J'aimerais prendre ta main dans la mienne ...

(Oups désolé^^)

Le jeune Windskyed restait là, le regard vers le sol, pensant alors qu'elle partirait pour de bon, et qu'il ne la reverrait que dans ses propres rêves en général dénués de tout sens et de toute chose positive. Mais ce qu'elle disait était peut être la vérité, mais c'était tellement dommage, il venait de rencontrer quelqu'un qui était comme lui. Une personne tellement belle en elle et dans ses manières de faire. Je ne veux pas te ralentir si ton âme a besoin de ça pour atteindre son paroxysme en bonheur, je ne peux que te laisser partir...

Tu es belle, douce, le son si doux qui s'échappe de ta gorge est si parlant, si criant de vérité, je n'avais encore jamais vu ça, je ne pouvais que me laisser bercer par ce son presque paranormal et attendrissant. Il ne pouvais plus la quitter des yeux, c'était impressionnant, ce que le temps pouvais faire, même si c'était court, il pouvais y avoir un flot de sentiments et ressentis énorme. Je ne pourrait jamais t'oublier, tu t'es incrustée, tu as serti mon être de ta présence, tout comme l'on peur sertir un rubis dans une épée, pour qu'ils ne forment plus qu'un et qu'à jamais ils restent ensemble. A jamais tu pourras te reposer sur mon épaule doux être de la nature. Je pourrait supporter des montagnes pour toi, même les plus lourdes...

- "Heu...att......"

Mais il n'avait pas eu besoin de dire quoi que ce soit, visiblement elle s'était retournée, le regardant à nouveau de ses deux perles noires d'encre, irrésistibles d'ailleurs.

Windskyed s'avança alors vers elle, s'arrêta alors à quelques centimètres de son visage et lui dit simplement cette chose là :

- "Que comptes tu faire...si tu pars, laisse moi juste te dire Au Revoir...c'est tout ce que je te demanderai..."

Son regard était si expressif, que cela était presque irréel, jamais Windskyed n'avais eu pareil regard aussi sentimental et sensible...

- *Je te donnerai tout ce que je possède, toute ma vie...* Pensa-t'il...

(Désolé, le temps me manque un peu^^)

upinou ^^

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Who want a gold Angel ? ... Try forever ...

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