Un hennissement résonna. Une jument au corps mince, blanc et couvert de cicatrices surgit à l'horyzon. Elle monta en haut d'une colline, et se dressa, observant les paysages avoisinant. Elle poussa un léger soupir, et se redressa à nouveau. Elle scruta conscencieusement les horyzons, comme si quelque chose la suivait.
Isba était méfiante. A l'approche d'un animal, elle était sur se gardes. Au moment de s'endormir, elle était sur ses gardes. Un étrange bruit résonnait, tel un bruit de pattes, qui marchaient doucement derrière elle. Un fauve était-il en train de la suivre ? Elle n'en savait rien. Mais au fond d'elle, elle cachait un terrible secret.

Isba choisit de se fondre dans le décor, et chercha à approcher les chevaux qui étaient dans le coin. Se propulsant de tout son corps en direction de cette sorte de troupeau, elle bondit auprès d'eux. Elle n'aimait pas trop être au sein d'un troupeau, mais celà lui valait au moins la protection. En fait, Isba n'aimait pas non plus qu'un cheval l'importune. Elle n'aimait pas vraiment la compagnie des autres, mais elle se dit qu'elle devrait s'y habituer... Elle soupira, mais était satisfaite : elle avait trouvé un troupeau assez calme, mais allaient-ils l'accepter ? Tête et queue hautes, elle s'approcha d'un trot élégant, cherchant à charmer ces ames pures. Mais son physique était trompeur : elle était si gentille et douce qu'elle en avait l'air, mais au fond d'elle seulement ! Les longues cicatrices parcourant son corps fin laissait imaginer le lourd et terrible passé d'Isba. Elle était mystérieuse, son regard était rempli de haine, mais d'une douceur éxtrême pourtant.

Son regard parcourut le troupeau, dont quelques chevaux levèrent la tête.
Elle hennit, comme pour demander : "Suis-je admise ici ?".
Elle éspérait un accueil chaleureux et super, mais ces chevaux, inconnus à elle, allaient-ils l'accepter ? Ca, c'était à eux de le décider !

Isba vit, au milieu des chevaux regroupés en cercle, une ombre. Elle approcha d'un pas calme mais dur. Les chevaux s'écartèrent à son passage, remarquant la puissance de la jument. En voyant ses nombreuses cicatrices, ils reculèrent encore. Isba croisa le regard de quelques chevaux, qui tentèrent de découvrir l'expression de ces yeux à la couleur des amandes. Elle s'arrêta, et guetta la jeune fille, allongée au sol. Elle tapa du sabot, recula, ravança, s'ébroua et cabra. Elle poussa un hennissement, déchirant l'air de ses puissantes machoires qui claquaient lorsqu'elle hennissait. Comme pour montrer sa colère, de vois uune humaine, elle retomba lourdement sur ses antérieurs, et pencha la tête tantôt à droite tantôt à gauche, montrant les dents aux chevaux, qui reculèrent. Un étalon approcha, visiblement en colère. Il cabra et, comme pour tenter d'agresser la jeune fille, allongée, il fit claquer ses puissantes machoires, tentant de faire tomber ses puissants antérieurs sur elle. Isba, elle, ne savait pas ce qu'était l'amour. MAis cette humaine avait l'air aussi perdue qu'elle. Telle une étincelle, elle cabra, et poussa violemment l'étalon. Il tomba à terre, et Isba, comme prise d'une force et d'un courage immenses, se plaça devant la jeune fille, montra sauvagement les dents, pour empêcher quiconque de la toucher. Ce après quoi elle cabra, battant furieusement des antérieurs. Les chevaux, éffarés, s'enfuirent au galop. Isba souffla, et se retourna auprès de la jeune fille. Et, elle posa une question qu'elle n'avait jamais posé... "Ca va ?".

Et si l'amour avait jaillit en elle ? Elle ne le savait pas...En tout cas, pas encore...

Je ne savais pas ce qui se passait autour de moi, j'entendais des hennissement de rage et de colère puis le bruit d'une bataille et plus rien. Je décida de rouvrir les yeux pour voir ce qui se passait. Je vis devant moi une jument blanche couverte de cicatrices et une troupeau entier de chevaux en train de fuir.
Je fixa donc mon attention sur la jument blanche. On pouvait voir ces muscles roulé sur sa peau couverte de cicatrices. Elle semblait de la race des chevaux Arabes. Elle était belle pour une jument couverte de cicatrices.

