*] Fuego redressa sa tête, un bruit de sabots l'avait révéveiller, cela lui prit quelques instant avant de remarquer une jument a la robe pommelée. Il ce leva maladroitement, son corps semblait trop grands pour lui, mais il savait faire preuve d'élégance. Il fit quelques pas vers la jument, souple et vif. La jument aussi l'intrigait, il n'avait rencontrer que très peu de chevaux a présent. Il stoppa net, leva la tête et l'observant tous simplement. Il n'était plus sur de lui, depuis la trahison d'Élysa et de sa tranformation, mais cela il ne le laissa pas paraître. Ses yeux marron ne laissait transparaire aucune émotion. Il secoua sa longue crinière qui lui barrait la vue, comme il l'avait souvent fait auparavant. Il se souvena alors d'un phrase que sa mère lui avait tant répété autre fois...

*On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prend pour l'éviter .*

*)Fuego regarda les alentours, toute sa vie il avait essayer de déjouer le destin et avait essayer par tous les moyens de faire se qu'il voulait et non faire ce que les autres voulait. Il piaffa et regarda de nouveaux la jument. Il n'avait jamais vraiment observer les juments et il la trouva fort jolie. la respiration de la jument était rapide, signa qu'elle avait beaucoup couru. Il décida alors a aller a sa rencontre, arrivé a ses côters il ne su trop quoi dire. Il avait en réalité perdu l'habitude de dialoguer avec les humains... euh... chevaux. Mais il réussi tous de même a bredouiller ses mots.
- Fuego, enchanté.
Il fit un signe de tête, pour la saluer. Un mince sourir c'était dessiner sur ses lèvres, pour un fois il sentait bien. Peut-être que la compagnie d'autres chevaux qu'il avait tant refuser, ne l'avait pas aider a s'accepter ?

Fuego regarda la jument grise qui ce nommait Antartica. La jument ne laissa paraître point d'émotion en ce présentant. Elle était un peux comme lui, mais lui c'était son regard qui était impénétrable. Il savait très bien que l'intrigue avant gagnier la jument, il était habituer a se regard que tant de chevaux lui avait lancé. Souvent il avait pitié de lui, mais Fuego détestait la pitié, il était comme ca point ! Puis la jument lui posa une question, une qu'il avait mainte fois entendu auparavant. Il soupira, allait-elle le croire s'il lui avouait ?

- Je viens d'un ferme a plusieurs kilomètre d'ici...

Dit Fuego simplement en ne précisant rien. Sa voix était a présent contrôler et ne laissait paraître aucunes émotions. Peut-être que la jument ce contenterait de cette réponse ou elle irait plus loin =) . Un sourir discret apparut au coin de ses lèvres, il la testait. Fuego voulait savoir si elle pouvait comprendre.

La jument ne savait pas ce que c'était une ferme ? Il fronca les sourcils. Comment lui expliquer... Il réfléchit pendant quelques minutes, cherchant la meilleur manière de lui expliquer... Il l'entendit alors lui demander si il était menteur... Non, pas menteur... Il avait seulement pas préciser qu'il vivait a dans une ferme, mais qu'il était humain et non un de ses animaux de campagne !

- Hum... Oui, mais a des centaines de kilomètre... Tu sais une ferme ses un batîment ou il y a des chevaux, des prés... Moi je viens de là, je suis né chez les humains... Je suis... j'étais avant... un humain...

Fuego regarda la jument, elle ne la croirait pas et elle le traîterait de menteur... mais cela était la pure vériter, ses yeux était plonger dans ceux de la Antartica, qui serait capable de mentir en regardant l'autre dans les yeux ? Il baissa la tête, et attentit ouvert a tous évantualiter de la par de la grise.

- Tu n'est pas oubliger de croit ca, je comprendrais...

Il resta là sans bouger, près a partir si la jument ne le croirait pas. Il comprendrait a près tous, s'il se mettait a la place de la jument il n'aurait cru point ses mots.

Fuego regarda Antartica reculer d'un pas, cela ne le surprena pas. Puis elle s'excusa, il redressa sa tête, c'était normal qu'elle réagit comme ca, elle était tous a fait excuser, même que si elle serait partit au galop, elle n'aurait pas eux a s'excuser. Malgrès les air solide de Fuego, il était en fait comme tous les autres, sensible, mais ne le montrait jamais, ou presque... Il ce rappella alors de la jument qu'il avait aimé autre fois, celle qui portait son poulain... Non tous sa était le passé ont ne peux revenir en arrière !

