Ecraser Le Bonheur
Dans Une Petite Cuillere

Il suffirait d'un mot, d'un geste, de quelques douces paroles pour croire à la vie et à l'amour ; certains on la chance de connaitre sa, la chance ou la malchance pour d'autres. Comment être heureux quand quelqu'un vous colle sans cesse, en vous enervant avec ces phrases qui n'on aucun sens, à vous gueuler dessus dés que vous parlez avec quelqu'un, c'est sa la libertée ? Apres tout l'amour c'est comme la vie, chacun en as sa vision. Ma vision de l'amour est froide, grise. Pour moi l'amour n'existe pas, ce n'est qu'un mot parmis tant d'autres dans un dictionnaire ; en gros il n'a aucun interet, sa ne me rapporte rien.

Mes sabots s'enfoncant dans la terre boueuse, projectant quelques particules de terres sur mes jambes musclée avancant au rythme d'un petit trot souple. Mes crins volant au rythme de mes foulées, soulevé par l'air doux qui souffler dans ses steppes. Au moins dans ce lieu j'étais sure de ne croiser aucun de ses créatures a deux pattes, je l'ai avait déjà beaucoup trop connus. Cet endroit étais trop dangereux pour eux, trop boueux aussi, il ne fallait surtout pas qu'ils se salissent leurs deux uniques jambes.

J'avait trés bien sentie une deuxiéme presence dans ses terres, surement un loup en quete de nourriture à se mettre sous la dent. Je pouvait le paraitre mais j'étais loin d'être une proie facile, je n'utiliser pas seulement la force pour fuir, non il y avait un tas de toutes autres ruses derriere cella. Mes fines oreilles marron se plaquérent encore un peu plus contre mon encolure mais je n'accelerait pas le pas pour autant, un loup est assez malin pour attraper un cheval que ce soit au pas ou au galop alors à quoi sa sert de se fatiguer ?!
Mes yeux bouger sans cesse pour tenter d'appercevoir la moindre forme canine mais il n'y avait aucun air d'affolement dans mon regard.

L'amour Est Une Epine Empoisonée
Dont On Ne Guerit Jamais.



Certaines personnes disent que l'amour n'est que le debut d'une mort atroce et souffrante. Ces personnes là ne sont pas phylosophes, elles sont justes réalistes et ne sont pas naïves comme beaucoup d'autres personnes qui tombent dans ce piège infernal dont on ne sort jamais une fois entré, c'est comme un tourbillion infernal, plus on se débat et plus on s'enfonce et il est impossible de s'en sortir sans sequelles.
Les personnes les plus stupides disent que l'amour permet de vivre, que l'amour est un oxygéne indispensable à la vie d'un individu ; un jour ces personnes ouvriront les yeux sur le monde et deviendront l'autre genre de personnes qui sont réalistes mais elles tomberont surement de trés haut. Ce qui est vraiment indispensable à la vie ce n'est certainement pas l'amour, de l'air, de la nourriture, de l'eau ; avec ces trois seules choses on peut vivre sans problemes et surtout sans aimer qui que ce soit.

Mes naseaux dilatés venait de sentir cette fameuse odeur de loup se rapprocher, un grognement confirma mon doute, surement que cet animal venait de se faire piquer par une des centaines d'épines qui formaient la steppe. En regardant plus attentivement je pouvait percevoir deux yeux jaunes se distinguant dans cette nuit noire où seules les étoiles et la lune donnait un peu de lumiére. Je fixa quelques secondes ses yeux vifs et malin puis je fit ronfler mes naseaux, continuant mon chemin comme si ne rien n'étais. Certes ce loup avait l'air malin mais je ne m'inquieter pas pour autant pour moi ; de plus, j'étais trés resistante.

Nous Avons Tous ;
Nos Rêves En Commun.




Les bipédes disent toujours que la vie est marquée de trois évènements principaux : La naissance, l'amour et la mort.
Ces trois parties font souffrir a par peut - être la naissance où l'on arrive dans ce monde, beaucoup de souffrances nous attend.
L'amour ; j'en ai déjà parlée, pour moi il n'existe même pas, ce n'est qu'un mot, aucun ressenti.
La mort, bah oui forcement elle n'est pas là pour faire du bien même si il faut dire que certaines personnes aiment la mort, aiment voir les autres mourir et souffrir devant leurs yeux fier, leur dents aiguisées degoulinant encore de sang.

Ayant presque oublier la presence du loup, j'accelera mon trot pour passer dans un petit galop souple ; faisant apparaitre tous les muscles de mon corps entretenus par de nombreux combats.
Je posa mon regard sur ma plaie, elle s'étais maintenant arretée de saigner mais une belle cicatrice avait fait son appararition, une de plus ou de moins de toutes facon. En continuant mon chemin je vit un tronc d'arbre couché au sol et je stoppa ma course brusquement, fixant ce tronc et ma rapellant de la championne que j'étais en saut d'obstacle avec les humains. Cella ne me faisait pas souffrir, loin de là, j'étais heureuse d'être partie mais cet épisode de ma vie resterait a jamais gravé.