La jument se tourna vers moi et me regarda. Je me figea et retient mon souffle quand je l'entendis me parler.

* Non , c'est pas possible. Un cheval sa ne parle pas ! *

Je fermais les yeux a nouveau et tenta de me relever. A peine a genoux je sentit ma tête me tourner. Je sentait du changement en moi, je me sentait grande, lourde et puissante. Je sentais aussi mes cheveux poussait. Je rouvrit les yeux complètement paniquer. Je leva mes mains et poussa un cris de panique.

" MAIS ... QU'EST CE QUI M'ARRIVE ! "

Mes mains c'était transformer en sabot, mes cheveux était devenue une crinière de couleur noir, ma vue avez changer et mon corps aussi. Je me releva d'un coup et vit que j'était devenue une jument.
Je me tourna vers la jument blanche et dit complètement paniquer.

" Non sa ne va pas. Je ne sais pas ou je suis , je viens de me transformer en un Frison et en plus je parle a un cheval. Alors excuse moi mais sa ne va pas très fort. "

Je souffla un bon coup pour me calmer tout en regarda la jument avec respect.

" Heu ... tu pourrais m’expliquer ce qui vient de ce passer s'il te plait ? "

En un soupir, Isba regarda la jeune fille, devenue jument.
"Les chevaux sauvages sont de moins en moins nombreux, or, ces disparitions d'enfants, c'est...Comme toi. Ce sont des chevaux, Kate. Tu es une jument maintenant. Il va falloir s'y faire."
Isba eut de la peine pour la jeune jument, en lisant le desespoir dans ses yeux.
Et, sans réfléchit, elle dit : "Je vais t'aider à t'intégrer dans le monde des chevaux sauvages si tu veux". Elle, avait pris un ton sympathique, l'avai sorti d'une traite...Ou etait cette jument froide et mystérieuse ?... Au fin fond d'elle, mais Isba était parvenue à évacuer un peu de rage de son coeur. Et elle éprouvait de la peine pour une jeune humaine transformée en jument !
"Je ne sais pas comment les autres chevaux ont fait pour te transformer, je crois juste en connaitre la raison", dit-elle calmement. Elle brouta un peu et soupira.

Je regardais et j'écoutais la jument très attentif a ces explications. Quand tout a coup une pensée me traversa l'esprit.

" Comment tu connais mon nom ? "

En effet la jument venait de dire mon nom peut être que je l'avais dit a voix haut pendant mon sommeille qui sais. Pour me décontracté un peu je me mis a observer autour de moi. Je remarqua que c'était un paysage magnifique et dans un geste purement instinctives je me mis a humais l'air. L'air était chargé de ta de senteur ce qui me décontracta.

" Au fait c'est quoi ton nom ? "

Je venez a pêne de tilter que je connaissait pas le nom de la jument qui se trouvait juste devant moi et qui avait était gentille avec moi. Puis se souvenant de sa propositions je lui répondis.

" Oui je voudrais bien que tu m'aides a me faire découvrir ce nouveau monde, car d’après ce que je vois, je vais y rester un bon moment ! "

"Je m'appelle Isba. Nous autres, chevaux, sommes sous-estimés. Nous connaissons ton nom, car tu as été choisie. Choisie pour faire partie des nôtres."

Isba soupira. Elle huma l'air. Une odeur bizarre flottait. Isba sentit cette odeur qu'elle avait connue, pouliche. L'amitié ? Non, c'était impossible pour elle...

Isba se pencha auprès de Kate.
"Kate Parish, je peux t'aider à te relever ?..."
Ces paroles étaient celles que sa mère disait à ses amies lorrsqu'elles tombaient. isba n'en crut pas un mot de ce qu'elle disait. Etait-ce ELLE qui l'avait dit ?

Kate l'avait observé avec un regard rempli d'espoir et d'amitié, comme de la compassion envers cette jument au passé si dur.
Mais Isba aussi était remplie de ces sentiments.
Isba se sentait bien, elle se sentait libre.
Quelqu'un l'avait appréciée, et c'était nouveau pour Isba : elle avait toujours été froide envers tout le monde. Se serait-elle fait une sorte d'amie ?

Je regardais la jument avec une regard remplis d'espoir et d'amitié car c'était la seul qui était rester avec moi qui m'aidait. Je sentait que cette jument qu'avec cette jument j'allais bien m'entendre.