- Tu n'as pas a t'excuser... J'aurais du te l'annoncer du manière... Différante, moin net.

Elle lui demanda comment ca lui était arriver. Il prit une grand respiration ferma les yaux et demanda :

- Mon histoire est longue et sinitre. Es-tu prête a l'entendre ?

Il ré-ouvrit ses yeux, regarda Antartica, il n'avait jamais raconter son histoire a personne, il s'était souvent crée une histoire qu'il avait rencontré a plusieurs chevaux. Les yeux de l'étalon étaient a présent sombre, son destin, malgrès tous se qu'il avait fait pour le contourner l'avait rattrapper. Même son passé qu'il croyait mord et enterré.

Fuego sourit amicalement a Antartica, elle voulait entendre son histoire et pas pour lui faire plaisir, parce qu'elle le voulait vraiment ! Son passé était peut-être dure et l'avait fait souffrir autrefois, mais aujourd'hui il était prêt... prêt a vider son coeur, peut-être qu'après avoir partager ca avec la jument, il se sentiras mieux qui sait... Il prit une grand respiration, son regard prenait de la couleur et sa voix fut moin hésitante a mesure qu'il dit ces mots:

- La vie a toujours était facile pour moi. Je claquais des doigts et j'avais tous que que je voulais. Je ne donnais jamais rien ou même prêter un vieux jouet, donc je ne me servait même plus. Mais je grandis normalement ou presque... jusqu'au jour de mes 19 ans.

Il prit une courte pause, il voulait se rappeler de tous ce qu'il avait vécu a partir du jours de ses dix-neuf ans. Avant cela, rien de spéciale ou intéressant ne c'était dérouler, comme presque tous les enfants gâter. Son regard fit le tour de la plaine, mais ne portait pas vraiment attention a ce qu'il l'entourait. Ses yeux marron se reposait sur Antartica et il continua son dialogue;

- Je venais d'avoir 19 ans et moi et quelques amis ont était sortient dans un bar. La soirée avait été enivrante et endiablé. Mais dans la soiré je rencontra Élysa, une charmante jeune fille.

Fuego grimaca en prononcant ses mots:

- Je peux dire qu'elle m'avait charmer... Et comme si elle s'avait que s'était mon anniversaire, elle me donna un pendatif... avec un cheval... Ce soir là fut la fin de mon ancien vie et la naissance d'une autres.

Il regarda Antartica, suspendant son récits, voulant savoir si elle avait des question a lui poser.

Voyant que la jument ne disait rien, Fuego attentit avant de recommencer a parler. Le vent souleva sa longue crinière d'hébène. La brise aussi douce soit-elle le réconfortait. Elle l'écoutait, son visage gris avait perdu de la couleur et était presque blanc. Il la regarda quelques instants. Avait-il fait le bon choix en lui en parlant ? Il avait commencer et il devait la finir... Il recommenca alors a parler doucement.

- Alors vers minuit j'alla me coucher. Toutes la nuit j'entendis d'étrange bruits de criquet, de grenouilles... Je me réveilla le lendemain, la lumière du soleil m'avait aveugler... Le soleil ? Comment arrivait-il a passé parmis mes rideaux fermer en sois ? J'ouvris un yeux puis les deux, j'était coucher dans la pailles, dans un box ! Je me leva, mais une chose étrange ce produit, deux sabots passèrent de chaques côter de ma tête ! Élysa était là toute souriante, m'enfilant un licou et une longe, elle m'entraîna hors du box, malgrès moi. Mais dès que je fis dehors je me cabra et m'enfuis au galop.

La rage envahissait le regard de l'étalon, même sa voix trahissait la fureur qu'il avait eu ce jour là. Il ferma les yeux essayant de se calmer.Se regard redevenit calme, Fuego avait reprit le dessu sur ses émotions sombres. Il en était a la dernier phase de son récits... Celle d'Ambre... Était-il vraiment prêt a lui confier toute ses erreurs du passé, même les plus sombre de sa vie équine jusqu'a présent ? Après une légère hésitation il dit:

- Après quelques semaines je rencontra Ambre. Une jument... rouanne. Dès le premier regard, mon quelque chose me dit que je pouvais lui faire confiance. Les semaines passèrent et j'appris beaucoup d'elle, mais je n'étais pas près a me confier tous a fait... Ambre aussi avait été comme moi... Humaine... Plus les semaines passèrent plus je l'appréciais et comme de faite nous tombèrent follement amoureux... et les chaleurs arriver... elle porta mon poulain, que je n'aurais jamais connu... car quelques jours plus tard il n'étaient plus de ce monde ( par ma faute) ... Maintenant je suis ici.

