Le Jeune Alezan trottait dans la poudreuse de la plaine, ses fines oreilles, droites, dressées sur sa tête, sa longue liste rappelais la blancheur de la neige, ses moustaches étaient parsemée de petits flocons, la neige commençait à tomber doucement sur l' étalon roux. Il secoua sont encolure, faisant volé les froids flocons lui mouillant l'encolure. Il ronfla bruillament, cassant le silence d'acier qui régnait au auparavant. Ses sabot d'un noir de plomb s'enfonçait dans la fine neige couvrent le sol, lui glaçant la sole. Sa queue, porté haute, en panache était toute ébouriffer et parsemée, elle aussi de fins flocons blanc, la faisant comme pailletée. Il arriva au niveau de l'arbre, se stoppa. Les naseaux contre le sol il souffla la neige, les oreilles plaquées contre la nuque, sa robe était encore parsemée de neige et humide. Il tapa de l'antérieur, secoua de nouveau sa fine encolure brune. Redressa la tête et scruta le paysage de ses grand yeux noisette, intrigué. Il venait de découvrir ce qui lui arrivait, il n'était plus humain.. Il était devenue un équidé trapu. Sous un vieil arbre pelé, il avait vu le jours blanc; s'était levé tremblant tel un poulain nouveau né. Apeuré, il avait tanter de parler, de long cris rauque était sortit de sa gorge, il ne comprenait pas, il était allongé dans son lit, puis il se réveillait, ici, seul. Abandonné. Il avait donc décidé de partir, avant de mourir de froid dans cette froide neige. Et il avait trotter, ainsi durant une bonne heure, sans trouver le moindre signe de vie, et commençait à fortement s'inquiéter, et la faim lui lacérait le ventre. Il posa délicatement ses genoux au pied de l'arbe mort, et s'allonga. Il posa sa lourde tête sur le sol froid, les naseaux lâchant un fin nuage blanc dans l'air glacial de l'hiver.