" Enchanter Isba ! "

Je déplia mes longues jambes et tenta de me relever. Mais se fut un échec , c'est dur de manier quatre jambes. Je tenta a nouveau et retomba. Je poussa un énorme soupir tout en secouant ma tête. Je tourna le regard vers Isba.

" Heu ... je veux bien un coup de main "

Isba sourit. Elle appuya doucement son épaule sur celle de Kate, et la poussa vers la gauche. Avec sa propre jambe, elle bloqua l'un des genoux de la jument afin de l'aider à s'appuyer sur son autre jument. Elle débloqua le genou de Kate pour qu'elle puisse déplier son genou et se relever. Elle la poussa encore un peu et la laissa se lever. Isba se redressa.

"A apprendre pour aider certains équidés à se relever. C''est ainsi qu'on me l'a apprit".

Isba sourit à la jeune jument.

"Hé bien, tu vas t'y habituer rapidement je pense."
Isba sourit, et regarda la jument, qui avait du mal à se dresser correctement sur ses jambes, qui tremblaient.

Celà faisait repenser au passé, lorsqu'Isba était pouliche. Elle sourit, et une larme coula sur sa joue, d'émotion. Cette jument lui faisait penser à sa mère, elle lui ressemblait, non pas physiquement mais mentalement.

Alors, Isba pencha la tête au sol, attrapa quelques brins d'herbes qu'elle machouilla doucement. Elle marcha vers un pommier. Elle cabra, et attrapa une pomme.
Elle approcha de Kate Parish. Elle lui montra la pomme.
"Tu en veux ? On partage ?"

Elle sourit et croqua la pomme. L'une des moitiés de la pome tomba. Isba la rattrapa après avoir fini sa moitié, et la tendit à Kate en souriant.

"Nous autres, chevaux, savons choisir les bons fruits." :D

Isba sourit. Elle observa le coin : l'ambiance était sombre et calme.
Elle brouta un peu. Elle marcha vers le pommier, cabra et fit tomber des fruits en secouant les feuilles. Elle reposa ses antérieurs et bouscula, de tout son poids, le tronc du pommier, dont des fruits tombèrent.
Ces fruits formèrent un tas de pommes.

A cette question, Isba se sentit mal à l'aise...
"C'est un passé très douloureux. Lorsque mon père est parti et lorsque ma mère est morte, j'ai du me battre pour survivre et j'ai affronté de nombreux chevaux..."

Isba gloussa, mais se remit rapidement à brouter en silence...

Je fus surprise que l'histoire de Isba ressembler beaucoup a la mienne, elle aussi avez perdue sa mère.

" Ton passé ressemble énormément au miens, moi aussi ma mère et morte après cela mon père a sombre dans l'alcool puis ma soeur a disparue. Tout cela a détruit ma vie en même pas un an. "

Je tourna mon visage pour cacher ma larmes et plongea la tête dans les pommes.

Isba redressa la tête et regarda la jument frisonne.
"Tu es la seule à avoir été remplie de compassion envers moi. Je ressens la même chose envers toi..." dit Isba d'une toute petite voix étranglée.

Elle soupira... Et reprit d'un ton plus joyeux : "Bon, il se fait tard, dormons. Demain, je te ferai un peu la visite des lieux, avec un peu de mal, mais je vais essayer. Je ne suis pas ancienne, je ne pourrai pas te présenter de personnes..."

Isba s'allongea à l'ombre du pommier, à côté du tas de pommes.
Elle respira doucement, et machouilla machinalement une pomme. Elle finit par l'avaler et posa sa tête dans l'herbe verte et fraîche en souriant, au calme...

Je n'était pas sur de ce que j'avais entendue mais j'avais cru comprendre que j'était la seul personne qui avait était gentille avec Isba et cela me fit chaud au coeur. Quand elle dit qu'il était temps de dormir. Je figea.

* Comment je vais me coucher moi *

Je décida donc de regarder discrètement Isba en train de ce cocher pour savoir comment faire. Un fois que j'eu comprit j'hésita.

* Je m'allonge a coter d'elle ou pas ? *

Je poussa un soupire et m'allongea a quel que centimètre de Isba cela fut dure mais j'y suis arriver sans trop de casse.