Fuego regarda Antartica, il avait préférer ne pas préciser comment était morte Ambre. Ce qui avait été fait était fait, point.

Fuego sourit gentiment. Personne ne lui avait jamais dit ses trois mots, jamais. Soyez plus fort que votre passé et le futur vous accordera peut-être une chance, pensa-t-il. Fuego se demanda ce qui serait arriver si Opale et son poulain serait encore en vie... La vie, si fragile sois-t-elle... Il fallait la prendre du bon côter et non du mauvais, chaque moment est dernier, car il est unique... Il regarda Antartica, se demandant qu'elle était son histoire a elle.

- Et toi... D'ou viens-tu ?

Demanda Fuego en la regardant. Il ne voulait pas la forcer a avouer, seulement apprendre a la connaître et l'aider en même tant. Tant de gens et animaux avait souffer par le passé et beaucoup d'autre souffriront dans le future. D'après Fuego, les obstacles que la vie avait mit sur son chemin, était pour le tester, tester sa soif de vivre, réapprendre que dans la vie ce n'est pas que l'argent qui compte...

Fuego l'écouta attentivement, même si dans sa vie il ne c'était passé rien de ''magique'' comme une transformation, son histoire l'interèssait. Qaund elle eu fini, il la regarda, Il ne la trouvait aucunement bête au contraire. Lui aussi connaissait ca, plusieurs mâle disparaissait subitement sans aucune trace et il trouva cela idiot. Il faut assumé ses actes tous de même !

- Tous le monde n'a pas un passé comme moi...

Dit-il en la poussant gentiment du bout du nez, voyant son expression. Le soleil ce coucha peu a peu, laissant place au ciel orangé et rose, tous a fait manifique. Fuego leva les yeux vers le ciel. La nuit arrivait... Un légè sourir vit s'intaller sur ses lèvres sombre. La nuit il veille, la lune l'éveille. La nuit était sans doute son moment préférer de la journée, rien n'égalait la sensation qui l'hantait, la liberté... La chaleur accablante avait baissé, n'y froid n'y chaud, elle était tiède et réconfortante. Fuego reposa ses yeux poupre sur Antartica.

Le ciel s'assombrit peu a peu, laissant place au ciel encre et ses étoiles scintillante. Ils restaient là, sans parler n'y bouger, regardant le ciel étoilé. Il sourit, c'était une des première fois qu'il remarquait, que les étoile brillaient beaucoup plus en pleine nature qu'a la ville. Il ne regrettait plus son passé a présent, ou de moin pour l'instant. Dans ses yeux brûlait sa soif de vivre comme jamais. Un étoile filante passa, et il fit un veux... Entre le rêve et là réalité, il n'y a qu'un pas... Et a force de vivre dans l'imaginaire, celui-ci devient réelle. Il regarda Antartica, il se sentait lui aussi petit face a la mer d'étoile au dessu d'eux. Mais c'était ca que Fuego aimait de la nuit... L'impression de n'être plus seul, accompagnier des étoiles et de la lune éclairé.

- De rien...

Dit-il doucement en observant. Dire qu'il était passé a côter de tant de chose quand il était humain ! Si il aurait la possibiliter de revenir en arrirère, il ne le ferait pas, plus a présent.

Fuego regarda la plaine, il ne restaient que quelques chevaux. Tous était calme, même les criquets s'étaient tus. La robe des deux chavaux étaient parsemé de rayons argents. Fuego reposa son regard sur Antartica et croisa son regard. Puis il la regarda faire un pas vers l'avant et sans hésiter, il fit de même. Tous était obscur et les arbres projectait leur ombres sinistres sur le sol. Fuego sentait monter en lui la liberté, le goût de l'aventure. Il sourit en suivant Antartica, regard les environs. Il y avait un bon côter a être un équidé, il voyait dans le noir... Les oreilles pointées il avanca lui aussi vers l'inconnu.

Les étoiles scintillaient comme jamais et la lune rayonnante offrait un spectacle hors du commun. Combien d'humains payeraient pour voir un spectacle si fabuleux... Voîla pourquoi le grand bai aimait tellement la nuit...

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