Je regardai cette jument s'allonger à mes côtés, la seule et unique personnne m'ayant acceptée...Je dressa alors la tête et je poussa une pomme vers elle, éspérant qu'elle considère celà comme un signe amical.

Je l'observa. Je mangeai alors une pomme, je me détendis et je reposa ma tête au sol...

Isba souffla. Son souffle chaud faisait trembler le garrot de Kate Parish. Isba posa sa tête sur le sol, et un petit nuage de poussière s'éleva. Isba ferma les yeux, et son souffle se fit plus léger... Ses crins fins et emmelés touchaient le sol... Isba était réchauffée par le corp chaud de Kate. Elle courba l'encolure, soulagée...

Sa queue retombait au sol. Elle semblait heureuse, remplie d'une sorte de nuage de joie et d'amour... Son coeur battait, et il faiblit au fur et à mesure qu'elle s'endormait... Isba sentit soudain quelque chose lui chatouiller le corps, partout.
Elle rouvrit un oeil, et vit que de fines gouttes tombaient sur son corps fin... Elle se ressera auprès de Kate, et se rendormit, calme...

Elle rêva...Elle rêva de sa mère, puis de Kate... Elle sentit son coeur s'accélérer, et son rêve devint cauchemar... Ce rêve était ce qu'il lui est arrivé, 2 ans et demi auparavant...Le jour de la mort de sa mère...

Kate et elle galopaient joyeusement...Quand elles arrivèrent à la rivière, elles se penchèrent pour boire... Et soudain, un bruit immonde. Isba leva la tête... Sangliers, cerfs, biches... tous les animaux bondirent par-dessus la rivière. Isba s'écarta... Les sabots d'un cerf frappèrent de plein fouet le garrot de Kate.
Un lynx arriva, et il approcha de Kate, blessée, allongée....pour la dévorer.

"NON !" hurla Isba.
Elle était dans cette prairie, Kate dormait à ses côtés. Isba cligna des yeux, et soupira... Un cauchemar, la même chose que lorsqu'elle avait 6 mois, la mort de sa mère...mais avec Kate...

Je dormais tranquillement quand j'entendit un cri déchirait le ciel. Ce cri me réveilla en sursaut et redressa la tête au aguets et vit que ce cri venait de Isba qui venait de faire un cauchemars. Ce cauchemars devait être vraiment horribles car elle était couverte de sueur. Je me serra encore un peux plus contre elle pour lui montré que j'était la pour elle.

" Isba ... Calme toi, ce n'était qu'un cauchemars ! "

Dit je d'un voix calme et apaisante.

Isba murmura : "Le plus horrible des cauchemars..."
Son corps était couvert de sueur... Elle se leva doucement.
"Je vais voir si il n'y a pas de ruisseau dans le coin, je reviens..."

Isba marcha dans les prairies, à la recherche d'un cours d'eau.
Elle trouva un petit point d'eau. Il était assez profond pour qu'elle rentre dedans, et qu'elle ait de l'eau jusqu'aux épaules. Elle s'y baigna, et soupira. Elle but alors quelques gorgées d'eau, et un bruit sourd résonna. Ce bruit semblait provenir de derrière des buissons, vers lesquels elle était passée...
Elle leva la tête, dressa les oreilles, et demanda doucement : "Kate ?".

J'observait Isba se levait et partit a la recherche d'un ruisseau, au début je resta sans bouger quand ayant peur pour Isba et me sentant pas bien toute seul je me leva a mon tour et pris le chemin qu'avait pris Isba. San même et réfléchir je m'était mis a trotter. Arrivant au buisson je sortit de mes pensée et remarqua que mettant que j'était en train trotter. Surprise me m'en mêla les pattes et tomba lourdement. Je pesta contre ma maladresse. Quand j'entendit Isba m'appeler.

" Ouais "

Dit je de mauvaise humeur en continuant a pester tout en essayant de me relever.

Isba arriva au trot. Elle avait eu peur, peur que ce soit un fauve l'ayant suivie. Elle regarda Kate, par terre, et sourit. "Le trot, c'est toujours une épreuve...Et il faut que je te montre comment faire, car il faut que tu saches galoper, pour fuir certains prédateurs." Isba regarda le soleil, qui ccommençait à se lever. "Je vais t'apprendre à t'équilibrer.", dit-elle joyeusement. :)

Elle marcha donc vers le coin d'eau. "Je vais t'apprendre à faire ce qu'un cheval fait à ton âge." :)